gwladys

Jeudi 4 août 4 04 /08 /Août 10:44

Depuis le temps où je vous parle de ma copine Claire qui me seconde avec succès aux seins des foyers de travailleurs émigrés noirs et arabes en ayant comme moi des relations sexuelles buccales et anales bien qu'en plus les relations vaginales ne lui font pas peur de même que de pratiquer des branlettes espagnoles grâce à sa poitrine refaite faisant un bon cent cinq E, il serait temps que je vous la présente.

Pour cela je vais commencer par vous parler de son enfance où son père alcoolique l'a violée, alors qu'elle avait juste un peu plus de dix ans, comme il l'avait fait deux ans auparavant à sa grande soeur au même age.

Fort de son exploit et étant sous l'emprise de l'alcool il dit à Claire que c'était une bonne à rien et qu'elle ferait mieux d'aller faire la pute comme cela ça lui permettrait de s'acheter davantage d'alcool.

N'ayant pas trouvé cela désagréable de se faire baisser, pour faire plaisir à son père que malgré tout ce qui lui avait fait subir aimait toujours elle se dit que ce ne pouvait pas être une si mauvaise idée que cela puisque ça pourrait joindre l'utile à l'agréable.

A cette époque le sida n'étant pas encore redouté, ne désirant pas utiliser de préservatif, aussi ayant qu'une peur de tomber enceinte, elle se rendit chez son médecin de famille et lui fit une étrange proposition en lui indiquant que s'il consentait à lui prescrire la pilule contraceptive elle accepterait d'avoir régulièrement une relation sexuelle avec lui.

C'est ainsi que pour satisfaire ses désirs elle commença sur-le-champ à lui faire une fellation en avalant la totalité de ses puissants jets de sperme chaud et abondant, ce qui devait devenir le début d'une longue relation sexuelle suivie avec son médecin qui malgré son age d'environ soixante ans se trouvait toujours ravi de se farcir une jeunette d'à peine plus de dix ans.

Ainsi rassurée après s'être rendue à la pharmacie pour se procurer les fameuses pilules contraceptives, elle alla de ce pas rejoindre un groupe de copains dont certains devaient bien avoir trois ou quatre ans de plus qu'elle. Sans leur dire comment elle leurs révéla que désormais n'étant plus vierge elle ne voyait plus pourquoi elle continuerait de se refuser à eux comme elle l'avait déjà fait bien des fois auparavant malgré leurs insistances répétées.

Leur disant aussi qu'elle avait besoin de se faire un peu d'argent afin de subvenir aux besoins de son père, sans leurs en révéler la nature, elle insista qu'elle acceptera volontiers de se laisser baiser par tous ceux qui auront envie de se vider les couilles en elle, moyennant une faible rétribution de leurs parts car étant des amis elle se tenait prête à leurs faire un bon prix compte tenu de ce que d'après ses renseignements la plupart des prostituées avaient l'habitude de pratiquer comme tarif.

Ainsi elle leurs affirma que pour eux cela leurs coûtera à chacun cinq francs tandis que s'ils me rabattaient des copains ou des inconnus comme nouveaux clients se sera pour eux dix francs pour me baiser ou que je les suce. 

Contents de cette annonce ils attirèrent Claire dans une cave d'immeuble à peine éclairée où se trouvait un vieux matelas presque hors d'usage. Tous les sept après lui avoir remis cinq francs s'empressèrent de la baiser, puis il se retirèrent en lui promettant de lui attirer de nouveaux clients avant la fin de l'après-midi.

Ils tinrent leur promesse si bien qu'au cours de cette première journée de tournante elle se retrouva avec les cuisses en feu, mais surtout heureuse d'avoir en poche plus de deux cent francs dont en rentrant chez elle auprès de son père elle ne lui en donna que la moitié affirmant que ce n'est tout ce qu'elle avait réussi à gagner pour son premier jour de pute.

Bien que le rabattage remplissait pleinement ses espérances ce qui lui permettait de gagner davantage en se faisant baiser, elle continua de donner à son père que cent francs par jour ce qui pour lui était largement suffisant pour financer ses besoins en boissons alcoolisées.

Tout se passait sans aucun problème jusqu'au matin, une vingtaine de jours après ses débuts de pute, elle constata des traces de sang dans sa culotte. Rassurée qu'elle avait ses premières règles lui confirma l'efficacité de la pilule contraceptive puisqu'elle n'était pas enceinte. Elle était à la fois heureuse et déçue car ce jour elle avait prévu une vingtaine de clients pour la baiser. Voulant se monter honnête elle leurs indiqua ses indispositions. Certains reportèrent leur tour pour la baiser dans quelques jours, tandis que d'autres ne redoutant pas de se retrouver avec du sang sur la bite la baisèrent tout de même.

C'est aussi ce jour là que d'autres clients lui demandèrent si à la place de prendre leur bite dans sa chatte elle accepterait de la prendre dans le cul. C'est ainsi que c'est la première fois qu'elle se laissa volontiers enculer afin de ne pas perdre la clientèle qui n'était pas intéressée par une fellation ou une gorge profonde.

Avec beaucoup d'astuce, ayant réussi à sauver sa journée, elle se rendit chez son médecin pour qu'il lui confirme qu'elle était bien en période menstruelle. Ce qu'il confirma en lui proposant de lui renouveler son ordonnance contraceptive, et lui aussi pour des raisons qui restèrent inconnues lui demanda si pour payer sa consultation elle acceptait de se laisser sodomiser. C'est comme ça que d'un commun accord il éjacula dans le cul de Claire de puissants jets de sperme chaud et abondant qui allèrent se mélanger avec le sperme des précédents enculeurs qu'elle avait encore dans le cul car elle n'était pas encore rentrée chez elle afin de se faire un lavement destiné à en éliminer une grande partie.

Cela dura ainsi pendant de longs mois où Claire n'eue rien à débourser à chaque fois qu'elle allait consulter son médecin de famille qui un beau jour ayant envie de profiter pleinement d'une retraite bien méritée céda son cabinet à un praticien plus jeune avec lequel Claire ne désira pas lui demander les même arrangements.

Etant tranquille pour un mois, une fois rentrée chez elle, comme d'habitude elle remit à son père ses cent francs quotidiens qui trop bourré pour lui demander de baiser, ce qui n'eut jamais lieu depuis qu'il lui a ôté sa virginité, et qui ne le sera plus jamais se contentant de payer son père comme une prostituée paye son souteneur.

Ainsi avec tout cet argent qu'elle arrivait à ne pas donner à son père, elle décida d'investir dans tout ce qui pourrait faire d'elle une jeune pute appréciée des hommes. En premier lieu son dévolu se porta sur une paire d'escarpin aux talons de huit centimètres, plusieurs ensembles de lingerie constitués de strings, soutiens-gorge et portes-jarretelles de couleurs variées, des robes et des jupes en skaï avec des chemisiers affriolants, des paires de bas de différentes couleurs dont certains noirs avec coutures, et pour compléter le tout des bijoux dits de fantaisie et des produits de maquillage destinés à se faire un visage de pute.

Cela faisait presque environ six mois que son petit commerce était florissant, mais ce qui la contrariait le plus n'était pas de devoir accepter d'être souillée par le sperme de tous les hommes qui la payaient pour éjaculer en elle que ce soit sous forme de baises, de fellations ou de sodomies parfois pratiquées en double voire en triple pénétration, mais le fait qu'elle devait toujours être à la recherche d'un endroit pour baiser tranquillement en étant bien forcée de se contenter des caves d'immeubles.

C'est au cours d'un de ses moments de déprime qu'un de ses clients habituels lui fit part qu'il était propriétaire pas loin d'ici d'un petit studio inoccupé en rez de chaussé ayant une entrée directement sur la rue, ce qui était selon lui idéal pour y exercer une activité de prostituée et qu'il était prêt à lui mettre à sa disposition pour la somme modique et symbolique de cent francs par mois.

Le studio étant meublé et la proposition lui paraissant honnête sans arrière pensée elle lui fit part de son intéressement et c'est comme cela qu'en cachette de son père elle déménagea tout le contenu de sa chambre. Ainsi il ne lui restait plus qu'à faire connaître à son immense clientèle le lieu où désormais elle aurait des relations sexuelles vaginales, buccales et anales.

C'est ainsi qu'elle se retrouva certainement comme étant la plus jeune prostituée de France disposant de son propre pied à terre afin d'y recevoir ses nombreux clients afin d'avoir avec eux de multiples relations sexuelles tarifées à seulement dix francs la passe.

Elle occupait ce studio jusqu'à ses dix huit ans où elle eut des milliers de clients sans que son activité de pute soit découverte par manque de discrétion, mais tout simplement parce qu'elle tomba forte amoureuse d'un homme qui lui proposa de venir vivre avec lui en oubliant le fait que pour vivre et subvenir en besoin d'alcool de son père elle se prostituait depuis environ huit ans durant lesquels elle n'a donné que cent francs par jour à son père en lui cachant qu'elle en gagnait davantage. Peut être était-il trop pris dans les effluves de l'alcool pour s'en apercevoir de façon lucide.

Afin de continuer à exercer son activité de pute, bien que vivant désormais chez cet homme dont elle était tombée follement amoureuse, elle décidait de conserver le petit studio qui lui avait permis de vivre en femme libre et épanouie.

Son amour dont elle ne connu jamais l'activité professionnelle devait avoir beaucoup d'amis ou de relations d'affaire, car presque tous les jours il en survenait un nouveau à leur domicile avec qui il lui était demandé de se montrer extrêmement gentille en ayant des relations sexuelles avec lui.

Pour cela afin de la rendre sexuellement beaucoup plus attrayante il lui demanda d'aller se faire refaire les seins. C'est ainsi qu'elle passa d'un petit quatre vingt cinq B à un plus qu'honorable cent cinq E. A partir de ce moment avec sa poitrine devenue opulente, en plus de vouloir décharger leur sperme chaud et abondant dans son vagin, sa bouche ou son cul, les prétendus amis de son compagnon pouvaient exiger qu'elle leurs fasse des branlettes espagnoles.

Ce manège durant depuis quelques mois, ayant des doutes sur le grand nombre de relations que lui présentait son compagnon, au cours des ébats amoureux où elle continuait à se montrer extrêmement soumise, elle décidait de mener son enquête. Ainsi après de nombreuses confidences sur l'oreiller elle fut stupéfaite d'apprendre que tous ces hommes avec qui elle devait faire l'amour sans broncher étaient tous des clients qui avaient grassement payé, c'est à dire plusieurs centaines de francs, pour avoir le privilège de passer une nuit avec elle.

Ainsi se rendant compte qu'elle était tombée sous la coupe d'un proxénète sans scrupule se faisant passer pour un homme vendant sexuellement son épouse libertine et surtout concertante, qui faisait sur son dos d'immenses profits, elle lui demandait des explications qui loin de la convaincre provoqua leur rupture définitive et c'est ainsi qu'elle retourna vivre dans le studio où elle n'avait jamais arrêté de travailler en offrant aux hommes toutes les parties de son corps. Et dire que c'est elle qui a entièrement payé son opération d'implants mammaires !

Elle est restée dans ce studio en payant seulement cent francs par mois, ce qui correspondait uniquement aux charges de copropriétés, jusqu'à ce que son propriétaire soit contraint de le vendre. Le nouveau propriétaire s'aligna sur les prix du marché qui malgré cela Claire décida de le garder car cela ne représentait qu'une très faible partie de ses revenus de pute où au fil des ans elle avait réussi à se faire une bonne réputation auprès de la clientèle du quartier où elle y est restée plus de cinquante ans en ayant comme clients les enfants et les petits enfants de ses premiers clients.

Jusqu'à la fin des jours de son père, elle a mis un point d'honneur à lui donner quotidiennement cent francs afin de subvenir à ses besoins en alcool.

Maintenant elle a plus de soixante ans et ayant accumulé un petit pécule en devenant une pute à la demande de son père qui l'a violée alors qu'elle n'avait qu'un peu plus de dix ans se consacre désormais bénévolement à venir soulager sexuellement avec moi de très nombreux résidents de foyers de travailleurs émigrés noirs et arabes.

 

Par gwladys - Publié dans : gwladys - Communauté : gwladys travesti 60 ans
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Mercredi 3 août 3 03 /08 /Août 16:26


Cela a commencé le jour où rentrant du collège où je venais tout juste de rentrer en sixième depuis quelques semaines, et étant à quelques centaines de mètres de mon domicile, un homme m'a abordé en me demandant si j'avais envie de me faire de l'argent de poche.


Dans un premier temps je fus surpris, et toutefois en le suivant jusqu'à l'intérieur d'un appartement de type F2 situé en rez de chaussé avec accès directement sur la rue, mais curieux je lui ai demandé avant de me prononcer ce que je devrais faire et combien cela me rapportera ?


Aussitôt, il m'expliqua qu'il connaissait beaucoup d'hommes qui seraient prêt à me payer si j'étais gentil avec eux.


Alors il enchaîna en m'indiquant que cela me rapporterait dix francs à chaque fois que je laisserai l'un d'entre eux me mettre sa bite dans ma bouche ou dans mon cul.


N'ayant jamais fait de fellation à un homme, et aussi pas plus que m'être laissé enculer, je lui demandais si cela pouvait me faire du mal, vu que je savais déjà que les hommes en questions devaient avoir de grosses bites.


Après m'avoir expliqué ce qu'est une éjaculation de sperme chaud et abondant, il me demanda si je voulais essayer de prendre son gros sexe en bouche et le laisser y éjaculer, car pour le moment n'ayant pas de lubrifiant intime à sa disposition ce sera pour une autre fois de m'enculer.


Je lui dis que j'étais d'accord pour essayer et il sortit d'un placard une boîte de mouchoir en papier qu'il déposa sur la table à côté de moi. Puis il ouvrit sa braguette pour en sortir son sexe qu'il me demanda de branler afin de devenir en érection maximale.


De mes mains agiles je m'exécuta jusqu'au moment où constatant une forte érection, il me dit de prendre son gros sexe en bouche. Il l'enfonça bien profondément jusqu'au fond de ma gorge où à ce moment on aurait pu croire qu'il n'y avait plus de grosse bite mais uniquement une paire de couilles plaquée sur mon visage, puis lui fit faire des allers et retours sans toutefois la faire ressortir de ma bouche qui acceptait volontiers cette intrusion, jusqu'au moment où il éjacula de puissants jets de sperme chaud et abondant dans ma bouche tiède.


Puis, son érection étant retombée, il se retira de ma bouche, prit un mouchoir en papier pour essuyer sa bite qui retrouva sa place initiale dans le pantalon. De sa poche il sortit deux billets de dix francs puis m'en tendant un, il me demanda si je voulais recracher son sperme dans un mouchoir avant d'essuyer mes lèvres avec un autre, ou si pour avoir l'autre billet j'étais prêt à avaler l'intégralité de son sperme.


Ne trouvant le goût de sperme pas trop désagréable, j'avalais tout et me retrouvant ainsi avec vingt francs de gagnés facilement en peu de temps.


Puis pas déçu de cette expérience, je lui demandais quand pourrais-je commencer à me montrer gentil et soumis avec des hommes qu'il me présentera, car dans un premier temps j'étais d'accord pour essayer pendant une semaine si cela ne convenait et aussi si mes prestations étaient à la hauteur de ce que les hommes pouvaient bien espérer d'un jeune garçon comme moi, avant de poursuivre dans cette activité que je ne trouvais pas si répugnante que cela.


Satisfait de ma réponse, il me demanda si je pouvais l'attendre ici, car il avait une course à faire à la pharmacie située à une centaine de mètres de l'appartement où je restais seul pendant un quart d'heure à l'attendre en regardant un VHS porno sur la télévision où il y avait un jeune garçon de mon age en train de faire des fellations à des hommes particulièrement bien montés ou de se laisser volontiers enculer par eux.


A ce propos, lorsqu'il rentra de sa course avec ce qu'il s'était procuré à la pharmacie, c'est à dire un tube de lubrifiant intime indispensable pour une bonne sodomie avec un jeune garçon comme moi dont ça devait être la première fois, il me demanda si je voulais encore être gentil avec lui en me laissant enculer, comme cela je serai en mesure avant de prendre ma décision finale avoir connu tout ce que les hommes pouvaient bien attendre de moi.


De ce fait il sortit sa grosse bite de son pantalon et me demanda de me mettre cul nu, puis il prit le tube de gel intime et m'en appliqua une noisette sur ma rondelle encore vierge. A ce moment, pendant un court instant, il me fit prendre sa grosse bite en bouche afin de la préparer correctement pour l'assaut final qui ne tarda pas à arriver lorsque sortant sa bite de ma bouche il l'appuya à l'entrée de mon anus puis sans me brusquer força progressivement mes sphincters afin de faire rentrer son gland entre mes fesses, puis il y fit pénétrer l'intégralité de sa queue pour finalement retrouver ses grosses couilles pleines de sperme plaquées contre mes fesses.


Me demandant si je n'avais pas trop mal pour continuer et en tenant compte de mon acceptation il se mit à faire des allers et retours avec sa bite à l'intérieur de mon rectum pour finalement y éjaculer un sperme chaud et abondant en plusieurs jets. A ce moment j'étais en mesure de me rendre compte que cela pouvait être aussi agréable que lorsque sa bite avait éjaculé dans ma bouche et que par gourmandise je venais d'avaler une importante quantité de sperme pour la première fois de ma vie qui comme l'on montré les événement ne fut pas la dernière. Puis il se retira et alla chercher un bol en me demandant de m'accroupir pour maintenir mon trou du cul au-dessus afin d'y expulser le maximum de sperme.


Puis m'expliquant que cela est une pratique que les sodomisateurs apprécient, il me demanda d'avaler tout le contenu du bol. C'est ce que je fis en m'apercevant que le sperme n'avait pas le même goût que lorsqu'il avait éjaculé directement dans ma bouche. Peut-être était ce le mélange de lubrifiant intime ou de sécrétions anales qui avaient fait ce changement.


Fier de moi, après m'avoir remis encore vingt francs, il m'affirma que je devrais bien faire l'affaire auprès des nombreux hommes qu'il ne tardera pas à me présenter afin d'avoir avec moi de multiples relations sexuelles buccales et anales, il me dit d'un air satisfait que c'était suffisant pour aujourd'hui.


C'est ainsi que nous prîmes rendez-vous pour le lendemain en fin d'après-midi afin de pouvoir constater combien d'argent de poche je pourrais engranger sachant que si j'avalais le sperme à chaque fellation le tarif serait doublé, ainsi que si j'avalais les bols de sperme sortant de mon cul.


C'est ainsi que le lendemain et les jours qui suivirent, je fis de nombreuses fellations en avalant le sperme et que je me laissais enculer en utilisant un lubrifiant intime qui à partir de la troisième ou quatrième sodomie devenait superflue grâce à la lubrification naturelle provoquée par le sperme des précédents sodomisateurs dont mon anus débordait.

 

Ainsi durant cette première semaine à faire la pute en taillant des pipes et en me laissant volontiers enculer par à peu près une soixantaine de bites, je fus bien obligé de constater qu'ils en existaient de différentes dimensions aussi bien par leur longueur que par leur grosseur. Pour effectuer des fellations ou des gorges profondes cela ne me posa aucun problème, en revanche en ce qui concerne de les accepter pleinement dans mon cul jusqu'à temps qu'elles y éjaculent leur sperme chaud et abondant, avec certaines d'entre elles, particulièrement celles de noirs et d'arabes qui ont la réputation non usurpée d'être bien au-dessus de la moyenne, dans un premier temps surtout à cause de leur épaisseur j'eus l'impression dans un premier temps de me faire pratiquement totalement défoncer l'anus, mais au bout de quelques instant mes sphincters acceptaient volontiers cette intrusion. Quant à leur longueur, dans la grande majorité des cas, ça arrivait presque toujours à rentrer même si parfois en butant tout au fond de mon rectum même s'il en restait encore quelques centimètres à l'extérieur de mes fesses.


Bien que par la grande majorité de ma clientèle je sois considéré comme un vide-couilles ou un enculé je ne ressentais aucun sentiment de honte ni de culpabilité à me comporter malgré mon jeune age comme une bonne grosse salope dès l'instant où j'étais fier car je savais que c'était pour apporter du bonheur à des hommes qui pouvaient éjaculer en moi en toute liberté sans utiliser de préservatif durant les quelques minutes que je pouvais leur accorder avant de passer au suivant. Ce qui me faisait tenir cette cadence et qui me motivait le plus ce n'était pas uniquement l'argent facilement gagné sans trop me fatiguer en ayant des relations sexuelles buccales et anales, mais c'était aussi à la fin de chacune d'elles d'avoir le plaisir de me délecter, en temps que récompense, de ma dose de sperme chaud et abondant que j'avale directement à la fin d'une fellation ou d'une gorge profonde et aussi indirectement en lapant intégralement le contenu d'un bol dont je venais de me servir pour éjecter le sperme se trouvant dans mon rectum après m'être volontiers laissé sodomiser.


 

Ainsi en étant confronté à de grandes quantités de sperme que je devais avaler afin de multiplier par deux le tarif de mes prestations sexuelles passant de dix à vingt francs, sans compter la commission que mon bienfaiteur empochait en me considérant comme sa merveilleuse petite pute docile et soumise qui ne refuse jamais d'avoir une relation sexuelle buccale ou anale avec un client dés l'instant que celui-ci avait la bite bien propre, je du me rendre à l'évidence qu'il n'existait pas une seule sorte de sperme mais une multitude qui se différenciaient non seulement par leurs onctuosités mais aussi par leurs saveurs qui peuvent aller du sucré au salé ce qui dans tous les cas en procurant un apport riche en protéines sont aussi bons pour la santé, sauf bien évidemment si son éjaculateur est porteur d'une maladie vénérienne telle que la syphilis.


Alors à la fin de ma longue semaine de labeur, ayant récolté plus de huit cent francs, mon bienfaiteur de demanda ce que j'avais l'intention d'en faire.


Lui disant que je n'en avais aucune idée il me proposa d'investir dans ce qui pourra faire de moi une fille plutôt que le garçon que je suis afin de satisfaire sexuellement davantage d'hommes.


L'idée ne me déplaisant pas, nous nous retrouvâmes dans un centre commercial où mon bienfaiteur m'aida à choisir tout ce qui est nécessaire pour faire de moi une jeune fille capable de charmer une multitude d'hommes appréciant davantage les jeunes filles que les jeunes garçons.


Dans le super marché, je me suis ainsi procuré un ensemble de lingerie composé d'un string, d'un soutien-gorge et d'un porte-jarretelles assortis en dentelle noire et rose, ainsi que plusieurs paires de bas dont une noire à couture. A cette époque ne chaussant que du trente neuf, il fut facile de trouver une paire d'escarpin aux talons de huit centimètres. En complétant le tout par une robe légère et une minijupe en skaï rouge ainsi qu'un chemisier blanc, il ne nous resta plus qu'à acheter une perruque blonde courte et bouclée, ainsi qu'un bâton de rouge à lèvres et d'autres fards à maquillage.


Ayant à peine dépensée la moitié de mon argent de poche, mon bienfaiteur me suggéra d'acheter aussi quelques bijoux fantaisie en particulier un bracelet, un collier et une paire de boucles d'oreilles à pinces assortis, ainsi qu'une montre bracelet qui me sera bien utile pour gérer le temps que je pourrais passer raisonnablement avec chaque client.


De retour chez mon bienfaiteur, je me métamorphosa en petite fille sage qui ne refusa pas d'être honorée sexuellement en offrant son cul afin d'y recevoir en tant que fille ses premiers jets de sperme chaud et abondant.


Au cours de nos achats, il y a une chose que nous n'avons pas pu nous procurer, c'est une paire de petits faux seins en silicone qui seront plus réalistes aussi bien au toucher que visuellement que la paire de chaussettes roulée en boule insérée dans les bonnets de mon soutien-gorge.


Une fois qu'il ait éjaculé dans mon rectum, mon bienfaiteur me fit remarquer qu'il devenait parfaitement inutile de me demander si je voulais continuer de jouer à la jeune pute dévergondée, car sinon à quoi aurait servi d'investir près de cinq cent francs en comptant la commande d'indispensables faux seins en silicone.


C'est à ce moment là que je sus qu'à l'avenir je ne taillerai plus des pipes ni me laisser défoncer le cul en étant un jeune garçon timide ayant un peu honte de ce qu'il fait, mais que c'est en tant que "jeune fille" soumise se pliant avec amour, sans la moindre impression de culpabilité d'aucune sorte pour quoi que se soit, à toutes les exigences sexuelles des hommes aussi bien au point de vue buccal qu'anal que désormais je leurs prodiguerai de merveilleuses fellations et d'inoubliables gorges-profondes en avalant jusqu'à la dernière goutte leur sperme chaud et abondant avec le même sentiment de joie que je me laisserai volontiers sodomiser sans en ressentir la moindre gêne aussi bien physiquement que moralement.


Ainsi en tant que jeune pute qui se faisait environ mille francs d'argent de poche par semaine en ayant avec de nombreux hommes de multiples relations sexuelles buccales et anales sans utiliser de préservatif, étant donné qu'à cette époque le sida n'était pas encore connu, sans que mon bienfaiteur ait à me le demander, j'investissais une partie de mes gains afin de diversifier ma garde-robe aussi bien au point de vue dessus chics et sexy, qu'au point de vue dessous chocs et provocateurs, sans oublier les chaussures et les bas ainsi que les nombreux produits de maquillage qui m'étaient indispensable pour ressembler à une jeune fille désirant être désirée par tous les hommes qui étaient prêt à débourser dix francs pour se vider les couilles dans son cul ou dans sa bouche, et où au cas elle avalerait le sperme, un supplément d'honoraire était bienvenu.


Alors petit à petit, je me suis améliorée en pratiquant aussi de merveilleuses gorges profondes et en acceptant aussi d'avoir une bite en bouche pendant qu'une autre me défonce le cul, et même parfois accepter les doubles voire les triples pénétrations anales afin de satisfaire un maximum d'éjaculateurs durant les deux heures, de dix sept à dix neuf heures, que je passais à me prostituer pour seulement dix francs par passe toutes mes fins d'après midi en semaine et plus longuement tous mes samedis et dimanches après midi ainsi que pendant les vacances scolaires, où je pouvais de quatorze à dix neuf heures arriver à satisfaire sexuellement plus d'une trentaine d'hommes ayant des envies de déposer leur sperme dans une bouche extrêmement gourmande ou entre les deux grosses fesses volontiers accueillantes d'un jeune garçon travesti en jeune fille acceptant de faire la pute avec beaucoup de conviction et de réussite. C'est tout du moins ce qu'en pensaient à l'unanimité la grande majorité de mes clients étant prêts à renouveler l'immense plaisir qu'ils avaient eu à éjaculer en moi. 


Ainsi en plus de ma présence obligatoire sur les bancs du collège du lundi au vendredi, il ne me restait plus que mes samedis matin pour aller faire du shoping afin de renouveler ma garde robe de prostituée et me réapprovisionner en produit de maquillage indispensable à donner de moi l'image d'une jeune pute dont en semaine les clients devaient réserver par avance leur place afin de pouvoir se servir de moi comme un vide-couilles dont ils n'en avaient connu de plus parfait et surtout docile auparavant.


Cela se passait toujours dans l'appartement où maintenant je me sentais comme chez moi en étant au dire de mon bienfaiteur sa ravissante et sexy petite pute docile qui acceptait tout ce que les hommes lui demandaient à la condition toutefois de s'être lavé correctement la bite avant de pouvoir être autorisé à éjaculer en elle. C'est la seule condition que j'ai imposée à mon bienfaiteur au début de notre collaboration, et c'est toujours lui qui en même temps qu'empocher les billets pour mes prestations sexuelles qui s'assure de la propreté des bites.


En entrant dans cet appartement, en premier lieu on se retrouvait dans une grande pièce à vivre servant de salle d'attente où en plus d'un bar destiné à mes nombreux clients, se trouvait aussi un coin salon avec fauteuils et canapé devant un poste de télévision où était associé un lecteur VHS destiné à diffuser des films pornographiques montrant de jeunes enfants prendre des bites en bouche et se laisser enculer. Depuis quelques temps le film qui était le plus vu des visiteurs en attente de mes prestations sexuelles, était un film ou plutôt une compilation d'environ deux heures où je montrais tous mes talents de petite pute extrêmement docile et soumise avec les hommes entreprenants qui se servaient de moi de toutes les façons imaginables possibles.


Parmi les séquences les plus appréciées où l'on pouvait apprécier les différentes manières où je faisais la pute en paraissant comme se comportant comme une bonne grosse salope que j'étais devenue, il y en avait particulièrement une où après avoir taillé une pipe à un homme bien membré, une fois que sa bite se soit retirée après avoir déposé dans ma bouche extrêmement gourmande de très importantes quantités de sperme chaud et abondant issus de grosses couilles bien pleines, je me retrouve avec sur mes lèvres pulpeuses maculées de rouge intense d'importants filets de sperme ruisselant sur celles-ci pour finir à arriver en partie sur mon menton où passant un index dessus j'en récupère le plus possible afin de m'en délecter de la même façon que je fais passer ma langue sur le contour de mes lèvres afin de ne rien laisser perdre de la précieuse semence.


Il en est de même pour une autre séquence ou j'ai déjà une bite dans le cul lorsqu'une autre sans prévenir vient aussi s'y mettre bien au chaud afin d'y éjaculer, elle aussi ce dont un excellent vide couilles comme moi doit s'attendre comme la troisième bite qui vient se joindre aux deux autres afin de synchroniser leurs va et vient entre mes grosses fesses volontiers accueillantes jusqu'au moment où elles éjaculent leur sperme chaud et abondant pratiquement toutes ensembles avant de se retirer en laissant mon cul suinter de sperme ce qui m'oblige à me soulager le rectum dans un bol dont je m'empresse d'en laper tout le contenu jusqu'à la dernière goutte.


Bien évidemment toutes les scènes où j'ai des relations sexuelles buccales ou anales filmées en gros plans afin que l'on puisse admirer de très grosses bites, en général de noirs ou d'arabes très bien montés, pénétrer dans ma bouche ou forcer mon cul afin d'y déposer leur sperme sont très appréciées surtout lorsque celles-ci ont lieu simultanément en prenant en double la bonne grosse salope que je suis devenue et qui fait la pute en étant juste vêtue d'un soutien-gorge aux bonnets profonds, indispensables pour maintenir bien en place mon opulente poitrine constituée d'une énorme paire de faux seins en silicone aussi réalistes visuellement qu'au toucher afin d'alimenter les fantasmes de la blonde à forte poitrine qui est fort appréciée, et d'un porte-jarretelles assorti destiné à maintenir bien tendu sur mes longues jambes fuselées de fin bas noirs à couture afin d‘en renforcer le galbe naturel en association avec une paire d'escarpins aux talons vertigineux de douze centimètres.

 

Ainsi d'un commun accord, avec mon bienfaiteur nous avons décidé de vendre ses compilations qui n'ont rien à envier à celles réalisées par des actrices et acteurs professionnels à des sociétés de production et de distribution de films pornographiques afin de mieux les faire connaître en nous rapportant de l'argent et aussi en faisant de la publicité sur les activités sexuelles que j'exerçais dans l'appartement en y faisant ainsi accourir de très nombreux nouveaux clients désirant trouver en moi l'incarnation parfaite de la bonne grosse salope toujours disponible pour faire la pute en servant de vide couilles en acceptant de tailler des pipes sans utiliser de préservatif car j'aime trop le goût du sperme chaud ainsi que de me laisser volontiers enculer pour mon plus grand plaisir et surtout pour celui de ma clientèle toujours plus nombreuse à apprécier mes prestations sexuelles buccales et anales.


Par la suite, aussi d'un commun accord avec moi mon bienfaiteur y a aussi fait installer une petite vitrine afin d'y accueillir une petite collection de godemichés de différentes tailles allant du plus petit faisant tout de même dix huit centimètres de long pour trois centimètres de diamètre, au plus fantasmagorique atteignant les trente centimètres sur six et demi. Tous ces godemichés en plus d'être destinés à faire fantasmer les clients sur mes capacités à pouvoir facilement accepter n'importe quelle bite aux dimensions identiques aussi bien dans ma bouche que dans mon cul, étaient aussi là pour les exciter lorsque pour les faire patienter, je leurs faisais mon petit numéro en les introduisant les uns à la suite des autres d'abord dans ma bouche puis dans mon cul sans aucune difficulté même pour celui de trente centimètres sur six et demi pour lequel je devais utiliser une grande quantité de lubrifiant intime pour que mon rectum accepte cette intrusion sur près de vingt centimètres. Pour certains clients exigeants désirant se faire tailler une pipe tout en ayant le spectacle de la bonne grosse salope que je suis devenue qui en prend plein son cul, choisissaient dans la vitrine un godemiché que je devais m'introduire dans l'anus pour que nous soyons tous deux excités au maximum afin de parfois nous faire atteindre une sensation d'orgasme simultanée au moment où ils éjaculent leur sperme chaud et abondant dans ma bouche humide qui s'empresse d'en avaler la totalité.

 

Bien sûr il y avait aussi l'unique chambre avec un grand lit, où se passaient la plupart de mes relations soit dites amoureuses, dont il était nécessaire de changer les draps tous les jours, et une commode ainsi qu'une armoire où étant comme chez moi je pouvais y ranger méticuleusement toutes mes affaires de fille.


Il y avait aussi une salle de bain où dès qu'en arrivant à l'appartement je me précipitais toujours sur les toilettes pour vider mes intestins afin que mes futurs sodomisateurs ne se retrouvent pas avec la bite souillée d'excréments. J'y passais aussi environ dix minutes pour me métamorphoser en fille maquillage et habillage compris, et s'en était de même pour me démaquiller et me retransformer en garçon afin de rentrer chez moi avec la bouche légèrement dilatée et le cul en feu débordant de sperme en dégoulinant. C'est aussi là que mes futurs amants devaient se laver méticuleusement la bite avant d'être autorisés à se vider les couilles en moi.


Dans la cuisine se trouvait un grand réfrigérateur où en plus de contenir quelques victuailles était bien pourvu en boissons fraîches en particulier des sodas que parfois j'étais bien contente de trouver entre deux merveilleuses fellations ou inoubliables gorges profondes.


Ainsi j'ai eu affaire à des pervers de tous genres qui en plus de ceux qui se délectaient de me faire avaler le sperme que j'avais en bouche où après une fellation ou une gorge profonde étaient en transe à l'idée de pouvoir y faire nager leur bite dans le sperme du précédent sodomisateur. Ils y en avaient même qui me forçaient à m'accroupir avec un bol sous les fesses afin d'en recueillir du sperme en excès dégoulinant de mon cul et moyennant un supplément me demander à boire la totalité du contenu du bol.


Durant toute la longue période qui a suivi où j'ai été en contact avec d'importantes quantités de sperme, j'ai eu la chance, maintenant que j'y pense, de n'avoir jamais contracté de maladies sexuellement transmissibles telle que la syphilis, et ce n'est seulement que vers quinze ans après avoir sucé des milliers d'hommes et autant qui m'ont enculé, que je me suis retrouvé avec un important pécule, certainement aussi important que celui accumulé en tant que commission par mon bienfaiteur dont je suis persuadé d'être la seule petite pute soumise et docile lui rapportant autant d'argent en ne rechignant pas à offrir sa bouche extrêmement gourmande cernée de ses lèvres pulpeuses abondamment maculées de rouge intense afin de faire plus pute, et le petit trou intime qui reste néanmoins encore très resserré malgré les très nombreuses bites qui lui forcent les sphincters, situé entre ses petites fesses accueillantes, et une toute aussi importante garde-robe qui m'a permis d'être le travesti que petit à petit je suis devenu jusqu'à aujourd'hui.

 

Pendant toute la période qu'a durée notre collaboration entre moi qui faisait la pute et mon bienfaiteur qui quotidiennement me procurait ma clientèle désirant venir se vider les couilles en moi, je ne fus absent que pendant une courte semaine durant laquelle j'ai du rester au lit, non pas avec des amants me mettant leur bite au plus profond de mon cul, mais à cause d'une mauvaise grippe accompagnée d'une forte fièvre. Ainsi afin de ne pas être obligé d'annuler les rendez-vous qu'il avait planifiés pour moi, mon bienfaiteur du faire appel aux services non pas d'une agence d'intérim car il n'en existe pas qui sont capable de fournir de jeunes prostituées mais à ceux de l'école de salope où j'avais fait un stage pour qu'elle mette à sa disposition une de ses pensionnaires pour tailler des pipes et se laisser volontiers enculer le temps que je me rétablisse afin de reprendre mes activités de bonne jeune grosse salope qui aime autant en avoir plein la bouche que dans le cul en ayant avec sa nombreuse clientèle de multiples relations sexuelles buccales et anales sans utiliser de préservatif afin d'avaler directement ou indirectement les grandes quantités de sperme chaud et abondant déversées en elle et dont elle se délecte.

 

Par gwladys - Publié dans : gwladys - Communauté : gwladys travesti 60 ans
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Lundi 20 juin 1 20 /06 /Juin 11:10

Afin que mon cul perde son état de chou-fleur, j'ai du modérer mes enculades pour me porter plus sur des relations sexuelles buccales avec les travailleurs émigrés noirs et arabes dont je m'étais donné la mission de satisfaire au moins une fois par semaine.

Heureusement pour cette tache qui est avant tout un plaisir, je suis secondée par une amie et collaboratrice femme nymphomane pourvue d'une poitrine opulente et refaite qui fait un bon cent cinq E, ainsi dans ces moments là, afin de pallier à mes indisponibilités momentanément partielles, elle du mettre les bouchées doubles, et ceci pas seulement en taillant des pipes à plusieurs bites simultanément, mais aussi en offrant son vagin fortement distendu à cause des nombreuses bites de toutes dimensions qui ont, durant toute sa vie de débauche, été invitées à lui défoncer sa chatte devenue béante et son trou du cul qui est de l'avis de ses nombreux sodomisateurs est encore resté relativement serré. Afin de satisfaire d'autres formes d'envies sexuelles toujours plus nombreuses et diverses en plus de ne pas refuser de pratiquer des branlettes espagnoles entre ses énormes seins, elle en vint aussi à se porter partante pour être la cible de bukkakes géants afin de satisfaire simultanément plusieurs dizaines de résidents se masturbant debout autour d'elle jusqu'à l'éjaculation au-dessus de son corps nu couché à même le sol. Bien évidemment elle réservait cette dernière pratique qu'en fin de soirée afin de pouvoir aller se doucher avant de quitter les lieux pour rentrer chez elle.

Pendant ce temps, afin de ne pas rester inactive, j'offrais volontiers ma bouche extrêmement gourmande cernée de ses lèvres pulpeuses abondamment maculées de rouge intense qu'il fallait bien renouveler à plusieurs reprises au cours de la soirée afin de demeurer désirable, pour faire rapidement de merveilleuses fellations et d'inoubliables gorges profondes en utilisant les mains douces et agiles pour branler les bites pour en accélérer l'érection et l'éjaculation dans le préservatif.

Après ces quelques temps d'abstinences anales, mes sphincters anaux ayant retrouvés leurs propriétés et fonctions initiales, progressivement je pus reprendre ce qui a toujours été ma raison d'être, c'est à dire de me laisser sodomiser par de nombreuses bites en prenant toutefois l'initiative d'envoyer celles que pour l'instant je juge trop grosses vers le cul accueillant ou la chatte béante de ma collaboratrice qui ne s'en plaint pas, bien au contraire.

Afin de limiter les dégâts, quellle que soit la grosseur du sexe qui se prépare à m'enculer, je m'enduis abondamment l'anus de lubrifiant intime et j'en fais de même sur l'extrémité du préservatif. Ainsi en espérant que progressivement mon cul va être de nouveau prêt à accueillir n'importe quelle bite, voire même aussi à reprendre les doubles et même les triples pénétrations anales, je continue à assurer la mission que je me suis fixée, c'est à dire soulager sexuellement de très nombreuses bites de travailleurs émigrés africains noirs er arabes.

Avec toutes ces précautions, la demande étant relativement très importante, grâce aux résidents de nouveaux foyers qui sont devenus nos clients à l'aide du bouche à oreille vantant le bienfait de nos prestations, sans en avoir fait le compte de façon absolue, avec ma copine nous pouvons affirmer que c'est certainement plus d'un millier de relations sexuelles buccales et anales que nous assurons pleinement chaque semaine avec toutes les mesures d'hygiènes requises puisque même sous la proposition d'être rémunérées en supplément nous acceptons jamais d'avoir en nous une éjaculation de sperme chaud et abondant autrement que par préservatif interposé afin de ne pas être contaminées ni diffuser une maladie sexuellement transmissible telle que le SIDA ou la syphilis

Par gwladys - Publié dans : gwladys - Communauté : gwladys travesti 60 ans
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Vendredi 31 décembre 5 31 /12 /Déc 10:42


En effet depuis presque cinq ans que je me laisse volontiers enculer tous les soirs par plusieurs dizaines de résidants de foyers de travailleurs émigrés noirs et arabes, mes sphincters se trouvent tellement dilatés qu'il devient superflu que j'utilise encore un lubrifiant intime.
Parfois cela me pose des problèmes en ce qui concerne mes capacités à pouvoir me retenir d'aller déféquer, aussi afin d'éviter tout désagrément, entre deux sodomies, car rappelons le, je taille aussi de nombreuses pipes, je m'introduis dans l'anus un tampon périodique de taille maxi.
En plus de cela, avant de me rendre dans un foyer pour me faire enculer, avec la même poire à lavement en caoutchouc munie d'une fine canule que je me sers en la remplissant d'eau tiède afin d'éliminer toutes traces de sperme survenues à la suite d'un préservatif qui s'est déchiré, j'en fais de même plusieurs fois afin de débarrasser mon rectum de toute matière fécale.
Ainsi, sans qu'il y ait le moindre problème, je peux sereinement me laisser enculer sans me poser de question, parfois aussi en double, voire même en triple pénétration sans en ressentir aucune douleur tellement mon anus étant en chou-fleur, il a les sphincters dilatés à l'extrême. Ce qui produit ainsi beaucoup de plaisir aux résidents qui peuvent y entrer comme s'ils y étaient invités de façon permanente, en pouvant y rester tout le temps qu'ils veulent à la condition d'être toujours munis d'un préservatif.
Bien évidemment cela est perçu différemment selon mes clients. Ainsi pour ceux que l'on peut qualifier de très bien montés, principalement des noirs, ils apprécient pleinement car auparavant ils étaient toujours en train de se poser la question s'ils ne me faisaient pas souffrir en me défonçant l'anus plus que je ne pouvais le supporter, maintenant devant cet état de fait, ils considèrent cela comme une aubaine.
Pour les autres qui sont moins bien montés, cela leurs privent dès qu'ils m'enculent d'avoir la sensation que leurs bites sont encore bien serrées entre mes sphincters. Ainsi si cela leurs est insupportable ils peuvent essayer le gros cul toujours accueillant de ma collègue qui n'a pas encore atteint un seuil de dilatation tel que le mien qui est désormais en chou-fleur en abandonnant l'idée de se trouver plus à l'aise dans sa chatte béante depuis pas mal de temps en raison des très nombreuses grosses bites qui l'ont défoncée plus que son gros cul.
Ainsi pour me laisser enculer par ceux qui ont une petite bite, avec leur accord je garde aussi enfiché dans mon anus un petit plug anal en silicone. Ainsi sans avoir recours à une double pénétration, mes sodomisateurs ont l'impression que leurs bites se trouvent confrontées à un passage difficile, ce qui les excitent particulièrement comme auparavant lorsque j'avais encore les sphincters resserrés.
Bien entendu pour tous ceux qui ne peuvent pas se satisfaire d'une telle situation, en ayant pas l'envie que l'une de nous deux leurs fasse une merveilleuse fellation ou une inoubliable gorge profonde, ils leurs restent la possibilité d'avoir recours à une branlette espagnole prodiguée par ma copine à la monstrueuse poitrine refaite qui fait un bon cent cinq E, et qui en plus, ce qui est fortement appréciable pour certains, c'est qu'elle peut la pratiquer sans préservatif lorsque arrive le moment de quitter le foyer après avoir pris une douche afin d'éliminer toutes traces de sueur et aussi principalement de sperme.

Par gwladys - Publié dans : gwladys - Communauté : gwladys travesti 60 ans
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Jeudi 20 mai 4 20 /05 /Mai 11:47


Depuis qu'avec ma complice de sexe nous écumons les foyers de travailleurs émigrés de préférence africains, il y a quelque chose de peu fréquent qui nous a sauté aux yeux en nous faisant parfois de la peine.

En effet lorsque nous nous faisons prendre par tous nos orifices sans nous cacher puisque préférant faire cela avec un large public de façon à ce que ceux qui attendent leur tour se retrouvent en bonne condition de pouvoir éjaculer le plus rapidement possible afin qu'en ne perdant pas de temps nous puissions satisfaire sexuellement tous ceux qui expriment l'envie d'éjaculer en nous par préservatif interposé.

Aussi nous avons remarqué que certains résidents, toujours les mêmes, n'exprimaient pas le désir d'avoir des relations sexuelles. Dans un premier temps ayant pensé qu'il s'agissait d'un manque de moyen malgré la faible somme symbolique de un euro destiné à couvrir nos frais de préservatifs, de mouchoirs en papier et de lubrifiant intime nécessaire à notre activité restant bénévole, nous leur avons offert la possibilité de pouvoir avoir avec l'une de nous deux une relation sexuelle sans avoir à débourser un euro.

La grande majorité d'entre eux ayant refusé notre offre, pour comprendre nous avons voulu en savoir plus et à notre grande surprise nous avons appris que ces hommes étaient plutôt portés sur des relations homosexuelles passives pour jouir.

Alors afin de pouvoir les satisfaire, ma complice et moi, nous nous sommes procuré chacune un godemiché muni d'une ceinture. Ainsi nous avons fait notre choix sur quelque chose aux dimensions pas trop extravagantes comme celles qui ne sont juste bonne à faire rêver les spectateurs de films pornographiques, mais deux godes-ceintures de seulement une vingtaine de centimètres de long pour environ trois centimètres et demi de diamètre.

Ainsi affublées de nos godes-ceintures munis d'un préservatif afin de respecter l'hygiène des futurs sodomisés, devant tout le monde nous avons commencé à enculer nos premiers clients à qui nous avons demandé de mettre aussi un préservatif afin de ne pas répandre leur sperme partout lorsqu'ils éjaculeront après s'être masturbés pendant que nous les pénétrerons.

Pour certains, cela leurs a fait naître une vocation lorsque ayant été vu se faire sodomiser par l'une d'entre nous, ils ont dans la foulée accepté de se laisser enculer par leurs camarades de foyer qui ainsi ont trouvé en eux d'autres possibilités de se vider les couilles lorsqu'il y a urgence entre deux de nos visites à vocation uniquement sexuelles.

Étant au courant de cela nous leurs avons offert des tubes de lubrifiant intime et des préservatifs en leurs rappelant que c'était indispensable pour se faire enculer ou même tailler des pipes sans avaler le sperme.

Aussi ayant la possibilité de se faire enculer ou de tailler des pipes à chaque fois qu'ils en ont l'envie, les clients ayant goûté aux bienfaits de nos godes-ceintures nous délaissent au profit de leurs compatriotes, ce qui nous a obligé afin de rentabiliser notre investissement de lui trouver une autre utilisation.

Ainsi, ma copine, qui est aussi ma complice, et moi, nous utilisons entre nous nos godes- ceintures avant de nous rendre dans les foyers de travailleurs émigrés africains afin de préparer tous nos orifices à être pénétrés sans que cela ne nous pose des problèmes dus à la pré-dilatation que nous nous imposons ainsi réciproquement.









Par gwladys - Publié dans : gwladys - Communauté : gwladys travesti 60 ans
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