gwladys

Dimanche 4 juin 7 04 /06 /Juin 15:25
LES FOIS OÙ J'AI CRU NE PAS POUVOIR ASSUMER MON RÔLE DE PUTE.
Ainsi dès mes débuts en prenant bien à coeur d'assurer mon rôle de pute auprès des premiers hommes dont je fus confronté à leurs sucer la bite ou à leurs laisser me la mettre dans le cul pour dix francs jusqu'à temps qu'ils éjaculent leur sperme chaud et abondant sous forme de puissants jets, j'étais si fier des bons résultats que cela me faisait oublier le goût du sperme que j'avalais pour dix francs supplémentaires.
Cela dura depuis l'âge de dix ans où je fis connaissance de celui que je considérais comme étant mon bienfaiteur car en plus de m'avoir initié aux plaisirs des fellations et des gorges profondes ainsi que des sodomies pratiquées avec de très nombreux clients, il a toujours veillé à me procurer une clientèle régulière me permettant de bien vivre en assouvissant mes penchants en tant que relations sexuelles qu'elles soient buccales et anales jusqu'à l'âge de mes seize ans où notre collaboration prit fin, car nous convinrent d'un commun accord que je n'avais plus l'âge de jouer la très jeune pute que la clientèle appréciait pour sa fraîcheur, pour me lancer dans une toute autre carrière d'escort-girl débutante.
À mes débuts de très jeune pute, je fus d'abord initié par mon bienfaiteur qui me demanda de lui tailler une pipe afin de se rendre compte comment je pouvais assurer cette activité sexuelle. Comme c'était la première fois que je prenais une bite en bouche afin de ne pas me brusquer, il se contenta d'en introduire juste le gland entre mes lèvres puis progressivement d'y faire pénétrer une partie de la hampe afin que je resserre mes lèvres sur celle-ci jusqu'au moment où il éjacula un premier jet de sperme chaud et abondant que par surprise je ne pu faire autrement que de l'avaler, pour les autres je réussis à me maîtriser en gardant la précieuse semence en bouche pour ensuite l'avaler lorsque mon partenaire sexuel me fit part que si j'en avalais la totalité cela me rapporterait dix francs supplémentaires en plus des dix autres pour lui avoir permis qu'il me mettre sa bite en bouche.
Ce même jour pour ce qui est de ma première sodomie, car l'ayant informé que j'étais encore vierge du cul, pour m'y préparer, il m'introduisit un doigt dans l'anus en ayant pris la précaution de l'enduire d'une très importante quantité de lubrifiant intime. Puis jugeant que je me trouvais prêt à subir l'assaut final dans un premier temps il appuya son gland contre ma rondelle encore vierge en m'avertissant que si cela devenait à me faire trop mal je n'avais qu'à lui dire d'arrêter. Puis il le fit pénétrer dans mon anus, suivis d'une partie de sa hampe. C'est à ce moment que je ressentis quelques douleurs mais trouvant cela parfaitement supportable au lieu de lui demander d'interrompre ma première sodomie je lui fis part que j'étais d'accord pour qu'il s'introduise encore plus profondément au fin fond de mon rectum, aussi joignant le geste à la parole je passais une main derrière ses fesses afin qu'en appuyant dessus d'une légère pression je force mon sodomisateur à maintenir sa position pendant qu'il faisait faire à son sexe des allers et retours de plus en plus rapides et aussi de plus en plus en profondeur jusqu'au moment où comme il l'avait fait dans ma bouche précédemment il se vida de l'intégralité de son sperme. Puis il se retira et aussitôt il me demanda si je n'avais pas le désir d'expulser la précieuse semence d'en un bol afin d'en laper l'intégralité du contenu en me spécifiant que c'est une pratique très appréciée de ma future clientèle qui est prête à débourser dix francs supplémentaires pour cela. C'est ainsi que je lapais mon premier bol de sperme toutefois mélangé avec un peu de matière fécale.
C'est ainsi qu'après cette première sodomie d'incitation, mon bienfaiteur exigea de moi qu'avant de commencer toute séance de relations sexuelles buccales et anales avec les nombreux clients de désormais il me procurera chaque jour je devrai toujours lui accorder ma première sodomie. Ce rituel durera tout le temps de notre collaboration excepté pendant les trois jours où je fis un stage de remise à niveau dans une prestigieuse école de salope.
Ainsi dès le lendemain je fis connaissance de ma première clientèle à l'appartement où je devrai désormais jouer je rôle d'une très jeune pute en devant satisfaire sexuellement pour dix francs la passe qui était doublés si je consentais à avaler le sperme.
C'est ainsi que tous les jours de la semaine de dix sept heures à dix neuf heures je taillais des pipes et me laissais volontiers enculer comme une bonne grosse salope juste bonne à consommer des bites à la chaîne. Il en était de même pour les samedis et dimanches ainsi que pendant les vacances scolaires où je devais être à la disposition de mon bienfaiteur et surtout à la clientèle qu'il me procurait de quatorze heures à dix neuf heures. Durant les longues années qu'a duré notre collaboration, jamais je n'ai raté un de ces rendez-vous à me prostituer pour lui en étant coiffé, maquillé et habillé en fille sensuelle et sexy pour le plus grand plaisir de mes clients.
Au point de vue clients il m'était interdit d'en refuser car avant de me les présenter mon bienfaiteur s'assurait toujours qu'ils avaient la bite d'une propreté irréprochable. Aussi après seulement un mois que duraient nos petits arrangements, mon bienfaiteur me fit connaître mes premiers clients noirs et leurs bites aux dimensions hors du commun . Afin que je puisse les recevoir correctement en moi, il me prévint de cet état de fait en me disant que si je ne pouvais pas les introduire dans mon rectum je devrais me contenter de leurs tailler des pipes. Mais tout se passa parfaitement bien malgré au début quelques douleurs au niveau des sphincters que je n'ai pas eu beaucoup de mal à supporter grâce à d'importantes quantités de lubrifiant intime afin qu'ils s'écartent à leurs maximums pour laisser le passage à ces très grosses bites qui désormais ne me feront plus peur.
Par la suite afin de satisfaire un maximum de clients je me mis à accepter d'avoir une bite en bouche en même temps qu'une autre de défonce le cul, ce qui au bout d'un certain temps me fit accepter des pénétrations multiples en pratiquant des doubles anales puis ensuite même parfois des triples.
Au bout de deux ans que duraient notre collaboration mon bienfaiteur me demanda si je serai intéressé pour que je sois loué à un groupe d'hommes afin de passer toute une nuit avec eux de vingt heures à sept heures afin de me montrer très compréhensible et très ouvert à tous leurs désirs sexuels dès l'instant où il ne s'agit pas de sadomasochisme ni d'urologie ni de scatologie, en me spécifiant que cela me rapporterait autant qu'une semaine à me prostituer, mais pour cela il me faudrait trouver une bonne excuse pour ne pas rentrer pendant toute une nuit au domicile familial. Après quelques instants de réflexions et ayant trouvé comment passer une nuit hors de chez mes parents en leurs indiquant que je passerais une nuit chez un copain qui ne démentira pas mon alibi, je dis à mon bienfaiteur que je serai d'accord après avoir mis les choses au point avec le fameux copain.
C'est ainsi que pas plus d'une fois par mois, afin de ne pas éveiller des soupçons je me rendais à ces mystérieux rendez-vous où je taillais des pipes et me laissais volontiers défoncer le cul jusqu'au petit matin par un groupe d'hommes allant de dix à vingt personnes qui bien sûr comme pour toutes relations sexuelles se faisaient en toute liberté sans utiliser de préservatif pour éjaculer en moi. Ainsi se relayant dans ma bouche extrêmement gourmande cernée de ses lèvres pulpeuses abondamment maculées de rouge intense ou au creux du petit orifice intime mais toujours néanmoins resserré malgré les nombreuses bites qui auparavant ont déjà été invité à lui défoncer les sphincters, situé entre mes deux grosses fesses volontiers accueillantes et rebondies, tous ces mâles en chaleur déposent d'importantes quantités de sperme en moi qu'il me faut avaler directement ou indirectement par l'intermédiaire d'un bol, et ceci durant tout le temps que durera ma petite escapade sexuelle où tous les hommes seront invités à profiter de moi sexuellement plusieurs fois au cours de la nuit s'ils en ressentent l'envie. C'est ainsi qu'au petit matin ayant avalé de très importantes quantités de sperme et en ayant eu recours à plusieurs reprises à des tampons périodiques de taille maxi pour en absorber les excédents accumulés dans mon anus, après m'être métamorphosé en jeune garçon je reprends le chemin du collège afin de suivre difficilement mes cours de la journée à cause du manque de sommeil, avant de me rendre à l'appartement où m'attendent mon bienfaiteur et aussi les clients qu'il a sélectionnés pour moi.
Parfois lors de ces nuits sexuelles il y a des nuits à thème comme par exemple des nuits vouées uniquement aux fellations ou aux gorges-profondes ou encore celles uniquement dédiées à la sodomie. Parmi celles-ci il faut citer celles où je me trouve ligoté par les chevilles et les poignées sur une croix de saint André en étant soit sur le dos afin d'y accueillir sans pause toutes les bites qui désireront y éjaculer en toute liberté dans ma bouche gourmande en me forçant ainsi à avaler la totalité de leur sperme chaud et abondant. De même me trouvant ficelé sur le ventre, c'est mon cul qui cette fois sera offert à toutes les bites qui désireront s'y introduire afin d'y déposer leur précieuse semence jusqu'à temps que mon rectum déborde ce qui m'obligera à faire une pause afin d'éjecter les surplus de sperme dans un bol que je pourrai laper jusqu'à la dernière goûte avant de me remettre à accepter de nouveaux sodomisateurs.
Vers l'âge de treize ans mon bienfaiteur de fit faire un stage de remise à niveau dans une prestigieuse école de salopes où dès mon arrivée je fus jugé sur ma tenue et mon maquillage. De ce côté aux dires de la maîtresse de maison tout était parfait car il n'y avait rien à me reprocher si ce n'est que ma poitrine constituée d'une paire d'énorme faux seins en silicone fut jugée pas assez volumineuse pour correspondre aux fantasmes des hommes qui est de surcroît la blonde à forte poitrine. Une fois cela rectifié la maîtresse de maison me demanda de lui montrer comment je me comportais avec les hommes pour leurs faire des fellations et des gorges-profondes ainsi que de me laisser volontiers enculer. Étant satisfaite de mes performances elle me fit commencer mon stage de jeune salope proprement dite en me demandant d'avoir le plus grand nombre possible de relations sexuelles buccales et anales avec les clients du bordel qui accueillait son école de salopes. Devant mes performances sexuelles qui étaient tout juste d'un peu plus d'une dizaine de clients par heure, elle m'indiqua que je pouvais mieux faire pour atteindre l'objectif optimal de l'école qui est de vingt clients par heures et ceci sans discontinuer pendant toute une journée de dix heures et ceci sept jours sur sept afin de demeurer une très bonne gagneuse dont le maître pourra être fier à tous points de vue. Durant ce stage j'atteignis parfaitement cet objectif, mais de retours à l'appartement j'indiqua à mon bienfaiteur que désormais je serai en mesure de satisfaire une quinzaine de clients par heure sans que cela ne me pose de gros problèmes que je ne pourrai pas résoudre.
Fiers de tout cela mon bienfaiteur et moi qui avions déjà fait quelques petits films pornos où l'on pouvait m'admirer dans des compilations de mon savoir-faire en tant que relations sexuelles buccales et anales à diffuser dans la salle d'attente où j'exerçais mes talents de bonne grosse jeune salope se prostituant pour dix francs la passe et distribuées par des distributeurs de films pornographiques, nous nous demandèrent si nous ne pourrions pas réaliser de vrais films pornos tournés en situations réelles où je serais l'actrice principale telle que dans Gwladys bonne à tout faire, Gwladys au chantier, Gwladys à l'usine ou bien encore Gwladys à la ferme et cetera.
Ainsi dans le premier film où je devais jouer le rôle de la jeune fille au pair travaillant pour une bonne famille allant des petits enfants au grand-père j'étais particulièrement intéressé à toutes les paires de couilles dont il m'était possible de vider le contenu soit avec ma bouche toujours extrêmement gourmande soit entre mes fesses volontiers accueillantes. Aussi le grand-père comme tous les membres de cette famille bourgeoise, y compris la mère de famille qui à l'aide d'un gode-ceinture aux dimensions hors normes, n'avaient qu'un désir qui était de m'enculer le plus souvent possible en allant jusqu'à profiter de mon cul jusqu'à cinq fois par jour excepté le grand-père pour qui une fois suffisait largement à condition que je le suce longuement afin de le faire bander. Ce qui n'était pas le cas pour le père de famille pour qui toutes les occasions étaient bonnes pour me fourrer sa grosse bite dans le cul, en particulier pour me punir en me faisait comprendre que j'avais fait quelque chose de mal. Ayant pris goût à sa grosse bite qu'aussi il m'arrivait fréquemment de prendre en bouche pour lui prodiguer une fellation ou une gorge-profonde, pour précipiter les choses il m'arrivait parfois de faire exprès de faire une grosse bêtise afin qu'il me punisse en me la mettant dans le cul afin d'y éjaculer sous forme de puissants jets son sperme chaud et abondant, ce qui ne laissait pas la mère de famille sans réaction car à la suite de cela elle prenait un grand plaisir à m'introduire son énorme gode-ceinture dans le cul encore dégoulinant du sperme de son mari. Quant aux enfants du couple, en tant que bonne grosse salope à tout faire, je devais leurs assurer une éducation sexuelle digne de ce nom en permettant aux garçons de faire avec moi les mêmes choses que leur père et grand-père et aux filles de faire à leurs frères les mêmes choses que moi.
Pour ce qui est de Gwladys au chantier, contrairement où pour Gwladys bonne à tout faire, on a du faire appel à des acteurs professionnels pour jouer les rôles des parents des enfants étant comme moi à mes débuts de très jeunes putes débutantes dans le métier, on a eu qu'à trouver un chantier de construction où travaille une majorité de noirs et d'arabes bien montés à qui il a suffit de demander l'accord de leurs chefs afin de jouer leurs propres rôles en étant ravis de pouvoir se faire tailler des pipes par une bonne grosse salope comme moi et aussi de l'enculer afin de déverser en elle sans utiliser de préservatif leur sperme chaud et abondant par grands jets puissants. Aussi dans mon rôle de cantinière peu farouche, pendant les pauses je leurs apportais un sandwich et un café, certains trouvaient bon de me mettre la main au cul avec l'espoir que j'accepte l'invitation à me le faire défoncer. Ce qui dans la généralité des cas, pour les besoins du film se concrétisait dans une des baraques de chantier servant de vestiaire où avaient été installé des cameras afin d'immortaliser ces instants de débauche où parfois j'étais pris aussi en double voire parfois en triple pénétration anale avec simultanément une grosse bite en bouche à laquelle je taillais une pipe.
Quant au tournage de Gwladys à l'usine, ceci à été réalisé dans une entreprise où tous les employés ont trouvé cela comme étant une excellente aubaine de pouvoir participer à un film porno sur leur lieu de travail en ayant l'opportunité de pouvoir eux aussi se faire tailler des pipes par une bonne grosse salope et de l'enculer sans utiliser de préservatif et sans rien avoir à débourser. Ainsi jouant le rôle d'une ouvrière peu qualifiée mais prête à tout pour gravir les échelons, je multipliais les relations sexuelles buccales et anales avec de nombreux cadres de tous niveaux. Il en était de même avec mes collègues masculins que je sollicitais pour me faire remplacer à mon poste de travail lors de mes recherches clandestines de promotion durant lesquelles il m'arrivait parfois de m'absenter pendant plus d'une heure. Tout ceci m'avait donné une réputation de fille facile qui était prête à coucher avec n'importe qui dès l'instant où elle y trouvait son intérêt pour n'importe quoi dès l'instant où cela lui rapportait des avantages non négligeables. C'est ainsi que bien souvent je me retrouvais dans le bureau d'un cadre afin d'avoir avec lui une relation sexuelle dûment consentie ou également avec un collègue dans un vestiaire ou dans les chiottes afin de payer sexuellement une dette pour un service rendu.
Quant au dernier film intitulé Gwladys à la ferme c'est de très loin celui avec lequel nous avons eu le plus de difficultés à réaliser aussi bien en tant qu'équipe de tournage que mon rôle de la jeune fermière qui à pris beaucoup de plaisir à avoir des relations sexuelles buccales et anales avec le fermier et ses commis sans oublier les animaux qui eux aussi ont bien voulu se prêter à éjaculer en moi. Tout d'abord, cela a commencé lorsqu'en toute innocence j'ai voulu traire un taureau en prenant son gros sexe dans mes petites mains afin qu'en le branlant, il me donne tout son jus. N'arrivant pas à mes fins, comme la tétine d'un gros biberon je le pris ensuite partiellement en bouche et là après quelques minutes d'aspiration ma persévérance fut enfin recommencée lorsqu'il éjacula une très grande quantité de sperme que ma bouche toujours habituellement gourmande eut du mal à tout avaler dans sa totalité où à ma grande surprise bien qu'étant différent de celui des humains à qui je taille des pipes régulièrement, je ne fus pas déçu de sa texture et de son goût.
Peu après étant remise de mes émotions, lorsque j'aperçu un cheval dans de bonnes dispositions, une idée me vint à l'esprit, pourquoi ne pas lui offrir mon cul car après tout, à par la longueur de son sexe, il ne devrait pas être bien plus difficile à introduire dans mon anus que trois énormes sexes d'hommes noirs que j'accepte volontiers en triple pénétration. Sur ce fait après une ultime préparation en utilisant des plugs anaux de plus en plus gros, mes sphincters étant dilatés à leurs maximums, je me mis à quatre pattes devant lui en lui exposant mon postérieur qu'un assistant avait pris la précaution d'enduire d'une très importante quantité de lubrifiant intime. Un autre assistant fit approcher l'étalon de mon cul puis prit sa grosse et longue bite et en plaqua le gland en appui contre ma rondelle en le tenant à deux mains afin d'exercer une pression contre cette dernière. Au bout d'un certain temps d'hésitation, l'étalon se rendant compte de ce que l'on attendait de lui fit pénétrer en partie sur quelques centimètres son gros gland entre mes fesses volontiers accueillantes. Puis le gland pénétra entièrement à l'intérieur de mon anus, ce qui était le plus difficile à passer au point de vue épaisseur et se fut au tour des deux tiers de la hampe d'à peu près quarante centimètres de trouver sa place par des allers et retours saccadés excitant l'étalon jusqu'à ce qu'il éjacule en moi en m'inondant de sa semence comme il le fait habituellement dans le vagin d'une jument, ce qui nécessita l'emploi de plusieurs tampons périodiques de taille maxi pour éponger le surplus de sperme que mon anus ne pouvait pas garder en lui sans se répandre sur mon string en dentelle qui allait faire le bonheur du fermier et de tous ses employés que désormais j'allais inviter à m'enculer.
Aussi après m'être laissé enculer et aussi après avoir taillé des pipes à ceux qui le préféraient, il était tant pour moi de faire connaissance avec d'autres animaux de la ferme comme par exemple un âne avec qui je partageais autant de plaisir qu'avec le cheval, ainsi qu'un porc et un bouc qui ne furent pas dépaysés de délivrer leur précieuse semence ailleurs que dans le vagin d'un autre animal de leur espèce, tout comme avec le taureau une fois remis ne nos émotions je me montra consentant pour subir les mêmes assauts qu'avec le cheval sans mes assistants éprouve le besoin de me préparer pour cette saillie qui en tant que bonne défonce fut mémorable au point que les spectateurs demandèrent une suite qui ne devrait pas tarder à être tournée sous le titre Gwladys à la campagne en attendant de tourner Gwladys au zoo où il y aura davantage d'animaux prêts à se vider les couilles en moi après m'avoir forcé ma bouche toujours extrêmement gourmande ou défoncé mon cul volontiers accueillant.
Par contre, là où j'ai cru ne jamais pouvoir arriver à accomplir le challenge que je m'étais fixé pour faire comme les autres c'est pendant mon stage de trois jours dans une prestigieuse école de salopes où j'ai du avoir une relation sexuelle buccale ou anale sans utiliser de préservatif toutes les trois minutes et ceci pendant dix heures d'affilée sans discontinuer. Ainsi ce n'est pas seulement le fait que de me retrouver avec le contour des lèvres légèrement endolories à force de tailler de nombreuses pipes mais plutôt d'avoir eu à avaler de très importantes quantités de sperme chaud et abondant qui parfois étaient sur le point de me donner la nausée. En ce qui concerne les sodomies, mes sphincters anaux se trouvant tellement dilatés que je ne ressentais pratiquement plus rien à force d'offrir mes fesses volontiers accueillantes si ce n'est que de temps en temps je devais aller expulser les excès de sperme se trouvant dans mon rectum.
Moyennant quoi j'ai tenu bon afin d'obtenir avec la mention très bien mon diplôme de salope qui a récompensé le fait que je sois au vu de mon bienfaiteur et surtout de mes nombreux clients que j'ai à l'appartement tous les après-midi sept jours sur sept tout au long de l'année la merveilleuse jeune petite pute qui ne refuse jamais une relation sexuelle buccale ou anale pour dix francs avec dix autres francs supplémentaires si elle avale directement ou indirectement tout le sperme éjaculé en elle.
Dès le début où j'ai fait la connaissance de celui qui allait devenir mon bienfaiteur, après une rapide initiation à la fellation en avalant le sperme et à la sodomie, j'ai tout de suite su que j'allais devenir une très jeune pute pour le plus grand plaisir de mes nombreux clients qui pourront éjaculer en moi leur sperme chaud et abondant sans utiliser de préservatif lorsque j'aurai avec eux de multiples relations sexuelles buccales et anales tarifées à seulement dix francs la passe sans évidement compter la commission prise par mon bienfaiteur qui organise mon planning et me fournit l'appartement où j'exerce avec brio mes talents de bonne jeune grosse salope et ceci après ma première semaine d'initiation où j'ai pratiquement réinvesti la totalité de mes gains pour me transformer en fille afin d'être la plus désirable possible auprès de ma clientèle toujours plus nombreuse à vouloir désirer se vider les couilles dans celle qui est devenue à leurs yeux un excellent vide-couilles au féminin.
Par la suite mon bienfaiteur me présenta des noirs et des arabes particulièrement bien montés, avec des bites aux dimensions exceptionnelles pouvant atteindre les trente centimètres de longueur pour six centimètres d'épaisseur, avec lesquels il me demanda d'être très gentille afin de satisfaire tous leurs désirs sexuels allant même jusqu'à accepter de me laisser volontiers enculer en doubles voire même en triples pénétrations anales ce qui fut une bonne préparation pour beaucoup plus tard de me faire sodomiser partiellement par un cheval pour tourner un film porno intitulé Gwladys à la ferme sans que cela ne me pose pas trop de problèmes bien que l'introduction de son sexe de plus de quarante centimètres n'ait été que partielle, mais tout de même sur plus de vingt cinq centimètres pour le plus grand plaisir visuel de tous ceux qui ont pu en admirer le résultat ainsi que toute la préparation qui y a été nécessaire afin de réaliser cet exploit qu'en principe plus généralement des vraies femmes acceptent dans leur vagin sur une moins grande longueur.
Par gwladys - Publié dans : gwladys - Communauté : gwladys travesti 60 ans
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Samedi 6 mai 6 06 /05 /Mai 15:21

Sodomie : quels sont les risques de cette pratique sexuelle ?

La pénétration par l'anus, autrement appelée sodomie, peut être très appréciée lorsqu'elle est pratiquée avec précaution. Toutefois il existe de nombreuses idées reçues : la sodomie provoquerait  hémorroïdes, fissures et incontinences anales. Alors, info ou intox ? 


Pratique de la sodomie en France

La sodomie conquiert peu à peu la population française. En deux mille quatorze, l'ifop révélait dans un sondage nommé "Les Français, le sexe et la politique" que près de cinquante pour cent des sondés avaient déjà pratiqué la sodomie. Mais qu'en est-il des risques ? Pour le Groupe de Recherche de la Société Française de Proctologie, "contrairement aux idées reçues, la sodomie n'augmente pas le risque d'incontinence anale et d'hémorroïdes". Pour le proctologue, le seul risque à cette pratique reste une plus grande probabilité de contracter une maladie sexuellement transmissible.


Un plus grand risque d'infection

Comme lors de tous rapports sexuels, il existe un risque d'attraper des maladies sexuellement transmissibles comme :

La syphilis ;

La gonococcie ;

La chlamydiose ;

Les hépatites B et C ;

Et le virus du sida (VIH).

Mais le risque est accru lors d'une sodomie puisque celle-ci peut provoquer des micros fissures laissant plus facilement passer les virus dans le sang.


De plus, même lors de rapports protégés, il est possible que des condylomes se développent. D'après la société française de dermatologie, "les condylomes sont des verrues génitales externes bénignes dues à quelques espèces d'HP le Papilloma virus humain". Les patients atteints sont traités par voie médicamenteuse ou lors d'une petite chirurgie. Il est également possible de prévenir les condylomes avec le vaccin Gardasil. "Les condylomes peuvent être transmis par les doigts lors des rapports et des caresses" ajoute le proctologue.


Il faut donc systématiquement utiliser un préservatif du début jusqu'à la fin du rapport. Les risques concernent aussi bien la personne pénétrée que la pénétrante.


Une pratique douloureuse ?

La sodomie est parfois considérée comme une pratique douloureuse. Pourtant, lorsqu'elle est pratiquée avec douceur, elle peut être source de plaisir. En effet, lorsque la personne pénétrée est tendue, stressée, elle se contracte, rendant la pénétration difficile et donc possiblement douloureuse. Pour éviter les douleurs, la pénétration ne doit pas être trop brutale et la personne pénétrée doit être relâchée. Il est essentiel de bien lubrifier et de stimuler au préalable l'anus grâce à des pénétrations digitales ou avec des sextoys par exemple.


Eviter de passer d'une pénétration anale à une pénétration vaginale ou buccale

Lors d'une pénétration anale, des germes et des bactéries peuvent se déposer sur la verge, les doigts ou le préservatif. Ils peuvent créer des infections comme des cystites ou des vaginites, bénignes mais très inconfortables. Il est donc très important de se laver ou de changer de préservatif après une pénétration anale, si l'on souhaite passer à une pénétration buccale ou vaginale.


Un risque augmenté d'incontinence anale ?

"L'une des plus grosses peurs des gens qui me consultent c'est l'incontinence anale. Mais quand on regarde les différentes études sur le sujet, un rapport anal "classique" (un pénis ou un objet de la taille du pénis dans un anus), il n'y a pas de risque. C'est dans les cas les plus extrêmes comme le fist fucking qu'il y a un danger d'incontinence".


Sodomie : peu de risques de fissure anale

Lors des premiers rapports où la sodomie est pratiquée, l'anus peut légèrement se fissurer. "La fissure est toujours superficielle et dans la majorité des cas il n'y a pas lieu de s'inquiéter" prévient le proctologue. Ces déchirures sont bénignes mais peuvent être très douloureuses. Pour y remédier, il est conseillé de prendre son temps, de privilégier les caresses pour favoriser la détente et la décontraction des muscles. Lubrifier est essentiel car l'anus ne sécrète pas de substance lubrifiante contrairement au vagin par exemple. L'utilisation d'un préservatif est recommandée pour éviter les infections. C'est également un bon moyen de lubrification. 


Il faut savoir qu'au fil du temps et de la pratique, l'anus a tendance à se relâcher plus facilement et l'acceptation de la pratique est meilleure. Les risques de fissures deviennent donc moindres avec l'expérience.


Sodomie : quand et qui consulter ?

En cas de fissure anale, il est recommandé de mettre de la pommade ou des suppositoires cicatrisants, disponibles en pharmacie."si au bout de quelques jours les symptômes persistent, il faut consulter un médecin qui vous auscultera l'anus, comme les proctologues, les gastro-entérologues ou certains généralistes".


Dans tous les cas, si vous avez des symptômes anaux comme une boule, des douleurs ou des saignements qui persistent plusieurs jours, consultez un spécialiste.


Pratiquer la sodomie sans danger

Il est très important de prendre quelques précautions avant de pratiquer la sodomie :  


Le consentement de votre partenaire est indispensable. Discutez avant de vos envies, de vos désirs. Sans son accord, vous ne pouvez pas pratiquer la sodomie ;

Veillez à toujours bien lubrifier pour faciliter la pénétration ;

Ne pratiquez pas si vous souffrez d'une pathologie au niveau de l'anus ;

L'anus est source de germes. Si vous sodomisez votre partenaire, veillez à mettre un préservatif de sorte à ce que les bactéries ne se transmettent pas de son anus vers son sexe ou sa bouche ;

Caressez-vous pour favoriser la détente et la relaxation des muscles. Les préliminaires sont indispensables pour cette pratique.

Le choix du lubrifiant

Il n'est pas toujours évident de trouver le bon lubrifiant, encore plus lorsqu'il s'agit de sodomie. Plusieurs options s'offrent à vous :


Vaseline,

Lubrifiant à l'eau ou au silicone ou huiles végétales.

Les huiles végétales et la vaseline sont incompatibles avec les préservatifs en latex car ils augmentent la porosité de celui-ci, augmentant le risque de rupture lors de l'acte. Si vous pratiquez sans préservatif, les huiles végétales, comme l'huile de coco, peuvent être une bonne alternative naturelle aux lubrifiants chimiques.


Pour l'utilisation de sextoy, il est recommandé de favoriser les lubrifiants à base d'eau. Les gels à base de silicone, quant à eux, ont un plus grand pouvoir glissant et peuvent s'utiliser sous la douche. Dans le cas d'une pénétration anale, il est recommandé de déposer du lubrifiant à l'entrée de l'anus mais aussi sur la verge, le sextoy ou les doigts pour éviter les inconforts.

Par gwladys - Publié dans : gwladys - Communauté : gwladys travesti 60 ans
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Dimanche 16 avril 7 16 /04 /Avr 11:45

Bien sûr cela ne s'est pas fait du jour au lendemain où en me réveillant un matin je me suis dit : "et si j'allais tourner des films pornos ?", mais progressivement en acceptant d'être filmé en réalisant des compilations sexuelles destinées à faire patienter mes clients lorsque je me prostituais tous les après-midi dans l'appartement mis à ma disposition par mon bienfaiteur.

En effet, depuis que je me suis définitivement installé dans l'appartement que mon bienfaiteur a mis à ma disposition afin que je puisse faire la pute en toute sécurité, dans la grande entrée servant de salle d'attente à ma clientèle désirant avoir avec moi des relations sexuelles buccales ou anales sans utiliser de préservatif, avec mon accord il a fait installer un grand téléviseur couplé à un lecteur VHS pour assurer la diffusion en boucle des séquences où je taille des pipes et me laisse volontiers enculer par mes nombreux clients pour seulement dix francs et encore dix francs supplémentaire si on me demande d'avaler la totalité du sperme déposé en moi aussi bien directement en faisant une fellation ou une gorge-profonde qu'indirectement en lapant intégralement le contenu d'un bol où j'ai expulsé le sperme de mon anus après une sodomie.

Ainsi avec l'accord de mes partenaires sexuels, on peut m'admirer avec un sexe qui fait des allers et retours à l'intérieur de ma bouche extrêmement gourmande ou entre mes fesses volontiers accueillantes afin d'y déverser son sperme chaud et abondant, puis en se retirant après y avoir éjaculé librement laissent entrevoir des flots de sperme ruisselant entre mes lèvres pulpeuses abondamment maculées de rouge intense ou s'écoulant de mon anus qui n'arrive plus à en contenir une telle quantité sans être obligé d'avoir recours à l'introduction d'un tampon périodique de taille maxi.

Bien évidement tout ceci reste confidentiel au point que pour certaines fellations et gorges-profondes ainsi que pour certaines sodomies on ne peut voir qu'en gros plan les sexes qui me pénètrent le cul et la bouche, ce qui n'empêche pas d'être très apprécié par ma clientèle qui se délecte aussi de pouvoir me voir avec une bite en bouche et simultanément une ou plusieurs dans le cul prêtes à y éjaculer sans préservatif.

Bien sûr pour tout cela je ne peux pas me présenter comme un jeune garçon, mais plutôt comme une fille qui se coiffe, se maquille et s'habille non pas comme une jeune femme à la fois élégante et sensuelle, mais comme une bonne grosse salope qui aime tous les sexes et aussi avaler leur sperme qui s'en écoule. Aussi, je mise sur ma longue perruque blonde qui avec mon opulente poitrine constituée d'une paire d'énormes faux seins en silicone autant réalistes au point de vu visuel qu'au toucher au point de même donner envie à certains clients de s'en servir pour y éjaculer en me demandant de leurs faire une branlette espagnole. Ainsi en reflétant le mythe de la ravissante blonde idiote à forte poitrine à qui on peut faire avaler n'importe quoi je suis très apprécié de tous les hommes venants dépenser dix francs à l'appartement afin que je leur serve de vide- couilles, et dix francs supplémentaires en avalant directement la totalité de leur sperme pour conclure une pipe bien taillée, de même qu'en lapant intégralement le contenu d'un bol dans lequel j'ai rejeté le contenu de sperme dégoulinant de mon anus.

Mes sous-vêtements ont aussi une grande importance pour que ces extraits de films soient les plus attirant possible, ainsi en plus d'avoir une fonction de parfait maintien les bonnets de mes soutiens-gorge et guêpières en plus d'être profonds doivent aussi demeurer attrayants en mettant visuellement en valeur mes énormes faux seins qui ravivent tant les hommes. Il en est de même pour les fines jarretelles de mes guêpières et porte-jarretelles qui en plus d'être très excitants à la vue doivent principalement assurer le bon alignement de mes fins bas noirs à couture qui renforcent le galbe naturel de mes longues jambes fuselées terminées par une merveilleuse paire d'escarpins aux talons vertigineux pouvant atteindre les douze centimètres. Et enfin tout en étant coordonné et complétant le tout mon indispensable petite culotte ou mon minuscule string dont la principale fonction est de cacher mes organes sexuels masculins afin qu'en toutes circonstances je conserve toute ma relative féminité tant recherchée.

Quant à mes vêtements, eux aussi doivent suggérer d'avoir avec moi des rapports sexuels comme par exemple de minuscules robes fourreau en vinyle moulant mes seins au décolleté profond dans le dos jusqu'à la naissance de mes fesses à peine cachées par cette matière brillante le plus souvent noire ou rouge. Il en va de même pour des ensembles constitués d'une minijupe en cuir couvrant à peine mes fesses et d'un chemisier en matière presque transparente au profond décolleté découvrant en grande partie mon opulente poitrine. Tout ceci, surtout la longueur de mes robes et jupes est destinée à rendre accessible mes fesses afin d'y accueillir des bites sans qu'il n'y ait aucun obstacle pouvant y faire barrage excepté évidemment ma petite culotte ou mon string que l'on devra toutefois écarter pour faciliter et laisser le libre passage aux bites qui me sodomisent

Ainsi en suivant à la lettre toutes ses directives que je me suis imposé, aussi bien pour mes actes sexuelles que pour mes talents dignes d'une actrice de films pornographiques, devant la caméra je me montre comme une véritable bonne grosse salope avide de sexes et de sperme chaud et abondant que je me presse d'avaler en toutes circonstances. Cette bonne grosse salope, je le suis devenu à force de tailler des pipes et de me laisser volontiers enculer, mais aussi grâce au stage de trois jours que mon bienfaiteur m'a fait suivre dans une prestigieuse école de salopes où je n'ai eu aucune difficulté à accomplir tout ce qui m'a été demandé afin d'obtenir mon diplôme de salope.

Aussi tous les extraits mettant en avance mes performances sexuelles qu'elles soient buccales ou anales sont attentivement suivis par tous les hommes venants en visite à l'appartement afin de se vider les couilles dans la bouche ou le cul d'un jeune garçon comme moi qui de plus est devenu travesti en une véritable jeune et bonne grosse salope prête à tout pour satisfaire sa clientèle de jeune prostituée.

Parmi les extraits les plus appréciés figurent ceux où l'on peut me voir me laisser volontiers enculer par plusieurs hommes les uns à la suite des autres jusqu'à ce que mon cul dont les sphincters demeurent très écartés n'arrive plus à contenir tout le sperme qui vient d'y être accumulé et qui ainsi ruisselle abondamment sur mes fesses prises en gros plan, ce qui m'oblige, toujours devant la caméra, à m'introduire un tampon périodique de taille maxi avant de m'essuyer les fesses avec un mouchoir en papier.

Il en est de même lorsque à la suite d'une fellation ou d'une gorge profonde pour récupérer le sperme qui s'écoule d'entre mes lèvres pour aller jusque sur mon menton avec ma langue je suis le pourtour de mes lèvres afin de ne rien laisser perdre de la précieuse semence qui m'a été offerte, en ce qui concerne le sperme ayant migré sur mon menton c'est avec mon index que je fais ma récolte afin de tout avaler.

Quoi qu'il en soit, c'est aussi lors d'éjaculations faciales, choses qui arrivent que très rarement car à vrai dire, je n'apprécie pas trop ces pratiques qui m'obligent à refaire entièrement tout mon maquillage, c'est le visage abondamment souillé de sperme que je me présente devant la caméra afin d'immortaliser ces instants que certains connaisseurs apprécient.

Bien évidement, il ne faut pas oublier les séquences qui ont demandé de suivre un scénario établi par avance comme par exemple lorsque je suis en train de faire une fellation ou une gorge-profonde à un homme et que j'ai la surprise de ressentir une autre bite s'introduire entre mes fesses volontiers accueillantes afin d'y éjaculer, elle aussi en toute liberté sans utiliser de préservatif. Parfois c'est même deux, voire même parfois trois bites qui prennent ce chemin.

Bien sûr dans ces séquences vidéo filmées, la bande sonore ne doit pas être négligée car elle aussi peut demeurer excessivement érotique comme par exemple lorsque pendant que je m'affaire avec une bite en bouche on ne peut percevoir que des bruits de sucions et de déglutitions en plus des râles de plaisirs et de délivrances, ainsi que les paroles d'encouragement, exprimés par celui qui vient d'éjaculer dans ma bouche extrêmement gourmande ses jets de sperme chaud et abondant en toute liberté sans utiliser de préservatif. 

D'autres séquences sont davantage sonores comme lorsque je me laisse volontiers enculer en émettant différents cris qui peuvent aller de la douleur passagère à de la jouissance pouvant extérioriser un orgasme non simulé mêlés à des paroles d'encouragement comme par exemple : "que c'est bon, je la sens bien ta grosse queue, continu comme cela et n'ai pas peur de m'éclater la rondelle avant de me remplir de foutre !" ou encore : "dis-moi qu'en tant que bonne grosse salope, je suis la meilleure petite pute que tu as eu l'occasion de sodomiser ?"

À l'intérieur de toutes ces compilations il y a plusieurs points communs qui sont du sperme en abondance et des bites à qui je fais des fellations et des gorges-profondes ou que je me laisse volontiers enculer par elles, même celles aux dimensions les plus au au- dessus de la normale, et bien évidement des tenues plus sexy les unes que les autres sur lesquelles on peut apercevoir des traces de sperme laissées pas intentionnellement après avoir pratiqué des relations sexuelles buccales et anales qui ont malencontreusement débordé. Ainsi ces dégoulinades de sperme sont très spectaculaires lorsqu'elles surviennent sur des vêtements en vinyle faciles à nettoyer d'un simple passage d'éponge mais lorsqu'elles parviennent sur des vêtements en coton ou en autres matières synthétiques elles imposent un nettoyage plus approfondi, ce qui entraîne un changement de vêtements.

Parmi les autres choses filmées qui font aussi fantasmer mes futurs clients figurent toutes sortes de préliminaires comme par exemple me lécher le cul en titillant ma rondelle avec la langue ou encore m'y introduire un plus plusieurs doigts en allant parfois jusqu'au fist-fucking où c'est tout le poing qui se trouve ainsi profondément à l'intérieur de mon rectum. D'autres préfèrent se servir des nombreux godemichés et plugs anaux de différentes tailles mis à leur disposition qu'ils utiliseront les uns à la suite des autres, du plus petit au plus gros, afin de me préparer pour le moment où ils m'introduiront leur grosse bite dans le cul.

Grâce à cette compilation diffusée en boucle dans la salle d'attente de l'appartement où j'officie en tant que bonne grosse salope en ayant avec tous les hommes qui m'en font la demande et qui me donnent dix francs ou vingt francs si je conçois à avaler la totalité de leur sperme chaud et abondant en ayant avec eux de multiples relations sexuelles buccales et anales, je ne suis perçu que comme une jeune pute servant de vides-couilles et qui est toujours disponible comme le montre les séquences diffusées.

Aussi en regardant ces extraits vidéo, mes futurs clients ravis par le spectacle qui leurs est fourni sur le petit écran sont pour la plupart déjà en pleine érection quand arrive leur tour d'avoir une relation sexuelle avec moi, ce qui est fort appréciable étant donné que cela contribue à raccourcir le temps accordé pour chaque passe et ainsi me permet de satisfaire une clientèle toujours plus nombreuse sans pour cela atteindre le rythme effréné exercé pendant le stage de trois jours suivi dans une prestigieuse école de salopes où j'ai réussi à satisfaire pendant dix heures d'affilé un client toutes les trois minutes sans prendre le temps de me reposer. Ainsi en moyenne, je me contente d'une pipe ou d'une enculade toutes les six minutes comme je l'ai indiqué à mon bienfaiteur qui organise mon planning et encaisse le prix de mes prestations.

Afin que mes clients prolongent avec plaisir le spectacle suivi sur le petit écran de la salle d'attente il a été installé dans la chambre où j'exerce la plupart de mes activités sexuelles un haut-parleur diffusant la partie sonore afin de pouvoir continuer à porter à son maximum l'excitation véhiculée par mon image de bonne grosse salope faisant la pute pour dix francs avec tous les hommes désirant se vider les couilles sans utiliser de préservatif afin d'éjaculer en moi en totale liberté.

Ainsi afin que ma clientèle puisse choisir en toute connaissance de cause la façon dont elle va pouvoir éjaculer librement en moi, sur cette compilation je montre tous les talents aussi bien en tant que pipeuse que d'enculée. En ce qui concerne les fellations et les gorges-profondes, à la demande j'avale toujours le sperme déposé dans ma bouche extrêmement gourmande cernée de ses lèvres pulpeuses abondamment maculées de rouge intense. Pour cela lorsqu'il y a un client assis dans la salle d'attente, pressé d'éjaculer dans ma bouche, je n'hésite pas à me mettre à genoux devant lui afin de le prendre en bouche. Il en est de même dans la chambre où mon client étant couché sur le dos la bite à l'air, me mettant à genoux sur le lit à côté de lui je lui taille une pipe, ou lorsqu'il reste debout sa bite en érection, il me suffit de m'agenouiller face à lui pour le prendre en bouche.

Il en est de même lorsque l'envie pressante qui ne peut plus attendre est de me la mettre dans le cul, alors devant les autres clients qui attendent leur tour en salle d'attente, il ne me reste plus qu'à venir m'asseoir sur les genoux du client pressé afin que sa bite soit intégralement absorbée par mon anus. Il peut en être de même dans la chambre où mon client couché sur le dos sur le lit, je viens aussi m'asseoir sur lui afin d'en prendre plein le cul. Également sur le lit ou sur le tapis je peux aussi me mettre à quatre pattes afin d'être prise en levrette. Je peux aussi me coucher sur le lit, soit sur le ventre, soit sur le côté afin de me laisser volontiers sodomiser par mon client soit couché sur moi, soit derrière moi. Dans la chambre comme ailleurs je peux aussi me laisser enculer tout en étant appuyée face à une porte ou à un mur, de même que je peux aussi me laisser pénétrer en restant debout au milieu de la pièce mais en penchant mon corps en avant afin de faciliter la pénétration. 

Quant aux pénétrations multiples me permettant de satisfaire simultanément plusieurs clients en même temps surtout lorsque j'ai pris un peu de retard sur mon planning organisé par mon bienfaiteur, elles peuvent se présenter de différentes façons comme par exemple avoir une bite en bouche pendant qu'une autre est en train de s'exciter dans mon anus afin d'y éjaculer son sperme chaud et abondant en toute liberté sans utiliser de préservatif comme pour toutes mes relations sexuelles buccales et anales. Il y a aussi les doubles, voire les triples pénétrations anales qui peuvent, elles aussi avoir lieu en même temps qu'une fellation ou une gorge-profonde.

Ainsi sur cette compilation où on pourrait croire qu'il s'agit uniquement d'un jeune garçon qui se travestit en fille afin s'assouvir ses penchants homosexuels en ayant avec de nombreux hommes beaucoup plus âgés que lui des relations sexuelles buccales et anales sans utiliser de préservatif, la réalité des choses fait qu'il s'agit au contraire  " d'une magnifique jeune fille " bien coiffée, bien maquillée et bien habillée comme une vraie femme désirant être perçue comme une bonne grosse salope afin de pouvoir faire la pute avec tous les hommes qui sont prêts à lui donner dix francs pour se vider les couilles en elle, voire vingt francs si elle consent d'avaler la totalité de leur sperme chaud et abondant. 

Aussi le fait que j'offre ma bouche toujours extrêmement gourmande cernée de ses lèvres pulpeuses abondamment maculées de rouge intense pour faire à mes clients de merveilleuses fellations et d'inoubliables gorges-profondes, ou le petit orifice intime dont les sphincters demeurent encore très resserrés malgré les nombreuses bites qui ont déjà été invitées à le pénétrer, situé entre mes deux grosses fesses volontiers accueillantes pour me laisser sodomiser, ne me fait pas ressentir de sentiments de honte et de culpabilité car le fait de tailler des pipes et de me laisser enculer demeure pour moi un travail comme un autre dès l'instant où je le fais bien consciencieusement et où il me permet de bien vivre aisément tout en satisfaisant pleinement  sexuellement ma clientèle constituée d'hommes de tous ages et de toutes couleurs de peaux.

C'est pour cette raison que lorsque j'ai une relation sexuelle avec un homme qu'elle soit buccale ou anale, même si ce n'est pas devant la caméra afin de me donner en spectacle, souvent il m'arrive d'atteindre un orgasme non simulé principalement lors de sodomies. C'est ce qui m'arrive dès le début lorsque je commence à ressentir le gland effleurer ma rondelle avant d'essayer de la forcer de façon que mes sphincters deviennent en mesure de laisser passer la hampe dans toute sa longueur. C'est à ce moment qu'écartée de toute part, je suis en mesure de ressentir à la fois la largueur de la bite dans mon anus et sa longueur me pilonner le fin fond du rectum jusqu'à l'instant ultime où la totalité du sperme contenue dans les couilles de mon partenaire se déverse en moi sous la forme de puissants jets chauds et abondants, avant de se retirer me laissant ainsi avec une sorte de micro-lavement qui m'inonde le cul jusqu'à suinter sur mes fesses, de bonne grosse salope, volontiers accueillantes qui se trouvent ainsi prête à accueillir de nouveaux sodomisateurs, pouvant ainsi m'enculer sans utiliser de gel intime grâce à la lubrification naturelle exercée par le sperme ruisselant de mon anus.

En ce qui concerne les fellations et les gorges-profondes je demeure moins sujette à des orgasmes répétés car pendant que les bites généralement flasques au début prennent de l'ampleur et de la raideur au fur et à mesure que je les suce, je suis trop concentrée sur mon travail à faire la pute, que je n'éprouve un sentiment de jouissance du au travail accompli qu'au moment ou mon partenaire éjacule dans ma bouche extrêmement gourmande me permettant ainsi d'avaler en totalité la précieuse semence.

Pour cela, en ce qui concerne ce film qui est plutôt une compilation d'une multitude de séquences sexuelles où évidemment je suis la principale "actrice" en taillant des pipes et en me laissant volontiers enculer par tous les hommes prêts à me payer afin d'éjaculer en moi leur sperme chaud et abondant, il a fallut trouver d'abord un générique où figure en premier plan en gros caractères  "Gwladys la très jeune pute", car depuis que je me prostitue en fille c'est sous ce prénom que l'on me connaît, sans faire figurer les noms des acteurs occasionnels désirant ainsi rester anonyme,  et aussi naturellement un titre résumant parfaitement ce film, c'est pourquoi il a été choisi "les exploits sexuels d'une bonne grosse salope encore adolescente". C'est aussi sous ce titre que mon bienfaiteur avec mon accord a décidé de diffuser commercialement ce film par l'intermédiaire de sociétés de distribution de films pornographiques.

Ainsi en plus de nous rapporter des royalties en fonction du nombre d'exemplaires de films vendus, cela contribue à me faire connaître auprès du public pouvant faire partie éventuellement de ma clientèle. Aussi comme dans le générique figure aussi le plus discrètement possible les possibilités de prendre contact avec l'appartement où je me prostitue tous les après-midi sept jours sur sept, cela participe aussi à augmenter considérablement les demandes d'hommes désirant se faire tailler des pipes et enculer sans préservatif une bonne grosse salope encore adolescente qui fait ainsi la pute pour dix francs pour une relation sexuelle buccale ou anale, et dix francs supplémentaires si on lui demande d'avaler la totalité du sperme chaud et abondant déversé en elle.

Aussi devant un tel succès auquel nous ne nous attendions pas, mon bienfaiteur et moi, nous nous sommes posé la question si je ne pourrais pas faire de véritables films pornographiques. Bien sûr pour cela il faudrait constituer une équipe de tournage, ce qui n'est pas bien difficile à trouver, et aussi construire un scénario qui tienne en haleine. Pour cela nous avons quelques idées comme par exemple "Gwladys se prostitue au chantier" où je n'aurai qu'à jouer mon propre rôle en taillant des pipes et en me laissant volontiers enculer par tous les travailleurs africains noirs et arabes principalement à l'intérieur d'une cabane de chantier, ou bien encore "Gwladys se donne à l'usine" où pour obtenir de l'augmentation et avoir des aménagements de poste de travail je multiplierais les relations sexuelles buccales et anales avec tous les employés mâles de l'usine qu'ils soient cadres ou simples employés. 

Mais le scénario qui nous tient le plus à coeur, c'est "Gwladys la bonne grosse salope à la ferme" car il faut d'abord trouver un fermier qui soit consentant à ce que j'ai des relations sexuelles avec certains de ses animaux, en particulier pour une scène avec un taureau que nous voudrions à tout prix réaliser qui est celle où avec mes petites mains soignées dont les ongles seront recouverts de rouge intense, en le branlant comme je le fais parfois avec mes clients de l'appartement qui parfois ont bien du mal à bander, je devrai traire un taureau pour finalement prendre son sexe en bouche, sans bien sûr qu'il puisse arriver à le rentrer entièrement, afin qu'il éjacule en moi la totalité de son sperme chaud et abondant par puissants jets saccadés comme il le ferait avec le vagin ouvert d'une vache en chaleur. Ils y auraient aussi d'autres scènes où je devrais satisfaire sexuellement tous les employés mâles de la ferme avec ma bouche toujours extrêmement gourmande cernée de ses lèvres pulpeuses abondamment maculées de rouge intense, et le petit orifice intime toujours néanmoins assez resserré malgré les très nombreuses bites qui ont déjà été invité à lui forcer les sphincters, situé entre mes deux grosses fesses volontiers accueillantes. Mais pour le final nous souhaiterons pouvoir avoir le concours d'un cheval dont je prendrai le sexe en partie en bouche afin de le sucer avant de le présenter contre mon étroite  rondelle, abondamment enduite de lubrifiant intime, qu'il devra forcer pour s'introduire le plus profondément possible, sur presque la totalité de sa longueur devant dépasser allégrement les trente cinq centimètres, ce que je devrai pratiquement pouvoir encaisser sans aucune difficulté, à l'intérieur de mon rectum se trouvant aussi accueillant que ma bouche a été gourmande pour tailler précédemment une bonne pipe au taureau, pour en m'enculant sans ménagement comme il le ferai avec une jument en chaleur dont le vagin se trouverait excessivement ouvert en attendant la saillie tant souhaitée, y éjaculer en toute liberté l'intégralité de son sperme chaud et abondant, qui de bien en quantité nettement plus excessive de ce que j'ai l'habitude d'ingurgiter lorsque je me laisse volontiers sodomiser par mes clients. Bien sûr, par la suite, comme il faut s'y attendre aussi bien avec le taureau qu'avec le cheval je serai prête à me rendre à nouveau à la ferme afin qu'ils puissent renouveler le plaisir qu'ils ont eu à éjaculer en moi, car ce qui au départ n'était qu'une simple demande de mon bienfaiteur pour faire plaisir aux nombreux acheteurs de ces films pornographiques animaliers, où je devais simplement et seulement simuler des actes sexuels, ce que je ne fis pas en me disant que j'arrivais bien à admettre des bites de noirs excessivement bien montés, particulièrement au dimensions largement plus grandes que celles des européens, que cela pourrait devenir une bonne expérience à vivre, devint pour moi, avec toutefois quelques difficultés au départ, un plaisir au point qu'avec l'accord du fermier à qui j'accorderai le privilège de se faire tailler une pipe ou de m'enculer avant de m'occuper sexuellement de tous ses étalons, même ceux qui n'ont pas participé au film et ceci le plus régulièrement possible en dehors de toute équipe de tournage, à moins que nous trouvions un autre scénario pour y faire une suite, avec encore plus d'animaux prêts à gâcher leur précieuse semence reproductrice avec moi qui ne suis ni de leur espèce et encore moins une véritable femelle, en l'éjaculant intégralement en moi, intitulée "Gwladys la pute à la campagne", où en plus d'avoir des relations sexuelles avec un taureau et un cheval, je suis persuadée que je pourrai satisfaire d'autres animaux mâles de la ferme tels qu'un âne, un bouc ou un cochon pour finalement me retrouver avec la bouche et l'anus dégoulinant de sperme dont l'onctuosité et les saveurs sont bien différentes de celui des humains que j'ai pris comme habitude d'avaler tout au long de l'année lorsque je me prostitue.

Bien sûr cela ne sont que trois projets de films différents, qui seront tous réalisés comme bien d'autres car après réflexion et surtout avec beaucoup d'imagination je suis persuadé que nous en trouverons bien d'autres tout aussi destinés à tenir en haleine un public averti en lui montrant des scènes où comme à mon habitude je taillerai de nombreuses pipes et où je me laisserai volontiers enculer aussi bien avec des humains qu'avec des animaux aux sexes très avantageux au point de vu dimensions et performances afin de combler mes désirs et surtout de satisfaire pleinement les attentes visuelles de la clientèle qui se procurera ces films ou les visualiseront dans la salle d'attente de l'appartement où en tant que très jeune bonne grosse salope, je me prostitue tous les après-midi avec les clients que me procure mon bienfaiteur qui en plus d'organiser mon planning se charge d'encaisser le fruit de mes prestations sexuelles buccales et anales, en veillant à ce que mes futurs partenaires sexuels aient bien la bite propre afin de s'assurer qu'ils ne risquent pas de me faire contracter une maladie vénérienne, ce qui en me mettant hors service pendant une période plus ou moins longues l'obligerait à me trouver un remplaçant ou une remplaçante  toute urgence auprès de la prestigieuse école de salopes où j'ai fait un stage de trois jours pour assurer la continuité de son business qui lui rapporte autant qu'à moi qui suit son unique gagneuse et qui est très heureuse de ce que lui rapporte son statut de prostituée qui lui permet de bien vivre aisément en me permettant d'acheter tout ce que j'ai envie pour vivre ma passion qui est de me transformer en ravissante jeune femme sensuelle et sexy afin d'être davantage désirée par tous les hommes venant éjaculer en moi aussi bien entre mes lèvres pulpeuses qu'entre mes deux grosses fesses volontiers accueillantes toujours avides de très grosses bites et de sperme coulant à flots.

Bien sûr pour cela il faut que je sois exempte de toute maladie vénérienne transmissible, c'est pour cela que régulièrement, environ une fois tous les six mois, je me rends chez mon médecin, sans lui dire que je me prostitue pour bien vivre, mais qu'il m'arrive parfois d'avoir avec des garçons de mon âge des relations homosexuelles, pour justifier ces demandes de contrôle pour me rassurer.

En général, ainsi rassurée, je me rends directement à l'appartement afin d'informer mon bienfaiteur de la bonne nouvelle, qui après que je me sois métamorphosée en fille, s'empresse de m'enculer sans aucun lubrifiant intime pour fêter cela et être ainsi le premier pendant une autre longue période d'environ six mois où sans aucune crainte quelle qu'elle soit, je vais pouvoir continuer de me faire payer par de nombreux hommes afin qu'ils aient avec moi de multiples relations sexuelles buccales et anales pour se déverser directement en moi sans utiliser de préservatif.

C'est tout du moins ce que croit mon bienfaiteur, car la dernière fois que je suis allée consulter mon praticien celui-ci n'étant pas dupe et ayant du mal à croire que j'avais uniquement des relations homosexuelles occasionnelles avec des garçons de mon âge me demanda si j'étais d'accord pour avoir une relation sexuelle buccale ou anale avec lui, et en échange en plus de ne pas me faire payer le prix de la consultation il s'engageait à ne pas informer mes parents, qui sont aussi ses patients, que certainement je me prostitue pour bien vivre aisément. Ainsi plus pour la peur que mes parents deviennent ainsi au courant de mes turpitudes que le fait d'économiser le prix de ma consultation, pour la première fois j'acceptais d'avoir une relation sexuelle avec un homme en dehors de l'appartement et des nuits où mon bienfaiteur me louait à des groupes d'hommes afin que je me montre extrêmement gentille avec eux où en tant que très jeune grosse salope j'exerçais depuis quelques temps ce qui était devenu mon métier de prostituée. Ainsi après lui avoir taillé une pipe afin de bien lubrifier son sexe avec ma salive, le docteur pu me sodomiser pour se déverser librement en moi sans utiliser de préservatif. C'est ce qu'il fit également les autres fois où je retournais le voir en consultation pour me rassurer de ne pas être porteuse d'une maladie vénérienne.

Par la suite je m'aperçu que le bon docteur, comme beaucoup d'autres notables de la petite ville où je faisais la pute sept jours sur sept toutes les fins d'après-midi en toute discrétion dans l'appartement mis à ma disposition par mon bienfaiteur avait fini par faire partie de ma clientèle régulière d'hommes de tous âges qui viennent trouver en moi le parfait vide-couilles afin de se soulager rapidement sans que leur épouse ou leur petite amie  ne vienne à se douter de quoi que se soit.

Ainsi il est tout naturel que tous ces notables refusent de se laisser filmer avec moi pendant que je leur fais une fellation ou une gorge-profonde ainsi que lorsque je me laisse volontiers enculer par eux, sauf bien entendu pour des gros plans où l'on ne peut voir que leur sexe pénétrer ma bouche ou mon cul où seules des personnes très intimes pourraient ainsi les reconnaître en train d'avoir une relation sexuelle avec une jeune personne qui en réalité est un jeune garçon qui se coiffe, se maquille et s'habille comme une splendide jeune fille à la fois sensuelle et sexy afin de ressembler le plus possible à la très jeune grosse salope qu'elle est qui fait la pute à longueur de semaine pour dix francs la passe ou vingt francs si on lui demande d'avaler la totalité des puissants jets de sperme chaud et abondant déversés en elle.

Ainsi cette compilation où dans la salle s'attente de l'appartement où je fais la pute tous les jours aussi bien de la semaine que pendant le week-end on peut m'admirer en ayant avec de nombreux hommes de multiples relations sexuelles, doit absolument rester confidentielle afin de s'assurer qu'elle ne tombe pas entre de mauvaises mains qui pourraient s'en servir pour exercer toutes formes de chantages envers les personnes participantes qui pourraient y être reconnues. C'est pour cela qu'avec mon bienfaiteur, nous sollicitons toujours l'accord des personnes pouvant y être aperçues dans des attitudes explicites. Dans le cas contraire mon bienfaiteur se refuse à filmer ces séquences ou si elles ont déjà été tournées, il les efface tout simplement. C'est pour cela que depuis que j'ai tourné de véritables films pornographiques avec des acteurs professionnels ceux-ci ont naturellement remplacé progressivement cette compilation afin d'éviter tous problèmes de confidentialité pouvant atteindre des personnes à qui cela pourraient nuire au plus haut point.



 

Par gwladys - Publié dans : gwladys - Communauté : gwladys travesti 60 ans
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Vendredi 24 mars 5 24 /03 /Mars 19:05

MES NUITS À FAIRE LA PUTE OÙ J'ÉTAIS SENSÉ DORMIR CHEZ UN COPAIN.

 

En effet depuis l'age d'un peu plus de dix ans où j'ai rencontré mon bienfaiteur avec lequel nous nous sommes associés pour que quotidiennement je travaille pour lui en me montrant très gentil avec des hommes désirant moyennant dix francs et vingt francs si j'avalais la totalité de leur sperme chaud et abondant éjaculer en moi en ayant des relations sexuelles buccales ou anales, au bout de deux années de fidèles collaborations, il me proposa de me louer pendant toute une nuit à un groupe d'hommes avec lesquels je devrais me montrer extrêmement gentil en spécifiant que cela me rapportera plus de mille francs.

Trouvant la proposition intéressante, il me restait qu'à trouver un alibi vis à vis de mes parents qui me permet de découcher pendant toute une nuit. Aussi il ne vient à l'esprit de me faire inviter chez un copain à passer la nuit chez lui sous prétexte d'avoir à faire un devoir en commun qui pourrait nous prendre jusque vers vingt et une heures et plus. Bien sûr pour donner le change et ne pas éveiller de soupçon, de temps et temps et de façon cette fois bien réelle c'est moi qui invitais mon copain à passer une soirée de révision avant de dormir chez moi. Aussi pour ne pas nous faire démasquer avec mon bienfaiteur, nous nous sommes limités à une ou deux nuits par mois durant lesquelles je pouvais démontrer, malgré mon jeune age,  mes talents de bonne grosse salope à tout un groupe d'une quinzaine d'hommes auxquels je leurs faisais de multiples fellations et gorges-profondes ainsi que de me laisser volontiers enculer pendant une dizaine d'heures d'affilées de vingt heures trente à six heures trente.

Pour cela je dois me rendre à ces rendez-vous aux alentours de vingt heures afin de me laisser le temps de me changer et de me maquiller en pute. Pour la même raison, je dois quitter les lieux vers sept heures pour me rendre au collège en espérant ne pas être trop fatigué afin de ne pas m'endormir en suivant les cours de la journée commençant à huit heures et se terminant certains jours selon l'emploi du temps vers seize heures, ce qui me laisse le temps de me rendre à l'appartement de dix sept heures à dix neuf heures afin de pouvoir déguster mes doses de sperme quotidiennes.

Ainsi pour ces nuits de débauches, comme pour mes fins d'après-midi à faire la pute, je devais être maquillé, coiffé, habillé comme une bonne grosse salope, particulièrement en suggérant une opulente poitrine constituée d'une paire d'énormes faux seins en silicone aussi réalistes visuellement qu'au toucher afin de satisfaire le fantasme de certains hommes qui est la blonde idiote, à qui on peut tout faire avaler, à très forte poitrine. Pour maintenir cette dernière bien en place selon mes humeurs je pouvais porter un soutien gorge aux profonds bonnets ou une guêpière aux même caractéristiques dont les jarretières, se substituant à un porte-jarretelles assorti à une culotte ou un string destiné à cacher mes attributs masculins, retenaient bien tendus, sur mes longues jambes fuselées dont ils en renforcent le galbe naturel, une paire de fins bas noirs à couture qui associés à une paire d'escarpins aux talons vertigineux de douze centimètres complète l'image d'une ravissante jeune femme mettant tous ces atouts pour apparaître comme une pute ne prenant aucun recul afin de séduire sa clientèle.

Pour cela l'habillement a aussi son importance, aussi quand je pense que je vais être l'élément central d'une gigantesque partouze organisée où je ne saurai plus où donner de la tête, c'est à dire offrir soit ma bouche toujours extrêmement gourmande entourée de ses lèvres pulpeuses abondamment maculées de rouge intense, soit le petit trou intime et toujours néanmoins resserré malgré les nombreuses bites qui ont déjà été autorisées à lui forcer les sphincters, situé entre mes deux grosses fesses volontiers accueillantes afin que tout le monde, chacun son tour, puisse y éjaculer ses puissants jets de sperme chaud et abondant, je ne porte qu'une simple nuisette à moitié transparente réussissant à peine à couvrir mes fesses.

En revanche lorsqu'il s'agit d'enchaîner les passes sexuelles à l'appartement mis à ma disposition par mon bienfaiteur, afin de me rendre désirable tout en étant élégant, j'opte soit pour une robe moulante en vinyle au profond décolleté et couvrant à peine mes fesses qui se trouvent ainsi exposées aux mains baladeuses des futurs clients désirant constater leur fermeté avant d'y introduire leur bite, ou pour une minijupe en cuir de même longueur coordonnée avec un chemisier semi-transparent découvrant en partie mon opulente poitrine

Ainsi me trouvant dans une tenue adéquate correspondant le mieux à mon statut de grosse salope faisant la pute pour vivre mais aussi pour le plaisir d'avaler directement ou indirectement de grandes quantités de sperme chaud et abondant, devant une quinzaine d'hommes attendant que je commence avec eux mes prestations sexuelles buccales et anales, je leur indique que je suis prête si besoin à prendre simultanément deux bites en bouche pendant que si la demande l'exige, je peux aussi en avoir aussi une entre mes fesses ou bien encore deux voire même trois qui m'enculent.

C'est ainsi que je me présente à chaque fois que je dois satisfaire sexuellement un groupe d'hommes comme par exemple la fois où je fus confronté à une assemblé constituée de trois européens pour quatre maghrébins et huit noirs africains tous aussi bien pourvus par la nature qui dès mon arrivé ont désirés m'introduire sans répit leur sexe énorme dans le cul afin d'y éjaculer en me défonçant l'anus malgré d'importantes quantités de lubrifiant intime en me faisant remarquer que je n'avais pas à m'en plaindre car en tant que très jeune pute j'étais venu pour cela. En ce qui concerne les autres, ils se montrèrent plus patient en attendant chacun leur tour que je leur taille une pipe en avalant leur sperme comme je venais de le faire avec celui de ceux qui m'avaient sodomisé et je j'avais expulsé dans un bol avant d'en laper gloutonnement l'intégralité du contenu et dont je du nettoyer toutes traces de matières fécales en les léchant méticuleusement avec ma langue.

Puis une fois qui se sont tous vidé les couilles en moi, ce qui leur à pris à peu près une heure, le calme est revenu en attendant que certains redeviennent à nouveau en mesure d'éjaculer le sperme accumulé dans leurs testicules, ce qui me laissait quelques temps pour m'occuper de moi comme par exemple m'introduire un tampon périodique de taille maxi dans l'anus afin d'absorber en grande partie les excès de sperme accumulés au fin fond de mon rectum qui n'avait pas pu être expulsés dans le bol, et aussi pour faire des retouches de maquillage, en particulier de rouge à lèvre qui avait été naturellement perdu sur les bites que j'avais sucé.

Puis au bout d'une demi-heure, une heure pour les moins vigoureux, ils furent tous prêts à remettre cela en alternant pipes et sodomies pour le plus grand plaisir de ceux qui s'épanouissaient dans cette diversité. Ainsi après avoir sucé chacun d'eux au moins deux fois et m'être laissé enculer autant de fois la nuit avançait si bien que je fus presque obligé de pleureur pour avoir d'autres doses de sperme destinées à me combler pour le restant de la nuit où les plus vigoureux arrivèrent jusqu'à éjaculer huit fois en moi, contre de quatre à cinq fois pour la moyenne d'entre eux, ce qui avait tout pour me satisfaire et même me faire atteindre plusieurs orgasmes non simulés.

C'est ainsi qu'après avoir passé toute une nuit à servir de vide couilles à une bande d'hommes excités au point d'éjaculer en moi en toute liberté sans utiliser de préservatif, sans penser que je ne suis pas une vraie fille,  pour un forfait collectif dépassant les mille francs me revenant et certainement autant ou voire même plus en tant que commission à mon bienfaiteur, à plusieurs reprise, je me suis retrouvé avec la bouche débordant de sperme que je dus avaler sans en perdre une goutte et l'intérieur de mes fesses si ruisselantes de sperme que je dus employer un tampon périodique de taille maxi afin de tenter d'endiguer tous débordements qui auraient inévitablement souillé mon string, ce qui m'aurait obligé à passer le reste de la nuit les fesses à l'air et de surplus mes organes génitaux libres de toute contrainte destinée à les cacher.

Aussi en retrouvant le collège et mon copain qui encore une fois venait de me servir de couverture ce dernier me demanda comment cela s'était passé en étant persuadé qu'il s'agissait d'une histoire de fille pour laquelle je lui répondis que cela s'est bien passé comme d'habitude. Bien évidemment il ne se trompait pas tout à fait car il y avait bien une fille là dessous mais pas une avec laquelle j'avais couché, mais celle dont j'ai joué le rôle en me travestissant afin d'avoir de multiples relations sexuelles buccales et anales avec de nombreux hommes qui me payaient pour qu'en tant que bonne grosse salope, je fasse la pute pendant toute la nuit en rapportant une importante commission à mon bienfaiteur qui m'avait organisé ce genre d'extra dont j'étais toujours prêt à renouveler l'expérience sexuelle qui me rapporte en une nuit pratiquement autant que durant toutes les fins d'après-midi cumulées de toute une semaine passée dans l'appartement à tailler des pipes et à me laisser volontiers enculer sans ne jamais émettre la moindre réticence, quelles que soient les bites que je dois satisfaire et qui me sont proposées par le planning organisé par mon bienfaiteur, dès l'instant que celles-ci sont d'une propreté irréprochable.

Ainsi en me laissant volontiers sodomiser et en taillant des pipes à des hommes qui attendent que moi pour se vider les couilles, j'étais heureux et comblé de pouvoir avaler de grandes quantités de sperme chaud et abondant si riche en protéines que cela suffisait en partie pour me nourrir en me procurant énormément de plaisir sans que je n'en ressente pas la moindre faim, ce qui me permettait de pouvoir tenir toute une nuit à faire la pute en me comportant comme une bonne grosse salope sans trouver le besoin d'ingurgiter qu'une ou deux canettes de soda destinées à me désaltérer.

Aussi devant un tel public qui venait d'apprécier à sa juste valeur les qualités de mes relations sexuelles buccales et anales il n'était pas rare que je retrouve à l'appartement certains d'entre eux pour prolonger le plaisir qu'ils avaient eu de se faire tailler une pipe ou de m'enculer à nouveau sans avoir à attendre la prochaine nuit de débauche où je serai à nouveau disponible pour avaler de grandes quantités de sperme chaud et abondant et m'en prendre plein le cul.

Durant toutes ces nuits de débauche où naturellement j'étais consentant pour avoir avec les nombreux hommes présents de multiples relations sexuelles buccales et anales, parfois il m'est arrivé d'être confronté à la présence d'une ou plusieurs vraies femmes munies d'imposants godes-ceintures dont le fantasme le plus profond était d'enculer un travelo tout en profondeur.

Ainsi après s'être assurées que je me trouvais prêt à accepter les assauts d'un énorme sexe constitué de matière plastique et de silicone, en prenant la précaution d'attendre que j'ai le rectum bien rempli de sperme chaud et abondant après le passage de plusieurs bites au fin fond de mon cul qui n'attend que cela le moment est venu pour elle de m'introduire sans ménagement leur gros sexe artificiel dans mon petit cul qui se trouve encore tout dégoulinant de sperme ce qui facilite l'introduction d'un sexe factice nageant dans le sperme abondamment déposé précédemment par mes sodomisateurs qui ont tous éjaculé en toute liberté entre mes fesses volontiers accueillantes sans utiliser de préservatif.

Bien évidemment en tant que grosse salope soumise dont le rôle principal est de faire la pute avec de nombreux hommes qui n'attendent que cela de moi, c'est à dire déverser en toute liberté leur sperme chaud et abondant en moi sans utiliser de préservatif, je devais me tenir prête à accepter toutes sortes de scénarios dès l'instant où pour le plus grand bonheur de tous je me comportais comme un parfait vide-couilles.

Ainsi parmi les demandes les plus diverses comme par exemple celles où je ne devais faire que des fellations ou des gorges-profondes, ou bien encore que de me laisser uniquement enculer avec ou sans lubrifiant intime en fonction des désirs de ma clientèle, que je devais toujours être prête à satisfaire. Il y en avait d'autres comme avoir l'obligation d'avoir une bite en bouche pendant qu'une autre était dans mon cul ou encore d'accepter d'avoir deux, voire trois bites dans mon cul.

Tous ces scénarios pouvaient être filmés si telle en était la demande où en plus d'avoir un rôle de pute je devenais une parfaite actrice de films pornographiques dont mon bienfaiteur se servait pour en faire des compilations destinées à être diffusées dans la salle d'attente de l'appartement où je faisais la pute tout au long de la semaine toutes les fins d'après-midi.

Ainsi en dehors de ces nuits de débauches avec un thème imposé, j'avais toute liberté d'alterner de tailler des pipes et de me laisser volontiers enculer toujours sans utiliser de préservatif afin de satisfaire pleinement ma clientèle qui ainsi se montrait toujours heureuse de pouvoir se vider les couilles soit dans ma bouche extrêmement gourmande avec les lèvres abondamment maculées de rouge intense afin de faire plus pute, ou soit dans mon petit trou intime, et cependant encore assez resserré malgré les très nombreuses bites qui déjà été invité à lui forcer les sphincters, situé entre mes deux grosses fesses volontiers accueillantes.

Aussi lorsque je me rends à un rendez-vous pour être l'objet d'un parfait vide-couilles lors d'une nuit de débauche, je n'oublie pas d'amener avec moi deux boites de mouchoirs en papier destinés à essuyer les bites après chaque relation sexuelle buccale ou anale, un tube de lubrifiant intime afin de favoriser les éventuelles sodomies en particulier celles faites en double voire en triple pénétration, et en plus d'un bol pour recueillir le sperme dégoulinant de mon anus afin d'en laper le contenu jusqu'à la dernière goûte comme lorsque j'avale de grandes quantités de sperme à chaque fois que je taille une pipe, et bien sûr afin de me trouver prêt à toute éventualité une boîte de tampons périodiques de taille maxi que je m'introduis dans l'anus afin d'éviter tout débordement de sperme qui pourrait tacher mon string ou ma petite culotte indispensables pour contenir et cacher mes organes sexuels masculins qui ne doivent à aucuns moments être aperçus sous peine de perdre en partie ma féminité apparente et relative.

Aussi bien avant que je suive un stage très profitable dans une prestigieuse école de salopes afin d'y acquérir tous les perfectionnements utiles pour devenir à la fois une parfaite salope destinée en faisant la pute avec une multitude d'hommes un parfait vide- couilles se délectant de puissants jets de sperme chaud et abondant en consentant d'avoir avec eux de nombreuses relations sexuelles buccales et anales à répétitions sans jamais en éprouver la moindre marque de fatigue, j'étais toujours content et fier de jouer le rôle de pute que l'on attendait de moi en tant que fille entièrement soumise à tout ce qui concerne le sexe avec des hommes qui me payaient pour éjaculer en moi en toute liberté sans utiliser de préservatif, chose que j'acceptais volontiers en me laissant enculer et en taillant des pipes à tous ceux qui m'en faisaient la demande sans aucunes exceptions dues à leur couleur de peau et aux dimensions de leur sexe dès l'instant que celui-ci paraissait d'une hygiène et d'une propreté irréprochable.

Afin d'inciter les désirs des hommes à avoir des envies d'avoir des relations sexuelles avec moi, je mettais toujours un point d'honneur à me coiffer, me maquiller, et m'habiller non pas seulement comme une splendide jeune fille à la fois élégante et sensuelle, mais aussi comme une bonne grosse salope doublée d'une pute en prenant autant soin à mes dessus chics et sexy destinés à mettre en valeur mon corps de jeune adolescente comme par exemple en portant des mini-robes en vinyle moulantes qui ne couvrent que partiellement mes fesses accueillantes ou des mini-jupes en cuir de mêmes caractéristiques portées avec des chemisiers presque transparents aux profonds décolletés destinés à mettre en valeur mon opulente poitrine constituée d'une paire d'énormes faux seins en silicone dont le réaliste aussi bien au point de vu visuel qu'au toucher donne des envies à certains de mes clients de pratiquer de merveilleuses branlettes espagnoles. Quant à mes dessous je les choisis toujours chocs et affriolants en n'oubliant pas toutefois que leurs fonctions principales soient toujours en accords avec ce que j'attends d'eux comme par exemple les bonnets de mes soutiens-gorge et de mes guêpières qui en toutes circonstances doivent être capables de supporter sans défaillir le poids de mes énormes faux seins en silicone constituant mon opulente poitrine qui fait tant rêver les hommes. Il en est de même pour les fines jarretelles de mes guêpières ou de mes porte-jarretelles qui doivent assurer, sans défaillir, le maintien de mes fins bas noirs à couture bien alignés tout au long de mes longues jambes fuselées dont ils contribuent à en renforcer le galbe naturel en étant associés à une merveilleuse paire d'escarpins aux talons vertigineux pouvant atteindre les douze centimètres et parfois davantage lorsqu'ils sont associés à des semelles très épaisses appelés plates-formes dont l'épaisseur pouvant être proche de dix centimètres impose une augmentation de hauteur de talons en conséquences. (Personnellement je n'aime pas ce genre de chaussures, réservées aux drag-queens qui par leurs exagérations aussi bien au point de vu maquillage que vestimentaire dénaturent en caricaturant l'image que l'on doit se faire de la femme, que je trouve bien trop difficiles à porter à cause principalement de leurs poids beaucoup plus élevés).

Ainsi métamorphosé des pieds à la tête en une bonne grosse salope qui par sa soumission accepte de faire la pute auprès de nombreux hommes en incarnant le principal fantasme de ceux qui l'admirent, c'est à dire la ravissante idiote blonde à forte poitrine, grâce à d'autres artifices qu'une somptueuse perruque blonde qui me va si bien, je prends grand soin à me maquiller comme une prostituée en soulignant mes yeux afin de suggérer un regard de salope en allant jusqu'à mettre des faux cils, et aussi ma bouche extrêmement pulpeuse pour laquelle d'importantes quantités de rouge à lèvres intense sont nécessaires pour en agrandir l'effet pulpeux destiné à suggérer de prendre de nombreux sexes en bouches afin de leur prodiguer de merveilleuses fellations ou d'inoubliables gorges- profondes en les prenant délicatement dans mes mains dont les longs ongles sont eux aussi délicatement parés de rouge à ongles rappelant harmonieusement la teinte de mes lèvres.

Aussi quand je ne rends au travail, car pour moi tailler des pipes et me laisser enculer doit être considéré comme un travail comme un autre dès l'instant que celui-ci est rémunéré à sa juste valeur, ce qui dans le cas contraire comme par exemple un intermédiaire s'enrichissant sur mon dos en ne me laissant que des miettes, cela pourrait être perçu comme de l'exploitation sexuelle, c'est toujours avec entrain qu'avec de nombreux hommes qui sont aussi mes fidèles clients que j'ai de multiples relations sexuelles buccales et anales avec lesquelles je savoure particulièrement le fait de pouvoir avaler de très importantes quantités de sperme chaud et abondant directement en taillant des pipes sans utiliser de préservatif ou indirectement lorsque celui-ci à été récolté dans un bol, dont je lape intégralement le contenu rejeté jusqu'à la dernière goutte après m'être laissé sodomiser là-aussi sans utiliser de préservatif étant donné que c'est ce que souhaite l'intégralité de ma clientèle afin d'éjaculer en moi en toute liberté.

Ainsi il ne faut pas que je m'étonne si parfois après une longue nuit de débauche à satisfaire sexuellement des hommes qui m'ont payé pour cela, ou à la suite d'un ou d'une fin d'après-midi à avaler des bites ou me faire défoncer et bourrer le cul d'avoir les lèvres en feux et les fesses si endolories que j'ai bien du mal à m'asseoir. Mais il faut bien que je me fasse une raison, car je prends pleinement conscience que c'est pour une bonne cause en accomplissant un travail pour lequel aux dires de tous je suis devenu un expert malgré mon très jeune age qui ne m'a pas empêché de me perfectionner en suivant un stage de trois jours au sein d'une prestigieuse école de salope dans laquelle j'ai passé avec succès l'épreuve de rapidité et d'endurance consistant à pratiquer une relation sexuelle buccale ou anale toutes les trois minutes et ceci pendant une dizaine d'heures d'affilé, ce que depuis je n'ai jamais tenté de réaliser trouvant que dix par heure était largement suffisant afin de satisfaire la totalité de ma clientèle en allant quand cela devient nécessaire pour gagner du temps d'avoir simultanément une bite en bouche et une dans mon cul, et lorsque cela ne suffit pas deux, voire même parfois trois bites qui me sodomisent en profitant de mon gros cul qui n'est pas aussi resserré que cela veut bien le laisser paraître.

Aussi en me montrant habituellement assez actif, même lorsque je me fais volontiers sodomiser ou enculer, si vous ne voyez pas la différence reportez-vous au petit manuel du savoir-vivre avec une femme ou un travesti où l'on recherche du plaisir à éjaculer en eux, je prends aussi beaucoup de plaisir en me montrant intégralement soumis aux désirs de mon ou de mes partenaires sexuels qui sont avant tous mes clients que je dois pleinement satisfaire sexuellement.

Car en effet, sodomiser avec amour c'est avant tout prendre du plaisir anal tout en donnant à sa ou son partenaire en se souciant de ce qu'elle ou il ressent afin qu'en ne la ou le faisant pas souffrir cela soit un plaisir partagé, alors qu'au contraire enculer brutalement une femme ou un homme c'est avant tout prendre son plaisir sans se soucier de ce qu'elle ou il ressent, en ignorant et en ne tenant pas compte de toute douleur ressentie par votre partenaire dès l'instant que vous éjaculer en toute liberté sans utiliser de préservatif la totalité de votre sperme chaud et abondant au plus profond de son rectum.

Ainsi dans des nuits où je suis loué, il m'arrive de devoir me soumettre à des désirs ayant tendance à être assimilés  à des actes sadomasochistes en étant consentant pour être immobilisé face à une croix de saint André en offrant mon cul à tous ceux qui désirent me sodomiser à la chaîne sans que j'aie la possibilité de mes vider le rectum des excès de sperme chaud et abondant éjaculés en jets puissants. Il en est de même lorsque sur le ventre je me retrouve ficelé sur une table les mains dans le dos avec la bouche et les fesses dépassants à chaque extrémité afin de faciliter l'intrusion des nombreuses bites désirant y éjaculer les unes à la suite des autres sans que je puisse me dérober en étant forcé à avaler tout an ayant l'anus débordant de sperme. C'est pour cela que dans ces deux configurations que j'apprécie autant l'une que l'autre, de même que mes sodomisateurs qui ont le bonheur de pouvoir me pénétrer l'anus sans utiliser de gel intime en comptant uniquement sur la lubrification naturelle due à leurs prédécesseurs, il m'est accordé une pause de temps en temps lorsqu'il y a des débordements de sperme afin que je puisse me vider le rectum dans un bol et d'en laper l'intégralité du contenu afin de ne rien laisser perdre après m'être laisser volontiers enculer sans discontinuer, comme lorsque je taille des pipes à la chaîne où là le problème ne se pose pas car il est tout à fait naturel que j'avale tout le sperme onctueux qui me passe à porté de bouche.

Par gwladys - Publié dans : gwladys - Communauté : gwladys travesti 60 ans
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Dimanche 8 janvier 7 08 /01 /Jan 14:52

Depuis presque six ans où je consacre la grande majorité de mon temps à me rendre dans les foyers de travailleurs émigrés noirs et arabes où je ne me fatigue pas d'enchaîner les fellations et gorges profondes ainsi que de me laisser volontiers sodomiser pour un euro symbolique destiné à couvrir mes frais de préservatifs et de lubrifiant intime, depuis plus de six mois, il serait tant que je vous donne de mes nouvelles.

Ainsi en rappelant qu'au cours d'une journée bien remplie il peut m'arriver, en faisant comme une sorte d'abatage à jouer un rôle de prostituée, de satisfaire pleinement une centaine de relations sexuelles buccales et anales avec une clientèle qui attend impatiemment mon prochain passage afin de pouvoir à nouveau se vider les couilles en moi, c'est très souvent avec mes sphincters anaux excessivement distendus et la bouche en feu que je rentre chez moi fier du bon travail que j'ai accompli.


Bien sûr depuis que je suis secondé par ma copine Claire, une vraie femme à la poitrine refaite faisant un bon cent cinq E, qui n'hésite pas à offrir son vagin fortement distendu par la très grande quantité de très grosses bites qu'elle à eu l'occasion d'inviter à défoncer et bien sûr pour ceux qui se trouvent intéressés afin d'éjaculer librement sans préservatif entre ses gros seins à leur faire des branlettes espagnoles en fin de journée juste avant de prendre une douche, je me sens un peu moins débordé étant donné qu'il existe une multitude d'hommes qui se trouvent plus attirés sexuellement par une vraie femme que par un travesti même si ce dernier a apparemment tout ce qu'il lui faut pour paraître le contraire. Avec elle nous avons créé une association à but non lucratif destinée à promouvoir notre action dans de nombreux foyers de toutes régions avec l'aide d'équipes de volontaires voulant rendre service en acceptant comme nous d'avoir des relations sexuelles buccales et anales avec des expatriés n'ayant plus aucunes attaches pour les satisfaire en servant de vides-couilles bénévoles pour un euro symbolique destiné à couvrir nos frais de préservatifs, de gel intime et de mouchoirs en papier nécessaire à chaque client.


Ainsi en taillant allégrement des pipes et en nous laissant volontiers enculer à tout va, nous contribuons au bien-être de ceux qui n'ont personne pour les soulager sexuellement et pour cela qu'ils nous sont reconnaissants au point pour certains de nous aider dans notre tâche en organisant nos activités sexuelles en se chargeant de distribuer les préservatifs et d'encaisser l'euro symbolique de chaque passe qu'ils planifient pour nous afin de nous faire perdre le moins de temps possible entre deux clients venants rapidement se vider les couilles en nous.


Ce qui a pour conséquences bénéfiques c'est qu'à peine une bite vient d'éjaculer en nous par préservatif interposé afin de ne pas risquer de nous retrouver contaminés par une maladie sexuellement transmissible telle que le sida ou la syphilis que sans le moindre moment de repos une autre vient immédiatement prendre sa place avec parfois des problèmes de fatigues passagères lorsqu'il s'agit d'enchaîner les fellations et les gorges profondes ce qui ne se produit pas bien au contraire lors de sodomies à répétitions où il suffit que de se laisser volontiers enculer en attendant que ça se passe.


Aussi sans nous en rendre compte, en ayant l'impression que c'est toujours la même bite qui nous défonce le cul nous enchaînons les sodomies à répétitions plus facilement que les fellations et les gorges profondes durant lesquelles nous avons tendance à nous fatiguer lorsque parfois nous atteignons la demi-douzaine les unes à la suite des autres. C'est pour cela que lorsque cela est possible nous aimons bien alterner les relations sexuelles buccales et anales que nous ne sommes pas opposés à pratiquer simultanément lorsque nous en avons la demande.


Ainsi à force de tailler des pipes et de se laisser volontiers enculer par des noirs et des arabes particulièrement bien montés nous ne perdons pas toute notre dignité, bien au contraire puisque nous acceptons cela de plein gré pour le bien de tous bien que parfois comme dit l'expression en ayant plein le cul nous devons serrer les dents. Bien évidemment ce n'est qu'une façon de parler car nous devons toujours nous efforcer de ne jamais mordre la bite de nos clients par inadvertance.


Aussi comme nous l'avons appris lors de notre court séjour à l'école des salopes alors que nous n'étions pas encore sortis de l'adolescence, nous prenons pleinement conscience bien que cela ne soit pas écrit sur notre front que nous sommes là uniquement pour satisfaire les bons plaisirs des hommes qui ne nous considèrent uniquement comme étant des vides-couilles avec qui en ce qui me concerne prennent du plaisir à avoir des relations sexuelles buccales et anales, et pour ce qui est avec ma copine Claire, aussi bien évidement du sexe vaginal ou parfois entre ses gros seins à la poitrine refaite faisant un bon cent cinq E de merveilleuses et confortables branlettes espagnoles.


De toute évidence, en partant de ces principes, nous nous soumettons volontiers aux désirs sexuels des hommes auxquels nous rendons régulièrement des visites afin de leurs être agréables. Bien évidemment certains seraient plus entrains si nous acceptions de nous passer de préservatifs comme à l'époque de notre jeunesse où nous nous prostituons pour dix francs la passe, mais pour des questions d'hygiène et afin de ne pas perdre de temps pour nous nettoyer entre deux clients dont les envies sexuelles sont souvent pressentes, et surtout afin de ne pas prendre le risque de participer à des contaminations par des maladies sexuellement transmissibles telles que le sida ou la syphilis, pour la modique somme d'un euro, couvrant également les frais de lubrifiant intime et de mouchoirs en papier destinés à nettoyer les bites de toutes traces de sperme, nous préférons que nos clients et nous se protégiont comme il se doit.


Ainsi sans que l'on ait besoin de nous le rappeler, nous demandons à ce que dans chaque chambre où nous avons des relations sexuelles qu'il soit mis à notre disposition une petite poubelle de cuisine ou de salle de bain avec couvercle, afin de recueillir les préservatifs et les mouchoirs en papier usagés qui à aucuns moments devront se retrouver éparpillés afin qu'en maintenant les lieux dans leur propreté originelle, nous soyons toujours les bienvenues en rapport avec l'administration des foyers qui ferme les yeux afin de nous accueillir pour le bonheur de leurs résidents.


Bien naturellement tout ceci doit se passer avec la plus absolue discrétion et réserver cet arrangement aux résidants en ne faisant aucune publicité à l'extérieur destinée à faire venir des personnes n'étant pas résidentes des foyers, ce qui pourrait être considéré comme étant la création de maisons de passes clandestines ouvertes à tous ce qui mettrait fin à notre activité étant reconnue par tous les bénéficiaires comme étant uniquement de bienfaisance à but non lucratif.


Dans le cas contraire si cela venait à être découvert par des agents de la police des moeurs, il serait fort probable qu'ils transmettent l'information aux services fiscaux qui ne tarderaient pas à évaluer nos revenus de prostituées pour une somme mirobolante basée sur plus d'une centaine de passes réalisées par jour, sept jours sur sept, en estimant les gains potentiels en fonction de la moyenne pratiquée par la majorité des autres prostituées qui est de cinquante euros pour une relation sexuelle buccale, c'est à dire une fellation ou une gorge-profonde, et de quatre vingt euros pour une pénétration vaginale ou anale. Bien évidemment de toute évidence cela aurait pour conséquence que le redressement fiscal exigé ainsi exigé par l'administration ne pourrait pas être honoré.

Ainsi n'étant pas en mesure de nous acquitter d'une pareille somme, après une saisie de nos biens, il pourrait être demandé à notre égard une contrainte par corps qui nous jetterait en prison pour plus ou moins longtemps.


Dans cette ultime hypothèse cela serait plus grave pour Claire puisque dans une prison pour femme elle ne pourrait plus avoir de relations sexuelles avec des hommes sauf bien sûr avec les rares gardiens masculins si ceux-ci sont demandeurs. De mon côté, ma réputation m'ayant précédé, même si je n'en éprouve pas expressément l'envie, les autres prisonniers sous peine de sévices corporels exigeront que je leur taille des pipes et que je me laisse volontiers enculer en ayant aucune compassion envers la bonne grosse salope qui n'attend que cela que je suis à leurs yeux, sans prendre la précaution d'utiliser de lubrifiant intime et des préservatifs, semblant ignorer que c'est parmi la population carcérale que l'on recense le plus important pourcentage de séropositifs.


Bien sûr ceci reste un cas extrême ainsi Claire et moi prenons toutes nos précautions pour que cela n'arrive pas en savourant tous ces moments où nous sommes très heureuses de pouvoir tailler de nombreuses pipes et de nous laisser pénétrer par une multitude de travailleurs émigrés résidants dans ces foyers réservés principalement à des noirs et des arabes que nous apprécions particulièrement pour leurs performances sexuelles qui parfois arrivent encore à nous provoquer de puissants orgasmes bien que nous puissions accorder rarement beaucoup plus de cinq minutes à chacun d'entre eux. Aussi il n'est pas rare qu'un orgasme ayant débuté avec un premier sodomisateur se prolonge avec un ou plusieurs suivants dès l'instant où ceux-ci enchaînent leurs pénétrations de façons pratiquement en continu nous faisant croire qu'il s'agit toujours de la même grosse bite qui nous pénètre.


Aussi lorsque nous faisons une petite coupure en dégustant quelques victuailles apportées par des résidants c'est toujours en nous demandant combien de sexes nous restent-ils à satisfaire en leurs permettant d'éjaculer librement en nous par préservatif interposé. Ainsi après une courte pose bien méritée, c'est avec un certain entrain que nous reprenons nos activités de prostituées à un euro symbolique afin de ne laisser aucun résident sur sa faim ayant envie de se vider les couilles en l'une d'entre nous, même si en plus d'y avoir passé une partie de l'après-midi et la soirée, nous devons faire une prolongation durant une partie de la nuit en étant satisfaites du travail toujours consciencieusement accompli dans la joie et l'allégresse.


Ainsi lorsque nous avons une bonne grosse bite en bouche à laquelle nous nous montrons heureuses de lui prodiguer une merveilleuse fellation ou une inoubliable gorge-profonde en prenant toutefois la précaution que l'éjaculation d'un sperme chaud et abondant ait toujours lieu par préservatif interposé depuis que la menace sida est potentiellement arrivée dans nos vies, il nous arrive d'avoir l'agréable surprise de ressentir une autre bite toute aussi grosse s'introduire entre nos fesses sans y avoir été invitée et surtout en absence totale de lubrifiant intime ce qui nous procure la sensation d'une bonne défonce.

Dans d'autres circonstances, quand cela est prémédité, c'est afin de gagner un temps précieux que nous acceptons volontiers d'avoir simultanément une bite dans la bouche et une ou plusieurs autres dans le cul afin de nous assurer, le plus rapidement possible, de pouvoir satisfaire sexuellement tous les résidents qui n'ont que cette occasion de pouvoir se vider les couilles sans trop avoir à débourser. Aussi lorsque nous acceptons des pénétrations multiples, c'est toujours en utilisant d'importantes quantités de gel intime afin de nous prémunir contre toutes mauvaises surprises qui auraient pour effet de nous rendre indisponibles pour quelques temps à cause d'une déformation prématurée et excessive de nos sphincters anaux.

Nos journées étant longues et cela sept jours sur sept, nous espérerions un peu de repos bien mérité sous la forme d'une autre équipe qui puisse nous remplacer de temps en temps, ce qui en plus aurait comme avantage pour les résidents de pouvoir découvrir de nouveaux vides-couilles afin de pouvoir y éjaculer leur sperme chaud et abondant par préservatif interposé, sans que cela n'altèrent ce service que nous leurs rendons gratuitement depuis de nombreuses années.

Ainsi en ayant une ou deux journées par mois de totale liberté, afin de ne pas perdre la main, nous pourrions continuer de façons moins contraignantes, à faire la pute mais cette fois ci de manière rémunérée en encaissant cinquante euros pour une fellation ou quatre vingt euros pour nous laisser volontiers pénétrer seulement une dizaine de fois par jour, ce qui serait bien différent avec le nombre de relations sexuelles buccales et anales, et aussi vaginales en ce qui concerne mon amie Claire qui avec son cent cinq E de tour de poitrine pratique aussi des branlettes espagnoles, pouvant parfois atteindre la centaine, ce qui avec le revenu complémentaire ainsi procuré est fort appréciable car à ce jour il n'existe pas de caisse de retraite pour les anciennes prostituées que nous sommes et n'ayant pas cotisées.

Aussi en attendant le jour où cela sera possible, ce que nous espérons le plus rapidement, nous continuons sans aucune retenue à tailler des pipes et à nous laisser pénétrer par de très nombreuses grosses bites de résidents noirs et arabes dont la majorité est particulièrement bien montée. Ce qui parfois arrive à nous sortir de notre routine quotidienne en nous procurant des orgasmes bien mérités surtout le plus souvent lors de relations sexuelles anales où pour nous rien n'est trop gros ni trop long en ce qui concerne les bites que nous aimons prendre dans notre cul pour de bonnes défonces que nous apprécions tant.

Par gwladys - Publié dans : gwladys - Communauté : gwladys travesti 60 ans
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