Alors que j'ai commencé à avoir des relations sexuelles buccales et anales consenties avec des hommes quand j'avais à peine plus de dix ans, mes toutes premières joies furent le fait que très rapidement je me fis énormément d'argent de poche assez facilement sans trop me fatiguer.
Dès le début en faisant des fellations et des gorges-profondes je me mis à avaler la totalité du sperme ayant envahit ma bouche toujours extrêmement gourmande, car cela faisait partie de la condition qui permettant ainsi de multiplier mes gains par deux. Ainsi au fur et à mesure que j'étais amené à tailler des pipes, cela devient un plaisir de me délecter d'un sperme chaud et abondant qui par jets puissants venait tapisser ma bouche, car en effet à force d'avaler de grandes quantités de sperme j'y avais pris goût en étant même devenu capable de différencier les différentes saveurs et textures venants tapisser mon palais délicat plus habitué aux goûts des sucreries.
De même en me laissant volontiers sodomiser, car cela faisait bien évidemment partie des exigences de ma clientèle qui venait pour trouver en moi un vide-couilles soumis et acceptant tout en ce qui concerne leurs envies en matière de relations sexuelles, malgré l'utilisation d'importantes quantités de lubrifiant intime, à mes débuts cela fut parfois assez douloureux surtout lorsque j'avais affaire à de très grosses bites appartenant généralement à des africains noirs ou arabes. Petit à petit, à force de me laisser enculer, mes sphincters anaux finirent par se relâcher au point que je pris du plaisir de me faire défoncer l'anus en appréciant les va et viens des bites qui venaient buter au fond de mon rectum avant de finalement délivrer leur jus puis de se retirer satisfaites de s'être vidé les couilles en moi tout en me lubrifiant l'anus de façon naturelle me permettant parfois d'enchaîner d'autres sodomies sans avoir besoins d'avoir recourt à l'utilisation de gel intime.
Bien évidemment, à mes débuts voyant une grosse bite à laquelle je devais faire une fellation ou une gorge profonde, il m'arrivait parfois à me demander comment j'allais faire pour pouvoir la prendre en bouche dans sa totalité, mais la nature étant bien faite, il se révélait toujours que je m'étais inquiété pour rien en l'avalant jusqu'au couilles qui venaient ainsi flirter avec mon menton. Il en a été de même lors de mes premières sodomies où avec certaines très grosses bites je me suis inquiété en me demandant si mon cul allait vouloir les accepter au plus profond de mon rectum, mais avec de grandes quantités de gel intime, et surtout en y prenant du temps cela se passa si bien qu'à aucun moment je n'eus l'impression de me faire violer, car même si j'ai du endurer de légères souffrances, dans tous les cas j'étais totalement consentante en ayant conscience que par la suite cela ne me poserait plus de problèmes.
Durant ma première semaine de familiarisation où c'est en tant que jeune garçon j'eus de multiples relations sexuelles avec de nombreux hommes j'ai accumulé un petit pactole que je me suis précipité d'en investir plus de la moitié en me procurant tout le nécessaire me permettant de m'habiller, de me maquiller et de me coiffer en fille faisant la pute pour le plus grand plaisir de ses clients. Ainsi à chaque fois que j'avais une relation sexuelle avec un homme ce n'était plus en tant que jeune garçon ayant un peu honte de ce que je faisais là, mais en tant que fille soumise très contente et fière de donner du plaisir à un homme qui éjaculait en moi tout en me tripotant au début les cuisses et les fesses, puis par la suite, lorsque j'ai investi, ma petite poitrine constituée de faux seins en silicone aussi bien réaliste visuellement qu'au toucher.
C'est ainsi qu'ayant ôté ma robe et me retrouvant simplement et uniquement vêtu d'un soutien-gorge indispensable pour maintenir en bonne place ma poitrine formée d'une paire de faux seins en silicone, et d'un porte-jarretelles retenant mes fins bas noirs à couture qui avec mes escarpins aux talons de seulement huit centimètres contribuaient à renforcer le galbe naturel de mes longues jambes fuselées, en ne portant pas de culotte d'habitude portée par-dessus mes fines jarretelles afin de pouvoir l'ôter sans avoir à dégrafer ces dernières pour laisser un libre accès à mes fesses, je pouvais réaliser mon principal fantasme qui est de pouvoir me retrouver avec simultanément une bite prête à éjaculer dans ma bouche gourmande et une autre entre mes fesses extrêmement accueillantes.
Aussi afin de satisfaire un des fantasmes principaux de ma clientèle avec une bonne préparation ainsi qu'une importante quantité de lubrifiant intime, j'acceptais volontiers d'avoir des multiples pénétrations anales avec deux bites, voire même trois bites simultanément qui allaient y éjaculer en m'inondant le rectum de sperme chaud et abondant avant de se retirer et de me laisser avec la sensation d'avoir eu un micro- lavement me permettant de me soulager avant d'enchaîner une ou plusieurs autres séances de sodomies multiples qui me remplissaient à nouveau de joies.
Pour tout cela, je prenais énormément de plaisir à m'habiller en fille en étant ravi de sentir sur ma peau des dessous constitués de précieuses matières telles que de la soie ou du nylon constituant mes parures et mes bas qui font qu'aux yeux des hommes je demeurais toujours aussi ravissante et sexy au point de leurs donner des envies d'éjaculer rapidement en moi qui bien évidemment n'attendant que cela ne faisait rien pour les en empêcher, bien au contraire puisque je suis là juste pour cela à ce qu'ils en pensaient à juste titre.
Ainsi en taillant des pipes et en me laissant enculer, je contribuais au bien-être de ma clientèle masculine qui est heureuse de retrouver en moi un vide-couilles toujours prêt à satisfaire tous leurs fantasmes sexuels à chaque fois qu'une occasion se présentait, ce qui fait que j'étais extrêmement heureuse d'avaler de grandes quantités de sperme et d'en avoir autant qui me lubrifiaient le cul.
Ce que j'appréciais aussi c'est de me sentir reconnu par les hommes comme étant une fille avec laquelle ils étaient extrêmement contents de me parler, voire de me faire la cour, avant de me donner de l'argent afin que je consente à leurs accorder une relation sexuelle buccale ou anale leurs permettant d'éjaculer en moi en toute liberté sans utiliser de préservatif. Pour cela j'aimais porter de belles robes ou être vêtu d'une minijupe en cuir avec un chemisier presque transparent ou au profond décolleté permettant de révéler en partie ma poitrine constituée d'une paire de faux seins en silicone.
Tout comme la grande majorité des hommes m'appréciaient en tant que fille sexy et désirable, de mon côté je savais apprécier les hommes en particulier quand ils se trouvaient dans la salle d'attente située dans l'appartement où j'avais pris comme habitude d'exercer mes talents de prostituée en train d'attendre leur tour leurs permettant de se vider les couilles en moi où je remarquais assez facilement ceux pour lesquels cela n'allait pas tarder à devenir une urgence à en voir la bosse formée sur leur pantalon ou même la position qu'ils prenaient en allant jusqu'à sortir leur bite de leur braguette et la tenir, en pleine érection, d'une main bien dirigée vers le plafond, parait- il que c'est cela que l'on appelle faire la queue.
Ainsi dans ces cas là en constatant cet état de fait, donnant envie de toutes les sucer, cela me donnais parfois des idées en demandant à tous ceux qui paraissaient pressés en ayant la queue dressée s'ils étaient intéresses que je joue avec eux à un petit jeu à connotation sexuelle dont je leurs exposais la règle du jeu. Ayant leur assentiment, je les prenais en bouche les uns après les autres en changeant de bite environ toutes les cinq à dix secondes en faisant plusieurs tours jusqu'à ce qu'une bite éjacule son sperme chaud et abondant dans ma bouche gourmande. Puis je continuais à sucer toutes les autres jusqu'au moment où il n'en restait plus qu'une qui était ainsi désignée comme étant le vainqueur de ce jeu où comme premier prix je venais m'asseoir sur les genoux de son propriétaire afin qu'en ayant sa bite bien engagée à l'intérieur de mon rectum cette dernière puisse y éjaculer la totalité de son sperme avec toutes les facilités requises.
En temps normal n'ayant pas plus de dix minutes à accorder à chaque client afin qu'il puisse se vider les couilles en moi, comme il avait été convenu avec mon bienfaiteur qui me procurait un hébergement et aussi ma clientèle que sans lui j'aurais bien été incapable de trouver si régulièrement, pour mon plus grand plaisir, j'arrivais toujours à trouver le temps après qu'un client ait éjaculé dans ma bouche ou dans mon cul de lui nettoyer méticuleusement la bite avec ma langue afin de faire disparaître en totalité les ultimes traces de sperme et éventuellement les derniers résidus de matière fécale afin qu'il puisse rentrer chez lui sans craindre que son épouse ou sa petite amie trop curieuse devine que précédemment il venait de se vider les couilles en se faisant tailler une pipe ou en enculant une prostituée, qui pire cela était en réalité un très jeune garçon coiffé, maquillé et habillé en fille afin de se montrer davantage désirable auprès de sa clientèle.
Pour mon plus grand plaisir, à la demande de certains clients exigeants, au même titre que pour doubler mes gains lorsque je faisais une fellation ou une gorge-profonde en avalant la totalité du sperme chaud et abondant venu tapisser mon palais, lors de sodomies je pouvais en faire de même en expulsant dans un bol le surplus de liquide séminal résidant dans mon rectum. Après cela, je devais laper la totalité du contenu du bol, ce qui me laissait indifférent même si les premières fois j'ai eu beaucoup de mal à tout avaler à cause des traces de résidu de matière fécale s'y trouvant mêlé. Mais à bien tout considérer, je me fis une raison en me disant que ce n'était pas plus ragoûtant que de sucer, pour la nettoyer, une bite venant tout juste sortir de mon cul.
N'étant pas autorisé de percevoir de l'argent en payement de mes prestations sexuelles buccales et anales car c'est mon bienfaiteur qui s'en chargeait auprès de ma très nombreuse clientèle en versant toutes les semaines sur un compte m'appartenant, pas plus que je ne devais accepter des pourboires autres que des cadeaux sans grandes valeurs comme par exemple une paire de bas ou un bijou dit de fantaisie, j'appréciais aussi les fleurs que je gardais dans un vase participant à la décoration de la chambre où avait lieu la grande majorité de mes ébats sexuels ainsi que les paquets de bonbons particulièrement à la menthe que je suçais parfois par gourmandise et goût entre deux fellations et non pour chasser le parfum de sperme qui ne me dérangeait plus, bien au contraire, depuis que j'avalais volontiers celui-ci dès qu'une occasion se présentait et que ne refusais jamais.
Pour cela je respectais un horaire bien précis où ma présence était requise en fin d'après-midi toute la semaine de dix sept à dix neuf heures afin de satisfaire sexuellement une dizaine de clients. Par contre les samedis et les dimanches ainsi que pendant toute la durée des vacances scolaires c'est tout l'après-midi de quatorze à dix neuf heures que je devais me montrer disponible afin de faire de l'abatage avec deux douzaines de clients. Ainsi en ayant un rôle similaire à celui qu'avaient les prostituées hébergées dans les maisons closes, en taillant des pipes ou en me laissant volontiers enculer selon la demande de ma clientèle je me retrouvais avec d'importantes quantités de sperme à avaler et pratiquement autant qui m'inondaient l'intérieur de mon rectum, ce qui avait pour conséquence de me rendre aussi heureux que l'étaient mes clients qui avaient trouvé en moi un parfait jeune vide-couilles pour se soulager sexuellement en seulement dix minutes.
Dans le même état d'esprit, de temps en temps à la demande de mon bienfaiteur, en disant à mes parents que j'allais passer la nuit chez un copain, celui-ci me louait en fille pour une nuit complète de vingt heures à sept heures à un groupe d'hommes qui pouvaient disposer de moi en s'étant acquittés d'une somme approchant ce que je gagne pendant toute ma semaine à faire la pute. Ainsi avec ces hommes qui étaient environ une dizaine, voire même plus, je devais me montrer extrêmement soumis et cédant à toutes leurs exigences dès l'instant que cela ne comportaient pas d'actes violant ni dégradant comme par exemple tout ce qui peut être en rapport avec de la scatologie ou de l'urologie. Durant ces nuits de débauches sexuelles, tous les hommes présents pouvaient se succéder à plusieurs reprises afin d'éjaculer en moi en me faisant avaler de grandes quantités de sperme et en m'obligeant à aller plusieurs fois aux toilettes afin de me vider le rectum avant d'y insérer un tampon périodique de taille maxi pour absorber les excédents de liquide séminal. Aussi après m'être démaquillé et me changer en garçon il ne me restait plus qu'à me rendre au collège pour y suivre, avec une certaine difficulté due au manque de sommeil mais avec l'estomac et le cul en partie bien remplis, mes cours de la journée, avant de me rendre, comme tous les jours, à l'appartement pour continuer à faire la pute en étant, comme à mon habitude, heureux d'avoir de multiples relations sexuelles buccales et anales avec de nombreux clients que je ne devais pas faire attendre.
Aussi en portant toute mon attention à respecter le plus possible le planning que m'avait organisé mon bienfaiteur ne me permettant que d'accorder à chaque client que dix minutes, ce qui dans quatre vingt dix neuf pour cent des cas était largement suffisant, afin qu'il puisse éjaculer en moi son sperme chaud et abondant en toute liberté sans utiliser de préservatif, aussi à chaque fois que j'avais une relation sexuelle buccale ou anale je savourais toujours cet instant jusqu'au moment où une importante quantité de liquide séminal venais tapisser mon palais gourmand avant que je l'avale par goût dans sa totalité de la même façon que j'appréciais de me retrouver avec l'anus volontiers accueillant inondé de sperme qu'il me fallait parfois expulser en partie dans un bol avant d'en laper tout le contenu afin de mériter d'avoir mes gains de jeune pute doublés.
Ainsi tout comme certaines personnes se délectent d'un excellent thé à cinq heures, ou que les enfants aiment boire un bol de chocolat chaud à quatre heures, tous les jours de la semaine en rentrant du collège j'avais droit à ma collation de sperme chaud. Il en était de même pendant les week-ends et pendant les vacances scolaires où c'est dès quinze heures qu'avec trois heures d'avance que je pouvais déguster ce qui était devenu ma raison de vivre comme une jeune prostituée qui de ce fait gagne beaucoup d'argent. Aussi avec mes gains très importants je pouvais me faire plaisir en m'achetant des dessus chics et des dessous chocs qui contribuaient à me rendre excessivement désirable auprès de ma clientèle qui trouvait en moi un excellent vide-couilles capable de lui faire de merveilleuses fellations et d'inoubliables gorges-profondes en avalant sa semence, ainsi que de me laisser sodomiser sans également utiliser de préservatif afin de davantage satisfaire mes clients.
Aussi sept jours sur sept, étant devenu dépendant au sperme, c'était devenu comme une sorte de drogue où il me fallait absolument ma dose quotidienne pour me sentir pleinement épanoui ce qui ne me posait pas beaucoup de problèmes dès l'instant où mon bienfaiteur remplissait mon planning de bites à sucer et à me mettre dans le cul afin d'y éjaculer sans préservatif leur sperme chaud et abondant que je m'empressais d'avaler gloutonnement comme la bonne salope que j'étais. Pour cela, les clients s'enchaînaient les uns à la suite des autres si bien qu'il m'arrivait de ne pas avoir fini d'avaler de puissants jets de sperme que d'autres venaient déjà à leurs tours tapisser mon palais délicat. Il en était de même pour mon rectum qui arrivait à être si ruisselant qu'il dégoulinait de sperme mélangé qu'il devenait urgent de vider le contenu de mon rectum dans un bol que je m'empressais de laper puis de m'introduire dans le cul un tampon périodique de taille maxi afin d'absorber les surplus de sperme qui en dégouline.
Ce que j'appréciais aussi en plus de me laisser enculer en levrette, c'est de pouvoir m'asseoir sur les genoux d'un homme afin de nous retrouver comme ne faisant qu'un en ayant sa bite profondément incrustée au fin fond de mon rectum où en frétillant du cul je pouvais apprécier ce moment ultime où sa bite vient se soulager d'une grande quantité de sperme chaud et abondant qu'ensuite je me précipitais d'expulser dans un bol afin d'en laper goulûment la totalité du contenu sans me poser de questions aussi inutiles que sans aucunes importances dans l'instant présent où je ressentais tout cela comme étant le fruit d'une récompense bien méritée.
Pour ce qui est d'avoir une bite en bouche afin de lui prodiguer une merveilleuse fellation ou une pas moins inoubliable gorge profonde en tant que jeune petite pute extrêmement soumise qui ne refusait jamais rien aux hommes afin de toujours satisfaire pleinement leurs désirs sexuels, il y a une chose qui ne me déplaisait pas, bien au contraire, c'est de ressentir une main appuyer sur l'arrière de ma tête afin de me faire garder la position me permettant de tailler une pipe sans qu'à aucun moment la bite ne ressorte de ma bouche avant d'y éjaculer son sperme chaud et abondant sans que je n'aie à me demander si je dois tout avaler sans me préoccuper si pour cela je serai récompensé d'une prime substantielle me permettant de multiplier mes gains par deux sans avoir à me fatiguer davantage.
Ce qui m'excitait le plus c'est que de tout cela il a été fait une compilation en VHS d'une multitude de relations sexuelles buccales et anales avec des clients qui ne se sont pas opposés de figurer dans des scènes où on peut les voir, le visage flouté pour certains qui en ont fait la demande, en train de me sodomiser ou de me laisser volontiers leur tailler une pipe. Cette compilation destinée à tourner en boucle dans la grande entrée servant de salle d'attente pour ma nombreuse clientèle est destinée pour ceux qui en arrivant ne savent pas encore ce qu'ils vont pouvoir exiger de moi pour se vider les couilles de leurs faire découvrir tout ce dont je suis capable pour les satisfaire afin de fidéliser leurs statuts de futurs bons clients. Ainsi en étant perçu au premier abord comme une sorte d'actrice porno pour films destinés aux adultes, ensuite je n'ai aucun mal à me concrétiser comme étant, malgré mon jeune age, une jeune pute dont l'expérience n'est en aucuns cas prête à être contestée.
Aussi pour en arriver à cette forme de perfection tant appréciée de ma clientèle masculine constituée de connaisseurs sachant reconnaître les qualités d'une relation sexuelle qu'elle soit buccale ou anale, mon bienfaiteur m'a fait faire pendant trois jours un stage de remise à niveau dans une très prestigieuse et réputée école de salopes. Ainsi dans cette institution où les cours sont totalement gratuits, où seul l'acquisition de produits de maquillage ainsi que de vêtements, de sous-vêtements et d'accessoires de mode doivent se faire de façon personnelle, ce qui ne pose pas de gros problèmes étant donnés les gains que l'on se fait grâce aux exercices pratiques qui sont rémunérés par les clients qui viennent se vider les couilles dans ce genre de bordel à vocation aussi éducative où dès mon arrivée le premier jour il me fut demandé de me mettre en sous- vêtements afin de vérifier si ceux-ci correspondaient bien à l'image que doit être celle d'une bonne grosse salope.
Me retrouvant uniquement vêtu de mon string et de ma guêpière ayant aussi pour fonctions de retenir bien en place ma poitrine formée d'une paire de faux seins en silicone autant réaliste visuellement qu'au toucher et aussi de maintenir bien tendus mes fins bas noirs à couture sur mes longues jambes fuselées dont le galbe naturel se trouvait renforcé par le port d'escarpins aux talons de huit centimètres. La salope confirmée qui m'examina me fit remarquer qu'il y avait quelque chose à changer en commençant par me faire remarquer que je n'offrais une poitrine pas assez volumineuse pour correspondre au fantasme des hommes qui rêvent d'une blonde, ce qui correspondait bien à ma perruque, à forte poitrine, aussi elle me proposa une paire d'énormes faux seins que je m'empressa d'échanger à l'intérieur des bonnets de ma guêpière.
Puis elle me fit remarquer un autre détail que je devrais rectifier en me proposant une merveilleuse paire d'escarpins aux talons vertigineux de douze centimètres qui devraient être plus appropriés à faire fantasmer davantage mes potentiels clients. Après ces rectifications faites avec succès, mon éducatrice me proposa d'essayer différentes tenues destinées à faire de moi une véritable salope. Parmi toutes celles qui me furent proposées, j'en retins deux. La première constituée d'un chemisier en dentelle presque transparente au profond décolleté destiné à mettre en valeur ma toute récente opulente poitrine et d'une mini-jupe en cuir noir moulant parfaitement mes fesses sans trop les découvrir. La seconde, une robe moulante en vinyle rouge dont le décolleté dans le dos descendait jusqu'à la naissance de mes fesses en partie découvertes étant donnée la longueur de cette robe qui ainsi devenait une invitation à la sodomie. C'est cette dernière que je décida d'adopter pour la majorité de mon temps passé à l'école des salopes.
La dernière chose dont il me fut demandé d'apporter des rectifications fut mon maquillage ne correspondant pas assez à celui que l'on se fait d'une prostituée. Ainsi après avoir adopté un rouge à lèvres plus vif et d'en élargir les contours afin qu'en les rendant plus pulpeuses, elles apparaissent excessivement plus gourmandes et inspirent ainsi à de merveilleuses fellations et d'inoubliables gorges-profondes. Puis ce fut au tour de mes yeux de se parer d'un regard de salope à l'aide d'importantes quantités de mascara et d'eye-liner destiné à les faire ressortir.
Puis après cette mise en condition qui ne pris pas plus d'une heure, la salope en chef m'invita à passer aux choses pratiques en m'invitant à pénétrer dans une grande salle où attendaient une multitude d'hommes en quête d'un vide-couilles. Puis elle me donna l'ordre de montrer ce que je savais faire en taillant une pipe à l'un d'entre eux avant de me laisser volontiers sodomiser par un autre. Une fois cette épreuve réalisée avec succès, elle me fit remarquer que j'avais passé beaucoup trop de temps et que pour être une bonne salope il serait préférable que cela ne me prenne pas plus de trois minutes par passe afin de pouvoir réaliser une vingtaine de relations sexuelles buccales et anales chaque heure et ceci pendant toute une journée pouvant atteindre les douze heures d'affilées. Ayant compris la leçon, pendant tout le reste de ma journée passée à l'école de salopes, j'enchaînais les passes en essayant de respecter à la lettre le temps qui m'était imparti afin de tenter d'approcher mon cota de relations sexuelles à effectuer au cours de la dizaine d'heure qu'il me restait à passer au sein de cette institution. Afin d'atteindre plus facilement cet objectif, en accord avec la salope en chef, je proposais, à la clientèle intéressée, de prendre un client en bouche pendant qu'un ou plusieurs autres me mettaient leur bite dans le cul.
Durant toute cette première journée, mon initiatrice qui ne manquait pas de m'observer lors de mes prestations sexuelles me félicita du fait que n'utilisant pas de préservatif à chaque fois qu'un homme venait à éjaculer son sperme chaud et abondant dans ma bouche gourmande sans me poser de question je m'empressais de tout avaler, Elle fut aussi également surprise qu'à l'aide d'un bol à large bord, que je lui avais de mettre à la disposition lors de mon arrivée à l'école des salopes, lorsque mon rectum débordait de sperme après plusieurs sodomies j'en évacuais le surplus afin de le laper aussi goulûment l'intégralité du contenu. Ainsi elle me fit remarquer que malgré mon jeune age d'à peine douze ans, je me comportais déjà comme une bonne grosse salope ayant beaucoup plus pratiquée.
Pour mon deuxième jour à l'école des salopes qui après avoir fait un maquillage de pute et m'habiller comme telle fut entièrement consacré aux pratiques sexuelles buccales et anales pour lesquelles avec succès je pus atteindre l'objectif souhaité de vingt clients satisfaits par heure et ceci sans discontinuer pendant toute une journée de douze heures.
Puis pour ma dernière nuit passée en tant que pensionnaire dans une chambre mise à ma disposition dans l'école des salopes, ma maîtresse me demanda de m'endormir jusqu'au petit matin avec la bite d'un homme noir bien monté profondément enfichée dans mon anus sans qu'il éprouve le besoin d'y éjaculer. Ainsi à peine réveillés, afin de l'en remercier d'avoir réussi à se retenir toute la nuit, spontanément je le pris en bouche pour lui administrer une merveilleuse fellation afin qu'il puisse enfin éjaculer son sperme chaud et abondant.
Pour mon dernier et troisième jour de stage je me comportais comme une véritable salope chevronnée qui enchaîna avec succès tout ce qu'on attendait d'elle en tant que pratiques sexuelles qui fut couronné par l'obtention d'un diplôme de salope avec en cadeau un plug anal muni d'un cristal synthétique de couleur rose pale auquel elle ajouta bien naturellement le montant gagné lors de mes trois journées de plus de six cent prestations sexuelles à dix ou vingt francs selon que j'avalais ou lapais le contenu de sperme sortant de mon cul après plusieurs sodomies ce qui devait faire à peu prêt dix mille francs, auxquelles elle retira la somme due pour mes achats à la boutique de l'école des salopes.
Aussi de retour à l'appartement où pour mon bienfaiteur et protecteur qui organisait mon planning afin que je puisse me prostituer en toute sécurité et surtout en toute discrétion, en lui faisant mon rapport de stage, en plus de lui faire constater les améliorations de mon apparence de jeune pute, je lui fis part que désormais au lieu d'un client toutes les dix minutes je serai en mesure d'en satisfaire un toutes les six minutes et pour lui confirmer cela, vêtu de ma robe moulante rouge en vinyle je l'invita à me sodomiser comme il en avait pris l'habitude de le faire en premier avant de me laisser commencer mon après-midi d'abatage sexuel avec les clients qu'il m'avait sélectionnés. Puis en tant que jeune salope docile et soumise, avec entrain je commençais ma journée de prostitué en multipliant les clients plus vite qu'à mon habitude ce qui imposa à mon bienfaiteur de me trouver par téléphone d'autres clients afin que je puisse bien remplir ma journée sans qu'ils n'y aient de trous, excepté bien sûr les deux miens que je monnayais bien volontiers.
Ainsi durant les mois qui suivirent, je deviens une meilleure gagneuse en doublant parfois les performances sexuelles que j'avais à mes débuts de jeune prostitué. Pour arriver à ce résultat plus qu'honorable, j'étais aidé par la nouvelle façon de me maquiller et surtout par le choix de mes vêtements me faisant davantage apparaître comme étant une bonne grosse salope surtout depuis que j'avais adopté une nouvelle paire de faux seins en silicone plus volumineuse correspondant plus au fantasme de la blonde à forte poitrine que tous les hommes adorent. Tout cela je le devais surtout à mon court stage de trois jours effectué dans une école de salopes où j'appris énormément de choses bien utiles à mon statut de jeune pute.
Aussi, j'étais prête à avaler davantage de bites et donc par conséquence de sperme chaud et abondant venant tapisser mon palais, et aussi d'en avoir plein le cul au point parfois d'avoir des difficultés à m'asseoir ou de me retrouver avec l'anus tout dégoulinant de sperme laissé par plusieurs sodomisateurs successifs. N'est ce pas cela que l'on attend de la part d'une bonne grosse salope quel que soit son age et ses plaisirs pouvant aller jusqu'à l'orgasme lorsqu'elle a des relations sexuelles buccales ou anales avec des clients qu'elle apprécie particulièrement pour les dimensions et aussi les performances de leur sexe ! Bien évidemment en tant que bonne grosse salope désirant donner le change auprès de sa clientèle masculine, il se peut que ses soit disant orgasmes ne soient que simulés afin qu'en flattant les hommes dans leur fierté ces derniers éjaculent en elle avec plus de rapidité.
Ainsi le problème ne se posant plus de savoir si en tant que bonne grosse salope, je devais avaler ou non la totalité du sperme déposé en moi, mon bienfaiteur pris la décision d'inclure systématiquement le montant de cette prestation, qui était déjà demandée par plus de quatre vingt dix pour cent de ma clientèle, dans le prix qu'il demandait à chaque client pour éjaculer librement en moi sans utiliser de préservatif en profitant pleinement de mon corps de jeune pute dont les pratiques sexuelles buccales et anales, ainsi que les tenues provoquantes et le maquillage outrancier n'ont rien à envier aux prostituées plus expérimentées pratiquant des tarifs nettement plus élevés que les vingt francs que désormais je pratique quelle que soit la prestation demandée et le souhait ou non d'avaler intégralement ou bien d'expulser la totalité du sperme déposé en moi.
Arrivant à ne plus passer que six minutes, ce qui était encore loin des trois minutes préconisées par ma maîtresse de stage que j'avais réussi à assurer pendant mes trois jours passés à l'école des salopes, mais qu'afin de ne pas devenir dans le futur une personne amorphe après avoir fait de l'abatage pendant de trop nombreuses années, pour chaque passe sexuelle réalisé avec un client afin qu'il éjacule en moi, mon bienfaiteur fut agréablement confronté avec le problème qu'il me faudrait huit clients de plus les jours de semaine où je faisais la pute seulement de dix sept à dix neuf heures, et une vingtaine de clients supplémentaire pour les après-midi des week-ends et des périodes de vacances scolaires où j'étais très heureuse de pouvoir tailler des pipes et me laisser volontiers enculer sans discontinuer de quatorze à dix neuf heures. Pour cela il pouvait compter sur le fait que sur mon curriculum vitae il pouvait désormais faire figurer à côté de mon jeune age que j'étais fraîchement diplômé d'une prestigieuse école de salopes dont la renommé est une référence en la matière où j'ai appris à maîtriser tout ce qui concerne les relations sexuelles buccales et anales avec ma fidèle ou nouvelle clientèle.
Ainsi en confirmant de ne plus vouloir consacrer plus de six minutes avec chaque client désirant se faire tailler une pipe ou bien m'enculer, mon bienfaiteur dut réorganiser mon planning et la liste des réservations s'y rapportant afin de les rendre plus compatibles de façon optimale avec mes désirs en sachant et en prenant compte toutefois que s'il m'arrivait de déborder j'aurai toujours la possibilité de rattraper le temps ainsi perdu en proposant à deux clients en attente d'avoir avec moi une relation sexuelle buccale et anale simultanément. Ce que certains clients appréciaient le plus particulièrement mais n'osaient pas demander, pas plus que d'avoir recours à des pénétrations multiples anales. Mais quoi qu'il en soit, ils étaient tous demandeurs de pouvoir se vider les couilles sans utiliser de préservatif dans la bouche extrêmement gourmande ou entre les fesses volontiers accueillantes d'une très jeune pute qui de plus, chose non négligeable, avait réussi avec succès son concours de fin de stage dans une prestigieuse école de salopes où elle avait passé trois jours pendant douze heures d'affilées à satisfaire plus de six cent clients tous abonnés à ce genre d'établissement où pour leur bonheur les apprenties salopes se renouvellent tous les trois jours.
Aussi afin de satisfaire sexuellement la diversité de cette clientèle, je devais me métamorphoser soit en pute, soit en salope ou les deux simultanément. Au premier abord mes clients qui venaient chercher en moi un excellent vide-couilles afin d'avoir une relation sexuelle buccale ou anale leur permettant de déposer leur sperme chaud et abondant, trouvaient ainsi une très jeune pute. Puis au deuxième abord cette dernière se transformait en parfaite grosse salope qui se délectait du sperme qu'elle avait la possibilité d'avaler directement lors d'une merveilleuse fellation ou d'une inoubliable gorge-profonde réalisée sans préservatif, ou par l'intermédiaire d'un bol, placé sous mes fesses pour recueillir le sperme s'écoulant de mon anus après une sodomie, dont je devais laper l'intégralité du contenu.
Quant à savoir si je devais être qualifié de pute ou de salope, pour moi la question ne se pose pas car en vendant mon corps à des hommes afin qu'ils puissent y éjaculer librement leur sperme chaud et abondant, indéniablement, malgré mon très jeune age, je me comportais bien comme une petite pute, qui de plus en utilisant pas de préservatif, ayant la possibilité de tout avaler, de toute évidence je devenais une parfaite grosse salope. En conclusion de ces deux évidences, afin de mettre tout le monde d'accord, j'accepte volontiers d'être traité et considéré comme étant une très jeune et grosse salope qui aime faire la pute, ou bien telle une très jeune pute qui adore se comporter comme une grosse salope afin de ne pas déplaire à sa clientèle. Aussi quoi qu'il en soit et quoi qu'on puisse tout naturellement en penser ces deux qualificatifs qui de toute évidence demeurent indissociables de la personne que je suis me vont aussi bien l'un que l'autre car ils correspondent tous les deux à mon comportement et à mes activités sexuelles.
Ainsi quel que soit le qualificatif que l'on m'attribue, je reste toujours aux yeux des hommes qui sont aussi mes clients potentiels une pute que l'on rétribue afin d'avoir des relations sexuelles avec elle où dans ce cas ils apprécient que je me comporte comme une bonne grosse salope afin de satisfaire tous leurs besoins et phantasmes sexuels.
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