gwladys

Lundi 31 octobre 1 31 /10 /Oct 10:38

Alors que j'ai commencé à avoir des relations sexuelles buccales et anales consenties avec des hommes quand j'avais à peine plus de dix ans, mes toutes premières joies furent le fait que très rapidement je me fis énormément d'argent de poche assez facilement sans trop me fatiguer.

Dès le début en faisant des fellations et des gorges-profondes je me mis à avaler la totalité du sperme ayant envahit ma bouche toujours extrêmement gourmande, car cela faisait partie de la condition qui permettant ainsi de multiplier mes gains par deux. Ainsi au fur et à mesure que j'étais amené à tailler des pipes, cela devient un plaisir de me délecter d'un sperme chaud et abondant qui par jets puissants venait tapisser ma bouche, car en effet à force d'avaler de grandes quantités de sperme j'y avais pris goût en étant même devenu capable de différencier les différentes saveurs et textures venants tapisser mon palais délicat plus habitué aux goûts des sucreries.

De même en me laissant volontiers sodomiser, car cela faisait bien évidemment partie des exigences de ma clientèle qui venait pour trouver en moi un vide-couilles soumis et acceptant tout en ce qui concerne leurs envies en matière de relations sexuelles, malgré l'utilisation d'importantes quantités de lubrifiant intime, à mes débuts cela fut parfois assez douloureux surtout lorsque j'avais affaire à de très grosses bites appartenant généralement à des africains noirs ou arabes. Petit à petit, à force de me laisser enculer, mes sphincters anaux finirent par se relâcher au point que je pris du plaisir de me faire défoncer l'anus en appréciant les va et viens des bites qui venaient buter au fond de mon rectum avant de finalement délivrer leur jus puis de se retirer satisfaites de s'être vidé les couilles en moi tout en me lubrifiant l'anus de façon naturelle me permettant parfois d'enchaîner d'autres sodomies sans avoir besoins d'avoir recourt à l'utilisation de gel intime.

Bien évidemment, à mes débuts voyant une grosse bite à laquelle je devais faire une fellation ou une gorge profonde, il m'arrivait parfois à me demander comment j'allais faire pour pouvoir la prendre en bouche dans sa totalité, mais la nature étant bien faite, il se révélait toujours que je m'étais inquiété pour rien en l'avalant jusqu'au couilles qui venaient ainsi flirter avec mon menton. Il en a été de même lors de mes premières sodomies où avec certaines très grosses bites je me suis inquiété en me demandant si mon cul allait vouloir les accepter au plus profond de mon rectum, mais avec de grandes quantités de gel intime, et surtout en y prenant du temps cela se passa si bien qu'à aucun moment je n'eus l'impression de me faire violer, car même si j'ai du endurer de légères souffrances, dans tous les cas j'étais totalement consentante en ayant conscience que par la suite cela ne me poserait plus de problèmes.

Durant ma première semaine de familiarisation où c'est en tant que jeune garçon j'eus de multiples relations sexuelles avec de nombreux hommes j'ai accumulé un petit pactole que je me suis précipité d'en investir plus de la moitié en me procurant tout le nécessaire me permettant de m'habiller, de me maquiller et de me coiffer en fille faisant la pute pour le plus grand plaisir de ses clients. Ainsi à chaque fois que j'avais une relation sexuelle avec un homme ce n'était plus en tant que jeune garçon ayant un peu honte de ce que je faisais là, mais en tant que fille soumise très contente et fière de donner du plaisir à un homme qui éjaculait en moi tout en me tripotant au début les cuisses et les fesses, puis par la suite, lorsque j'ai investi, ma petite poitrine constituée de faux seins en silicone aussi bien réaliste visuellement qu'au toucher.

C'est ainsi qu'ayant ôté ma robe et me retrouvant simplement et uniquement vêtu d'un soutien-gorge indispensable pour maintenir en bonne place ma poitrine formée d'une paire de faux seins en silicone, et d'un porte-jarretelles retenant mes fins bas noirs à couture qui avec mes escarpins aux talons de seulement huit centimètres contribuaient à renforcer le galbe naturel de mes longues jambes fuselées, en ne portant pas de culotte d'habitude portée par-dessus mes fines jarretelles afin de pouvoir l'ôter sans avoir à dégrafer ces dernières pour laisser un libre accès à mes fesses, je pouvais réaliser mon principal fantasme qui est de pouvoir me retrouver avec simultanément une bite prête à éjaculer dans ma bouche gourmande et une autre entre mes fesses extrêmement accueillantes.

Aussi afin de satisfaire un des fantasmes principaux de ma clientèle avec une bonne préparation ainsi qu'une importante quantité de lubrifiant intime, j'acceptais volontiers d'avoir des multiples pénétrations anales avec deux bites, voire même trois bites simultanément qui allaient y éjaculer en m'inondant le rectum de sperme chaud et abondant avant de se retirer et de me laisser avec la sensation d'avoir eu un micro- lavement me permettant de me soulager avant d'enchaîner une ou plusieurs autres séances de sodomies multiples qui me remplissaient à nouveau de joies.

Pour tout cela, je prenais énormément de plaisir à m'habiller en fille en étant ravi de sentir sur ma peau des dessous constitués de précieuses matières telles que de la soie ou du nylon constituant mes parures et mes bas qui font qu'aux yeux des hommes je demeurais toujours aussi ravissante et sexy au point de leurs donner des envies d'éjaculer rapidement en moi qui bien évidemment n'attendant que cela ne faisait rien pour les en empêcher, bien au contraire puisque je suis là juste pour cela à ce qu'ils en pensaient à juste titre.

Ainsi en taillant des pipes et en me laissant enculer, je contribuais au bien-être de ma clientèle masculine qui est heureuse de retrouver en moi un vide-couilles toujours prêt à satisfaire tous leurs fantasmes sexuels à chaque fois qu'une occasion se présentait, ce qui fait que j'étais extrêmement heureuse d'avaler de grandes quantités de sperme et d'en avoir autant qui me lubrifiaient le cul.

Ce que j'appréciais aussi c'est de me sentir reconnu par les hommes comme étant une fille avec laquelle ils étaient extrêmement contents de me parler, voire de me faire la cour, avant de me donner de l'argent afin que je consente à leurs accorder une relation sexuelle buccale ou anale leurs permettant d'éjaculer en moi en toute liberté sans utiliser de préservatif. Pour cela j'aimais porter de belles robes ou être vêtu d'une minijupe en cuir avec un chemisier presque transparent ou au profond décolleté permettant de révéler en partie ma poitrine constituée d'une paire de faux seins en silicone.

Tout comme la grande majorité des hommes m'appréciaient en tant que fille sexy et désirable, de mon côté je savais apprécier les hommes en particulier quand ils se trouvaient dans la salle d'attente située dans l'appartement où j'avais pris comme habitude d'exercer mes talents de prostituée en train d'attendre leur tour leurs permettant de se vider les couilles en moi où je remarquais assez facilement ceux pour lesquels cela n'allait pas tarder à devenir une urgence à en voir la bosse formée sur leur pantalon ou même la position qu'ils prenaient en allant jusqu'à sortir leur bite de leur braguette et la tenir, en pleine érection, d'une main bien dirigée vers le plafond, parait- il que c'est cela que l'on appelle faire la queue.

Ainsi dans ces cas là en constatant cet état de fait, donnant envie de toutes les sucer, cela me donnais parfois des idées en demandant à tous ceux qui paraissaient pressés en ayant la queue dressée s'ils étaient intéresses que je joue avec eux à un petit jeu à connotation sexuelle dont je leurs exposais la règle du jeu. Ayant leur assentiment, je les prenais en bouche les uns après les autres en changeant de bite environ toutes les cinq à dix secondes en faisant plusieurs tours jusqu'à ce qu'une bite éjacule son sperme chaud et abondant dans ma bouche gourmande. Puis je continuais à sucer toutes les autres jusqu'au moment où il n'en restait plus qu'une qui était ainsi désignée comme étant le vainqueur de ce jeu où comme premier prix je venais m'asseoir sur les genoux de son propriétaire afin qu'en ayant sa bite bien engagée à l'intérieur de mon rectum cette dernière puisse y éjaculer la totalité de son sperme avec toutes les facilités requises.

En temps normal n'ayant pas plus de dix minutes à accorder à chaque client afin qu'il puisse se vider les couilles en moi, comme il avait été convenu avec mon bienfaiteur qui me procurait un hébergement et aussi ma clientèle que sans lui j'aurais bien été incapable de trouver si régulièrement, pour mon plus grand plaisir, j'arrivais toujours à trouver le temps après qu'un client ait éjaculé dans ma bouche ou dans mon cul de lui nettoyer méticuleusement la bite avec ma langue afin de faire disparaître en totalité les ultimes traces de sperme et éventuellement les derniers résidus de matière fécale afin qu'il puisse rentrer chez lui sans craindre que son épouse ou sa petite amie trop curieuse devine que précédemment il venait de se vider les couilles en se faisant tailler une pipe ou en enculant une prostituée, qui pire cela était en réalité un très jeune garçon coiffé, maquillé et habillé en fille afin de se montrer davantage désirable auprès de sa clientèle.

Pour mon plus grand plaisir, à la demande de certains clients exigeants, au même titre que pour doubler mes gains lorsque je faisais une fellation ou une gorge-profonde en avalant la totalité du sperme chaud et abondant venu tapisser mon palais, lors de sodomies je pouvais en faire de même en expulsant dans un bol le surplus de liquide séminal résidant dans mon rectum. Après cela, je devais laper la totalité du contenu du bol, ce qui me laissait indifférent même si les premières fois j'ai eu beaucoup de mal à tout avaler à cause des traces de résidu de matière fécale s'y trouvant mêlé. Mais à bien tout considérer, je me fis une raison en me disant que ce n'était pas plus ragoûtant que de sucer, pour la nettoyer, une bite venant tout juste sortir de mon cul.

N'étant pas autorisé de percevoir de l'argent en payement de mes prestations sexuelles buccales et anales car c'est mon bienfaiteur qui s'en chargeait auprès de ma très nombreuse clientèle en versant toutes les semaines sur un compte m'appartenant, pas plus que je ne devais accepter des pourboires autres que des cadeaux sans grandes valeurs comme par exemple une paire de bas ou un bijou dit de fantaisie, j'appréciais aussi les fleurs que je gardais dans un vase participant à la décoration de la chambre où avait lieu la grande majorité de mes ébats sexuels ainsi que les paquets de bonbons particulièrement à la menthe que je suçais parfois par gourmandise et goût entre deux fellations et non pour chasser le parfum de sperme qui ne me dérangeait plus, bien au contraire, depuis que j'avalais volontiers celui-ci dès qu'une occasion se présentait et que ne refusais jamais.

Pour cela je respectais un horaire bien précis où ma présence était requise en fin d'après-midi toute la semaine de dix sept à dix neuf heures afin de satisfaire sexuellement une dizaine de clients. Par contre les samedis et les dimanches ainsi que pendant toute la durée des vacances scolaires c'est tout l'après-midi de quatorze à dix neuf heures que je devais me montrer disponible afin de faire de l'abatage avec deux douzaines de clients. Ainsi en ayant un rôle similaire à celui qu'avaient les prostituées hébergées dans les maisons closes, en taillant des pipes ou en me laissant volontiers enculer selon la demande de ma clientèle je me retrouvais avec d'importantes quantités de sperme à avaler et pratiquement autant qui m'inondaient l'intérieur de mon rectum, ce qui avait pour conséquence de me rendre aussi heureux que l'étaient mes clients qui avaient trouvé en moi un parfait jeune vide-couilles pour se soulager sexuellement en seulement dix minutes.

Dans le même état d'esprit, de temps en temps à la demande de mon bienfaiteur, en disant à mes parents que j'allais passer la nuit chez un copain, celui-ci me louait en fille pour une nuit complète de vingt heures à sept heures à un groupe d'hommes qui pouvaient disposer de moi en s'étant acquittés d'une somme approchant ce que je gagne pendant toute ma semaine à faire la pute. Ainsi avec ces hommes qui étaient environ une dizaine, voire même plus, je devais me montrer extrêmement soumis et cédant à toutes leurs exigences dès l'instant que cela ne comportaient pas d'actes violant ni dégradant comme par exemple tout ce qui peut être en rapport avec de la scatologie ou de l'urologie. Durant ces nuits de débauches sexuelles, tous les hommes présents pouvaient se succéder à plusieurs reprises afin d'éjaculer en moi en me faisant avaler de grandes quantités de sperme et en m'obligeant à aller plusieurs fois aux toilettes afin de me vider le rectum avant d'y insérer un tampon périodique de taille maxi pour absorber les excédents de liquide séminal. Aussi après m'être démaquillé et me changer en garçon il ne me restait plus qu'à me rendre au collège pour y suivre, avec une certaine difficulté due au manque de sommeil mais avec l'estomac et le cul en partie bien remplis, mes cours de la journée, avant de me rendre, comme tous les jours, à l'appartement pour continuer à faire la pute en étant, comme à mon habitude, heureux d'avoir de multiples relations sexuelles buccales et anales avec de nombreux clients que je ne devais pas faire attendre.

Aussi en portant toute mon attention à respecter le plus possible le planning que m'avait organisé mon bienfaiteur ne me permettant que d'accorder à chaque client que dix minutes, ce qui dans quatre vingt dix neuf pour cent des cas était largement suffisant, afin qu'il puisse éjaculer en moi son sperme chaud et abondant en toute liberté sans utiliser de préservatif, aussi à chaque fois que j'avais une relation sexuelle buccale ou anale je savourais toujours cet instant jusqu'au moment où une importante quantité de liquide séminal venais tapisser mon palais gourmand avant que je l'avale par goût dans sa totalité de la même façon que j'appréciais de me retrouver avec l'anus volontiers accueillant inondé de sperme qu'il me fallait parfois expulser en partie dans un bol avant d'en laper tout le contenu afin de mériter d'avoir mes gains de jeune pute doublés.

Ainsi tout comme certaines personnes se délectent d'un excellent thé à cinq heures, ou que les enfants aiment boire un bol de chocolat chaud à quatre heures, tous les jours de la semaine en rentrant du collège j'avais droit à ma collation de sperme chaud. Il en était de même pendant les week-ends et pendant les vacances scolaires où c'est dès quinze heures qu'avec trois heures d'avance que je pouvais déguster ce qui était devenu ma raison de vivre comme une jeune prostituée qui de ce fait gagne beaucoup d'argent. Aussi avec mes gains très importants je pouvais me faire plaisir en m'achetant des dessus chics et des dessous chocs qui contribuaient à me rendre excessivement désirable auprès de ma clientèle qui trouvait en moi un excellent vide-couilles capable de lui faire de merveilleuses fellations et d'inoubliables gorges-profondes en avalant sa semence, ainsi que de me laisser sodomiser sans également utiliser de préservatif afin de davantage satisfaire mes clients.

Aussi sept jours sur sept, étant devenu dépendant au sperme, c'était devenu comme une sorte de drogue où il me fallait absolument ma dose quotidienne pour me sentir pleinement épanoui ce qui ne me posait pas beaucoup de problèmes dès l'instant où mon bienfaiteur remplissait mon planning de bites à sucer et à me mettre dans le cul afin d'y éjaculer sans préservatif leur sperme chaud et abondant que je m'empressais d'avaler gloutonnement comme la bonne salope que j'étais. Pour cela, les clients s'enchaînaient les uns à la suite des autres si bien qu'il m'arrivait de ne pas avoir fini d'avaler de puissants jets de sperme que d'autres venaient déjà à leurs tours tapisser mon palais délicat. Il en était de même pour mon rectum qui arrivait à être si ruisselant qu'il dégoulinait de sperme mélangé qu'il devenait urgent de vider le contenu de mon rectum dans un bol que je m'empressais de laper puis de m'introduire dans le cul un tampon périodique de taille maxi afin d'absorber les surplus de sperme qui en dégouline.

Ce que j'appréciais aussi en plus de me laisser enculer en levrette, c'est de pouvoir m'asseoir sur les genoux d'un homme afin de nous retrouver comme ne faisant qu'un en ayant sa bite profondément incrustée au fin fond de mon rectum où en frétillant du cul je pouvais apprécier ce moment ultime où sa bite vient se soulager d'une grande quantité de sperme chaud et abondant qu'ensuite je me précipitais d'expulser dans un bol afin d'en laper goulûment la totalité du contenu sans me poser de questions aussi inutiles que sans aucunes importances dans l'instant présent où je ressentais tout cela comme étant le fruit d'une récompense bien méritée.

Pour ce qui est d'avoir une bite en bouche afin de lui prodiguer une merveilleuse fellation ou une pas moins inoubliable gorge profonde en tant que jeune petite pute extrêmement soumise qui ne refusait jamais rien aux hommes afin de toujours satisfaire pleinement leurs désirs sexuels, il y a une chose qui ne me déplaisait pas, bien au contraire, c'est de ressentir une main appuyer sur l'arrière de ma tête afin de me faire garder la position me permettant de tailler une pipe sans qu'à aucun moment la bite ne ressorte de ma bouche avant d'y éjaculer son sperme chaud et abondant sans que je n'aie à me demander si je dois tout avaler sans me préoccuper si pour cela je serai récompensé d'une prime substantielle me permettant de multiplier mes gains par deux sans avoir à me fatiguer davantage.

 Ce qui m'excitait le plus c'est que de tout cela il a été fait une compilation en VHS d'une multitude de relations sexuelles buccales et anales avec des clients qui ne se sont pas opposés de figurer dans des scènes où on peut les voir, le visage flouté pour certains qui en ont fait la demande, en train de me sodomiser ou de me laisser volontiers leur tailler une pipe. Cette compilation destinée à tourner en boucle dans la grande entrée servant de salle d'attente pour ma nombreuse clientèle est destinée pour ceux qui en arrivant ne savent pas encore ce qu'ils vont pouvoir exiger de moi pour se vider les couilles de leurs faire découvrir tout ce dont je suis capable pour les satisfaire afin de fidéliser leurs statuts de futurs bons clients. Ainsi en étant perçu au premier abord comme une sorte d'actrice porno pour films destinés aux adultes, ensuite je n'ai aucun mal à me concrétiser comme étant, malgré mon jeune age, une jeune pute dont l'expérience n'est en aucuns cas prête à être contestée.

Aussi pour en arriver à cette forme de perfection tant appréciée de ma clientèle masculine constituée de connaisseurs sachant reconnaître les qualités d'une relation sexuelle qu'elle soit buccale ou anale, mon bienfaiteur m'a fait faire pendant trois jours un stage de remise à niveau dans une très prestigieuse et réputée école de salopes. Ainsi dans cette institution où les cours sont totalement gratuits, où seul l'acquisition de produits de maquillage ainsi que de vêtements, de sous-vêtements et d'accessoires de mode doivent se faire de façon personnelle, ce qui ne pose pas de gros problèmes étant donnés les gains que l'on se fait grâce aux exercices pratiques qui sont rémunérés par les clients qui viennent se vider les couilles dans ce genre de bordel à vocation aussi éducative où dès mon arrivée le premier jour il me fut demandé de me mettre en sous- vêtements afin de vérifier si ceux-ci correspondaient bien à l'image que doit être celle d'une bonne grosse salope. 

Me retrouvant uniquement vêtu de mon string et de ma guêpière ayant aussi pour fonctions de retenir bien en place ma poitrine formée d'une paire de faux seins en silicone autant réaliste visuellement qu'au toucher et aussi de maintenir bien tendus mes fins bas noirs à couture sur mes longues jambes fuselées dont le galbe naturel se trouvait renforcé par le port d'escarpins aux talons de huit centimètres. La salope confirmée qui m'examina me fit remarquer qu'il y avait quelque chose à changer en commençant par me faire remarquer que je n'offrais une poitrine pas assez volumineuse pour correspondre au fantasme des hommes qui rêvent d'une blonde, ce qui correspondait bien à ma perruque, à forte poitrine, aussi elle me proposa une paire d'énormes faux seins que je m'empressa d'échanger à l'intérieur des bonnets de ma guêpière. 

Puis elle me fit remarquer un autre détail que je devrais rectifier en me proposant une merveilleuse paire d'escarpins aux talons vertigineux de douze centimètres qui devraient être plus appropriés à faire fantasmer davantage mes potentiels clients. Après ces rectifications faites avec succès, mon éducatrice me proposa d'essayer différentes tenues destinées à faire de moi une véritable salope. Parmi toutes celles qui me furent proposées, j'en retins deux. La première constituée d'un chemisier en dentelle presque transparente au profond décolleté destiné à mettre en valeur ma toute récente opulente poitrine et d'une mini-jupe en cuir noir moulant parfaitement mes fesses sans trop les découvrir. La seconde, une robe moulante en vinyle rouge dont le décolleté dans le dos descendait jusqu'à la naissance de mes fesses en partie découvertes étant donnée la longueur de cette robe qui ainsi devenait une invitation à la sodomie. C'est cette dernière que je décida d'adopter pour la majorité de mon temps passé à l'école des salopes. 

La dernière chose dont il me fut demandé d'apporter des rectifications fut mon maquillage ne correspondant pas assez à celui que l'on se fait d'une prostituée. Ainsi après avoir adopté un rouge à lèvres plus vif et d'en élargir les contours afin qu'en les rendant plus pulpeuses, elles apparaissent excessivement plus gourmandes et inspirent ainsi à de merveilleuses fellations et d'inoubliables gorges-profondes. Puis ce fut au tour de mes yeux de se parer d'un regard de salope à l'aide d'importantes quantités de mascara et d'eye-liner destiné à les faire ressortir.

Puis après cette mise en condition qui ne pris pas plus d'une heure, la salope en chef m'invita à passer aux choses pratiques en m'invitant à pénétrer dans une grande salle où attendaient une multitude d'hommes en quête d'un vide-couilles. Puis elle me donna l'ordre de montrer ce que je savais faire en taillant une pipe à l'un d'entre eux avant de me laisser volontiers sodomiser par un autre. Une fois cette épreuve réalisée avec succès, elle me fit remarquer que j'avais passé beaucoup trop de temps et que pour être une bonne salope il serait préférable que cela ne me prenne pas plus de trois minutes par passe afin de pouvoir réaliser une vingtaine de relations sexuelles buccales et anales chaque heure et ceci pendant toute une journée pouvant atteindre les douze heures d'affilées. Ayant compris la leçon, pendant tout le reste de ma journée passée à l'école de salopes, j'enchaînais les passes en essayant de respecter à la lettre le temps qui m'était imparti afin de tenter d'approcher mon cota de relations sexuelles à effectuer au cours de la dizaine d'heure qu'il me restait à passer au sein de cette institution. Afin d'atteindre plus facilement cet objectif, en accord avec la salope en chef, je proposais, à la clientèle intéressée, de prendre un client en bouche pendant qu'un ou plusieurs autres me mettaient leur bite dans le cul. 

Durant toute cette première journée, mon initiatrice qui ne manquait pas de m'observer lors de mes prestations sexuelles me félicita du fait que n'utilisant pas de préservatif à chaque fois qu'un homme venait à éjaculer son sperme chaud et abondant dans ma bouche gourmande sans me poser de question je m'empressais de tout avaler, Elle fut aussi également surprise qu'à l'aide d'un bol à large bord, que je lui avais de mettre à la disposition lors de mon arrivée à l'école des salopes, lorsque mon rectum débordait de sperme après plusieurs sodomies j'en évacuais le surplus afin de le laper aussi goulûment l'intégralité du contenu. Ainsi elle me fit remarquer que malgré mon jeune age d'à peine douze ans, je me comportais déjà comme une bonne grosse salope ayant beaucoup plus pratiquée. 

Pour mon deuxième jour à l'école des salopes qui après avoir fait un maquillage de pute et m'habiller comme telle fut entièrement consacré aux pratiques sexuelles buccales et anales pour lesquelles avec succès je pus atteindre l'objectif souhaité de vingt clients satisfaits par heure et ceci sans discontinuer pendant toute une journée de douze heures. 

Puis pour ma dernière nuit passée en tant que pensionnaire dans une chambre mise à ma disposition dans l'école des salopes, ma maîtresse me demanda de m'endormir jusqu'au petit matin avec la bite d'un homme noir bien monté profondément enfichée dans mon anus sans qu'il éprouve le besoin d'y éjaculer. Ainsi à peine réveillés, afin de l'en remercier d'avoir réussi à se retenir toute la nuit, spontanément je le pris en bouche pour lui administrer une merveilleuse fellation afin qu'il puisse enfin éjaculer son sperme chaud et abondant. 

Pour mon dernier et troisième jour de stage je me comportais comme une véritable salope chevronnée qui enchaîna avec succès tout ce qu'on attendait d'elle en tant que pratiques sexuelles qui fut couronné par l'obtention d'un diplôme de salope avec en cadeau un plug anal muni d'un cristal synthétique de couleur rose pale auquel elle ajouta bien naturellement le montant gagné lors de mes trois journées de plus de six cent prestations sexuelles à dix ou vingt francs selon que j'avalais ou lapais le contenu de sperme sortant de mon cul après plusieurs sodomies ce qui devait faire à peu prêt dix mille francs, auxquelles elle retira la somme due pour mes achats à la boutique de l'école des salopes. 

Aussi de retour à l'appartement où pour mon bienfaiteur et protecteur qui organisait mon planning afin que je puisse me prostituer en toute sécurité et surtout en toute discrétion, en lui faisant mon rapport de stage, en plus de lui faire constater les améliorations de mon apparence de jeune pute, je lui fis part que désormais au lieu d'un client toutes les dix minutes je serai en mesure d'en satisfaire un toutes les six minutes et pour lui confirmer cela, vêtu de ma robe moulante rouge en vinyle je l'invita à me sodomiser comme il en avait pris l'habitude de le faire en premier avant de me laisser commencer mon après-midi d'abatage sexuel avec les clients qu'il m'avait sélectionnés. Puis en tant que jeune salope docile et soumise, avec entrain je commençais ma journée de prostitué en multipliant les clients plus vite qu'à mon habitude ce qui imposa à mon bienfaiteur de me trouver par téléphone d'autres clients afin que je puisse bien remplir ma journée sans qu'ils n'y aient de trous, excepté bien sûr les deux miens que je monnayais bien volontiers.

Ainsi durant les mois qui suivirent, je deviens une meilleure gagneuse en doublant parfois les performances sexuelles que j'avais à mes débuts de jeune prostitué. Pour arriver à ce résultat plus qu'honorable, j'étais aidé par la nouvelle façon de me maquiller et surtout par le choix de mes vêtements me faisant davantage apparaître comme étant une bonne grosse salope surtout depuis que j'avais adopté une nouvelle paire de faux seins en silicone plus volumineuse correspondant plus au fantasme de la blonde à forte poitrine que tous les hommes adorent. Tout cela je le devais surtout à mon court stage de trois jours effectué dans une école de salopes où j'appris énormément de choses bien utiles à mon statut de jeune pute.

Aussi, j'étais prête à avaler davantage de bites et donc par conséquence de sperme chaud et abondant venant tapisser mon palais, et aussi d'en avoir plein le cul au point parfois d'avoir des difficultés à m'asseoir ou de me retrouver avec l'anus tout dégoulinant de sperme laissé par plusieurs sodomisateurs successifs. N'est ce pas cela que l'on attend de la part d'une bonne grosse salope quel que soit son age et ses plaisirs pouvant aller jusqu'à l'orgasme lorsqu'elle a des relations sexuelles buccales ou anales avec des clients qu'elle apprécie particulièrement pour les dimensions et aussi les performances de leur sexe ! Bien évidemment en tant que bonne grosse salope désirant donner le change auprès de sa clientèle masculine, il se peut que ses soit disant orgasmes ne soient que simulés afin qu'en flattant les hommes dans leur fierté ces derniers éjaculent en elle avec plus de rapidité.

Ainsi le problème ne se posant plus de savoir si en tant que bonne grosse salope, je devais avaler ou non la totalité du sperme déposé en moi, mon bienfaiteur pris la décision d'inclure systématiquement le montant de cette prestation, qui était déjà demandée par plus de quatre vingt dix pour cent de ma clientèle, dans le prix qu'il demandait à chaque client pour éjaculer librement en moi sans utiliser de préservatif en profitant pleinement de mon corps de jeune pute dont les pratiques sexuelles buccales et anales, ainsi que les tenues provoquantes et le maquillage outrancier n'ont rien à envier aux prostituées plus expérimentées pratiquant des tarifs nettement plus élevés que les vingt francs que désormais je pratique quelle que soit la prestation demandée et le souhait ou non d'avaler intégralement ou bien d'expulser la totalité du sperme déposé en moi.

Arrivant à ne plus passer que six minutes, ce qui était encore loin des trois minutes préconisées par ma maîtresse de stage que j'avais réussi à assurer pendant mes trois jours passés à l'école des salopes, mais qu'afin de ne pas devenir dans le futur une personne amorphe après avoir fait de l'abatage pendant de trop nombreuses années, pour chaque passe sexuelle réalisé avec un client afin qu'il éjacule en moi, mon bienfaiteur fut agréablement confronté avec le problème qu'il me faudrait huit clients de plus les jours de semaine où je faisais la pute seulement de dix sept à dix neuf heures, et une vingtaine de clients supplémentaire pour les après-midi des week-ends et des périodes de vacances scolaires où j'étais très heureuse de pouvoir tailler des pipes et me laisser volontiers enculer sans discontinuer de quatorze à dix neuf heures. Pour cela il pouvait compter sur le fait que sur mon curriculum vitae il pouvait désormais faire figurer à côté de mon jeune age que j'étais fraîchement diplômé d'une prestigieuse école de salopes dont la renommé est une référence en la matière où j'ai appris à maîtriser tout ce qui concerne les relations sexuelles buccales et anales avec ma fidèle ou nouvelle clientèle.

Ainsi en confirmant de ne plus vouloir consacrer plus de six minutes avec chaque client désirant se faire tailler une pipe ou bien m'enculer, mon bienfaiteur dut réorganiser mon planning et la liste des réservations s'y rapportant afin de les rendre plus compatibles de façon optimale avec mes désirs en sachant et en prenant compte toutefois que s'il m'arrivait de déborder j'aurai toujours la possibilité de rattraper le temps ainsi perdu en proposant à deux clients en attente d'avoir avec moi une relation sexuelle buccale et anale simultanément. Ce que certains clients appréciaient le plus particulièrement mais n'osaient pas demander, pas plus que d'avoir recours à des pénétrations multiples anales. Mais quoi qu'il en soit, ils étaient tous demandeurs de pouvoir se vider les couilles sans utiliser de préservatif dans la bouche extrêmement gourmande ou entre les fesses volontiers accueillantes d'une très jeune pute qui de plus, chose non négligeable, avait réussi avec succès son concours de fin de stage dans une prestigieuse école de salopes où elle avait passé trois jours pendant douze heures d'affilées à satisfaire plus de six cent clients tous abonnés à ce genre d'établissement où pour leur bonheur les apprenties salopes se renouvellent tous les trois jours.

Aussi afin de satisfaire sexuellement la diversité de cette clientèle, je devais me métamorphoser soit en pute, soit en salope ou les deux simultanément. Au premier abord mes clients qui venaient chercher en moi un excellent vide-couilles afin d'avoir une relation sexuelle buccale ou anale leur permettant de déposer leur sperme chaud et abondant, trouvaient ainsi une très jeune pute. Puis au deuxième abord cette dernière se transformait en parfaite grosse salope qui se délectait du sperme qu'elle avait la possibilité d'avaler directement lors d'une merveilleuse fellation ou d'une inoubliable gorge-profonde réalisée sans préservatif, ou par l'intermédiaire d'un bol, placé sous mes fesses pour recueillir le sperme s'écoulant de mon anus après une sodomie, dont je devais laper l'intégralité du contenu.

Quant à savoir si je devais être qualifié de pute ou de salope, pour moi la question ne se pose pas car en vendant mon corps à des hommes afin qu'ils puissent y éjaculer librement leur sperme chaud et abondant, indéniablement, malgré mon très jeune age, je me comportais bien comme une petite pute, qui de plus en utilisant pas de préservatif,  ayant la possibilité de tout avaler, de toute évidence je devenais une parfaite grosse salope. En conclusion de ces deux évidences, afin de mettre tout le monde d'accord, j'accepte volontiers d'être traité et considéré comme étant une très jeune et grosse salope qui aime faire la pute, ou bien telle une très jeune pute qui adore se comporter comme une grosse salope afin de ne pas déplaire à sa clientèle. Aussi quoi qu'il en soit et quoi qu'on puisse tout naturellement en penser ces deux qualificatifs qui de toute évidence demeurent indissociables de la personne que je suis me vont aussi bien l'un que l'autre car ils correspondent tous les deux à mon comportement et à mes activités sexuelles.

 Ainsi quel que soit le qualificatif que l'on m'attribue, je reste toujours aux yeux des hommes qui sont aussi mes clients potentiels une pute que l'on rétribue afin d'avoir des relations sexuelles avec elle où dans ce cas ils apprécient que je me comporte comme une bonne grosse salope afin de satisfaire tous leurs besoins et phantasmes sexuels.

Par gwladys - Publié dans : gwladys - Communauté : gwladys travesti 60 ans
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Dimanche 18 septembre 7 18 /09 /Sep 19:21

Avaler du sperme : tout savoir sur l'éjaculation buccale

On entend souvent des fausses idées sur l'éjaculation buccale et sur le fait d'avaler du sperme. Cette pratique, qui n'est pas dangereuse, peut en effet intriguer au premier abord. Peut-on en avaler du sperme, et si oui, quels sont ses effets et quel goût a-t-il ?

Qu'est-ce que le sperme ?

Le sperme est le liquide visqueux qui est expulsé du pénis lors de l'éjaculation masculine. Cette dernière peut être due à une stimulation manuelle comme la masturbation, une fellation ou encore une pénétration. Le sperme est sécrété par les organes sexuels reproducteurs masculins avant d'être stocké dans les testicules.

C'est dans ce liquide, produit par l'homme dès la puberté, que sont contenus les spermatozoïdes, qui servent à fertiliser l'ovocyte de la femme. Le sperme est composé majoritairement d'eau, de spermatozoïdes (qui ne représentent cependant que un pour cent de la composition), mais aussi d'hormones, de neurotransmetteurs ou encore d'endorphines. Enfin, le sperme contient un certain nombre de nutriments bénéfiques à l'organisme. 

Peut-on avaler du sperme ?

Il n'y a à priori aucun danger à avaler du sperme, à la suite d'une éjaculation. Cette pratique, nommée l'éjaculation buccale, consiste pour l'homme à éjaculer dans la bouche de son ou sa partenaire, avant qu'il ou elle n'avale le sperme.

Cela peut être à la suite d'une fellation ou d'une masturbation. Il faut toutefois avoir à l'esprit que comme le sang, le sperme est l'un des liquides qui permet la transmission des maladies et infections sexuellement transmissibles comme le sida ou la syphilis. L'unique moyen de se protéger de ces infections reste le préservatif. Ainsi, si vous n'êtes pas certain(e) de la situation de votre partenaire concernant son dépistage, protégez-vous. De même, assurez-vous de sa bonne hygiène : le sperme peut également transmettre des virus comme l'herpès. 

Le sperme a-t-il des effets sur la santé ?

Le sperme est un liquide à la valeur nutritive intéressante pour la santé. En effet, il contient plusieurs nutriments bénéfiques pour l'organisme. Pour bénéficier de ces qualités nutritives, il est possible d'avaler du sperme lors d'un rapport sexuel, action que l'on appelle la séminophagie.

Le sperme contient notamment de la vitamine C et B12, ainsi que des protéines aux propriétés anti bactériennes. Il est aussi riche en minéraux comme le potassium ou le magnésium. Les proportions de ces éléments nutritifs évoluent cependant en fonction de l'âge et de l'état de santé de l'individu et de son sperme. 

Quel est le goût du sperme ?

Le goût et l'odeur du sperme sont influencés par l'alimentation. Ainsi, certains fruits comme l'orange ou le pamplemousse, et certaines plantes comme la menthe peuvent modifier légèrement sa saveur. De même, les produits d'origine animale (viande, lait, oeufs, etc.) augmentent son acidité et lui donnent une odeur plus forte.

Il demeure cependant difficile de définir précisément le goût du sperme. Certains diront qu'ils le trouvent légèrement salé, à l'instar de la transpiration, d'autres plutôt acide. Globalement, le sperme n'a pas un goût très marqué, et la quantité avalée lors d'une éjaculation buccale est moindre, ce qui augmente la difficulté pour définir une saveur particulière. 

Comment se déroule une éjaculation buccale ?

L'éjaculation se passe en plusieurs temps. Lorsque l'orgasme arrive, l'homme le sent en lui et atteint ce que l'on appelle le point de non-retour : l'éjaculation est imminente et irréversible. Le sperme est alors expulsé par saccade, en plusieurs petits jets, qui sont accompagnés de contractions pour l'homme. Ces jets contiennent entre zéro cinq et un millilitre de sperme.

La quantité est donc relativement faible, et dans le cadre d'une éjaculation buccale, il n'est donc pas possible d'en avoir "trop" dans la bouche. En effet, la quantité moyenne de sperme éjectée après deux ou trois jours d'abstinence (c'est-à-dire sans aucune éjaculation) est de deux à cinq millilitres (cette quantité diminue cependant avec l'âge ou à cause de certaines pathologies). Concernant la consistance, le sperme est un liquide visqueux et collant. En cas d'éjaculation fréquente, il devient cependant plus liquide et moins opaque. 

Qui sont celles et ceux qui avalent volontiers le sperme et pourquoi ?

Parmi les plus courants, il y a les homosexuels masculins qui n'hésitent pas à prendre de gros risques avec la possibilité de contracter une maladie sexuellement transmissible telle que le sida ou la syphilis, en se taillant mutuellement des pipes, très souvent en position de soixante neuf, en trouvant ca aussi naturel que de s'enculer les uns à la suite des autres.

Viennent ensuite les très jeunes putes, c'est à dire des filles et des garçons venant juste d'avoir à peine plus de dix ans, qui par soumission totale envers leurs clients, se délectent aussi de leur sperme, tout comme elles sucent des bonbons ou des sucettes ou dégustent des sodas, en y prenant autant de plaisir que lorsqu'elles se laissent remplir l'anus de sperme chaud et abondant.

Il y a aussi les prostituées plus âgées et aussi plus expérimentées qui monnayent cette faveur en demandant à leur clientèle de contribuer à un supplément substantiel de tarifs en ayant qu'un seul objectif qui est de remplir leur tiroir-caisse sans se soucier des conséquences, parfois désastreuses, que cela peuvent avoir pour elles.

Enfin celles qui pratiquent le moins les fellations et les gorges-profondes sont les épouses ou les petites amies qui se refusent généralement à avaler le sperme, sauf exceptions qui confirment cette statistique, en avalant volontiers le sperme de leur compagnon afin de leurs exprimer tout leur amour, ce qui dans le cas contraire fait que leurs compagnons se retournent souvent vers de très jeunes putes ou des prostituées plus âgées auxquelles ils peuvent tous demander.

Ainsi quoi qu'il en soit, ce qui croyait-on était principalement réservé aux bonnes grosses salopes, qui méritent bien ce qualificatif même si elles s'habillent en réalité en taille trente huit, en particulier celles qui en font leur profession en tournant dans une multitude de films porno,  est devenue une attitude jugée parfaitement normale pour beaucoup de femmes, et aussi d'hommes, qui par contre cachent leurs penchants et leurs goûts à leur entourage tout en avalant en cachette sans aucune contrainte d'importantes quantités de sperme au quotidien.

Par gwladys - Publié dans : gwladys - Communauté : gwladys travesti 60 ans
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Mercredi 7 septembre 3 07 /09 /Sep 18:55

Après avoir été recrutée, dès l'age de dix ans, par un homme que je considérais comme étant mon bienfaiteur, afin que je me prostitue pour lui en ayant avec de nombreux hommes de multiples relations sexuelles buccales et anales consenties toutes les fins d'après-midi en semaine de dix sept heures à dix neuf heures où j'arrivais à me faire une douzaine de clients, ainsi que le week-end et les pendant les vacances scolaires de quatorze heures à dix neuf heures où là c'est une trentaine d'hommes que je devais sexuellement satisfaire sans utiliser de préservatif et en avalant ainsi la totalité de leur sperme chaud et abondant, il était devenue tant pour moi de passer à autre chose car après ces années passées à jouer le rôle de la très jeune fille taillant des pipes et se laissant enculer pour seulement dix francs la passe, qui étaient doublés si je consentais à avaler en faisant une fellation ou une gorge-profonde, ou à boire l'intégralité du sperme mêlé de lubrifiant intime et de trace de matière fécale, expulsé de mon cul dans un bol après une sodomie.

Ainsi ayant dépassé quinze ans, age pour lequel la clientèle désirant éjaculer dans de plus jeunes vides-couilles, pouvait ne plus désirer avoir recours à mes services, d'un commun accord avec mon protecteur, nous avons décidé de nous séparer en mettant ainsi fin à notre longue collaboration en lui proposant d'être remplacée par mon petit frère de onze ans qui était très intéressé, depuis que j'avais bien été forcée de lui révéler d'où provenaient les importantes sommes d'argent dont je disposais en me montrant sexuellement très gentille avec de nombreux hommes.

C'est ainsi que mon petit frère éprouva l'envie de se lancer dans la même carrière que moi quelques années plus tard en bénéficiant toutefois de mon expérience et du stock de vêtements et de sous-vêtements n'étant plus à ma taille dont il pourra profiter. 

En étant coiffé, maquillé et habillé comme une splendide adolescente qui n'ayant pas froid aux yeux au point d'accepter d'avoir avec de nombreux hommes de multiples relations sexuelles buccales et anales, c'est là que mon petit frère fit avec succès ses débuts dans la prostitution enfantine en devenant comme moi pratiquement au même age une très jeune pute for appréciée des hommes malgrè qu'au départ elle éprouva quelques difficultés à avaler le sperme, mais ceci ne dura pas bien longtemps au point que même si elle ne recevait pas de supplément pour cela, plus tard par goût elle s'en délectait de la même façon qu'elle appréciait volontiers de se laisser enculer en devenant pour son bienfaiteur celle qui allait pouvoir pendant quelques années satisfaire sexuellement sa clientèle appréciant les très jeunes vides-couilles qui ne se posent pas de questions sur ce qui pour elles est moralement et physiquement acceptable. .

C'est ainsi que vers seize, en trichant toutefois sur mon age réel, que je fis ma première inscription au sein d'une agence d'escort-girl, où là étant donné mon jeune age et malgré que je ne sois pas une vraie femme, je réussis à me faire une fidèle clientèle bien différente de celle que j'avais connu précédemment. En effet il n'est plus question de multiplier les passes, mais de me montrer extrêmement gentille avec des hommes en étant toujours bien coiffée, bien maquillée et bien habillée comme une splendide jeune femme à la fois élégante et sensuelle avec laquelle on peut se montrer bien accompagné pour aller au restaurant ou sortir pour aller voir un spectacle ou bien encore faire du shoping parfois coquin.

Bien évidement, tout cela a une finalité qui est que de retour dans une chambre d'hôtel, réservée par mon client, après avoir essayé des tenues coquines achetées précédemment, je ne peux pas faire autrement que de consentir à offrir soit ma bouche extrêmement gourmande cernée de ses lèvres pulpeuses abondamment maculées de rouge intense, ou soit mon petit orifice intime, et toujours néanmoins resserré malgré les nombreuses bites qui ont déjà été invitées à lui forcer les sphincters, situé entre mes grosses fesses volontiers accueillantes et rebondies, afin d'exécuter une merveilleuse fellation ou une inoubliable gorge-profonde, ou bien alors de me laisser sodomiser tout en profondeur, jusqu'à la complète éjaculation en moi de puissants jets de sperme chaud et abondant en toute liberté sans utiliser de préservatif.

Bien sûr mes tarifs sont différents selon qu'il s'agit de faire uniquement acte de présence pour une sortie ou avoir une ou plusieurs relations sexuelles avec un homme pour lequel je peux me vendre pour quelques heures, ou bien davantage comme passer avec lui toute une nuit ou un week-end.

Ainsi il n'est pas rare que je me retrouve dans une chambre d'hôtel dans le même lit avec un homme pour y passer une ou plusieurs nuits d'affilées afin de tenter de nous reposer jusqu'au petit matin. Pour cela étant vêtue d'une simple nuisette passée par- dessus un soutien-gorge dont les bonnets enveloppants sont indispensables à la bonne tenue en place de mon opulente poitrine constituée d'une paire d'énormes faux seins en silicone autant réalistes visuellement qu'au toucher, je me prépare à avoir une relation sexuelle buccale et anale avant de nous endormir serres l'un contre l'autre comme par exemple en ayant la bite de mon client profondément enfoncée au fin fond de mon anus où tout en dormant, je peux bénéficier au cours de la nuit de plusieurs éjaculations de sperme sans que cela ne me réveille. Ainsi au petit matin, à mon réveil, je me retrouve avec le trou du cul dégoulinant de sperme ce qui m'impose d'aller me soulager en allant aux WC avant de m'introduire dans l'anus un tampon périodique de taille maxi afin d'éviter tous débordements. Puis, je me recouche avec mon client et après lui avoir nettoyé la bite et lui tailler une ultime pipe, d'un commun accord, il ne me reste plus qu'à appeler le home service afin de commander un petit déjeuner réconfortant et bien mérité avant de nous quitter où lui devra régler les frais d'hôtel et bien sûr aussi de me payer pour mes prestations sexuelles et autres, car contrairement à certaines consoeurs qui se prostituent comme moi, je ne fais jamais payer un client par avance, car c'est une question de confiance entre nous et peut-être parce que j'ai toujours eu la chance de jamais me retrouver avec un mauvais payeur qui conteste mes tarifs bien qu'annoncés au préalable.

De la même manière quand un client me demande si je suis partante pour avoir des relations sexuelles avec plusieurs hommes, bien que je multiplie mes tarifs par autant, en étant toujours méfiante, avant d'accepter, je m'assure qu'au moins un de ces derniers a déjà eut affaire avec moi sans me poser le moindre problème. Ainsi je peux me retrouver dans une chambre d'hôtel en train de sucer un homme pendant qu'un autre, voire même deux et parfois trois qui m'enculent. Puis au cours de la nuit, afin d'éjaculer à nouveau en moi, ils échangent leurs places afin d'avoir tous profité de ma bouche toujours aussi gourmande et de mon cul particulièrement accueillant que certains veulent immortaliser en faisant des photos ou un petit film, où pour que je leurs en donne l'autorisation ils doivent s'acquitter d'un petit supplément.

Quoi qu'il en soit en acceptant d'avoir des relations sexuelles avec au maximum quatre clients cela multiplie pour autant les quantités de sperme que je dois avaler et expulser de mon anus, ce qui dans le fond me rappelle un peu, mais avec nettement moins de sperme en moi, les instants où je me prostituais à la chaîne en jouant parfaitement un rôle de très jeune pute à qui on pouvait demander n'importe quoi tellement j'étais docile et soumise à la condition de ne pas passer plus de dix minutes au maximum avec chaque client, chose qui en tant qu'escort-girl est bien différent pour un rendement au point de vue financier largement supérieur.

Ainsi, je me refuse à accepter des rendez-vous avec plus de quatre hommes simultanément, sauf pour des enterrements de vie de garçon et des événements beaucoup plus festifs comme par exemple des fêtes d'anniversaire ou des départs en retraite pendant lesquels tous les participants ne sont pas forcement demandeurs de relations sexuelles buccales ou anales avec lesquelles je peux être contrainte à avaler de grandes quantités de sperme, et d'être obligée à aller me soulager à plusieurs reprises en allant au WC pour éliminer le sperme accumulé dans mon rectum, et aussi entre deux séances de sodomies de m'introduire dans l'anus un tampon périodique de taille maxi afin d'absorber les surplus de sperme qui pourraient en dégouliner.

En revanche quand je n'arrive pas à trouver un homme ou des hommes avec lesquels passer une nuit ou un week-end, pour arrondir les fins de mois et faire bouillir la marmite, je me contente de passer à la casserole jusqu'à quatre fois par jour en vendant mes charmes pour de faibles durées d'environ une heure, après lesquelles, pour des questions d'hygiène, surtout éventuellement lorsque je me suis faite volontiers sodomiser, je me fais un lavement et prends une douche, pour ainsi être toute fraîche avant de passer au client suivant. En ce qui concerne les fellations, je me contente de sucer un bonbon à la menthe intense afin de retrouver une haleine me permettant d'accueillir un client en l'embrassant à pleine bouche sans qu'il n'ait à se rendre compte que précédemment j'avais avalé intégralement le sperme chaud et abondant de son prédécesseur.

À ce propos il y a des clients que cela ne dérange surtout pas, bien au contraire, ce sont en particulier des hommes que je reçois en petits groupes de trois ou quatre personnes qui prennent énormément de plaisir à mettre leurs bites dans ma bouche extrêmement gourmande cernée de ses lèvres pulpeuses abondamment maculées de rouge intense alors que je n'ai pas encore fini d'avaler tout le sperme du client précédant à qui je viens tout juste de tailler une pipe. Il en est de même pour ceux qui se réjouissent de mettre leurs bites dans mon anus excessivement accueillant en nageant dans les flots de sperme laissés par les autres clients qui les ont précédé, ce qui dans le fond peut éviter grâce à cette lubrification naturelle d'employer un gel intime.

D'autres, plus extrêmes, adorent me rouler une pelle alors qu'ils viennent tout juste d'éjaculer dans ma bouche, ou me lécher l'anus pour essayer d'y recueillir le maximum de sperme qui en suinte en le lapant avec la plus grande gourmandise.

Ainsi en étant devenue escort-girl en sachant que je dois avoir affaire à tout un échantillonnage de perversions les plus diverses et aussi étranges les unes que les autres, je m'assure néanmoins un train de vie plus que confortable en me trouvant invitée dans les meilleurs restaurants et les plus grands hôtels. Bien sûr tout cela a un prix mais pour mériter les nombreux cadeaux que mes clients me font, je dois accepter de leurs sucer la bite, même si ces derniers tardent à éjaculer, mais comme je ne suis plus aux pièces comme je l'étais à l'époque où étant une très jeune pute en ne pouvant leurs accorder au maximum que dix minutes, désormais j'ai tout mon temps sachant qu'en final tout le sperme que je ne tarderais pas à avaler fera l'objet d'une récompense bien méritée. Il en est de même lorsque je me laisse volontiers sodomiser et que je ne peux pas imaginer par avance les dimensions du sexe qui va me forcer les sphincters. Ainsi lorsque l'agence d'escort-girl, où je suis inscrite, m'envoie un homme particulièrement bien monté, en général un africain, je ne peux pas refuser qu'il me défonce l'anus car dans le cas contraire cela pourrait être perçu comme étant une rupture de contrat qui aurait pour effet immédiat de mettre fin toute relation avec l'agence d'escort-girl avec laquelle j'ai pris l'habitude de collaborer en lui reversant une partie de mes gains à titre de commissions.

Aussi en étant contrainte à satisfaire sexuellement tous les clients je peux parfois me retrouver rarement dans la situation de la fille qui est prise de vomissement après une fellation ou une gorge-profonde. De même qu'après une ou plusieurs sodomies, qui peuvent se concrétiser comme ressentir comme des micro-lavements dus à l'affût de sperme, il peut m'arriver d'avoir subitement une envie de déféquer.

Ainsi en ayant choisi la vie d'escort-girl, j'avoue que je dois tout au sperme aussi bien dans les moments qui s'avèrent difficiles que dans ceux qui sont heureux où je me délecte d'avoir la chance, par goût, de pouvoir avaler de grandes quantités de sperme extrêmement riche en protéine, ce qui n'est pas mauvais pour ma santé, voire même très bon, dont la saveur à chaque fois différente peut aller du légèrement sucré au fortement salé, de même que je suis aux anges à chaque fois que je ressens des jets de sperme chaud et abondant envahir mes intestins en s'y dispersant. En conclusion ne ressentant aucun sentiment de culpabilité, pas plus que de trouver dégradant ni déshonorant le fait de tailler des pipes et de me faire enculer pour vivre, avec bonheur et aisance, je ne le regrette pas et je souhaite pouvoir exercer le plus longtemps possible mon activité d'escort-girl.

Par gwladys - Publié dans : gwladys - Communauté : gwladys travesti 60 ans
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Lundi 22 août 1 22 /08 /Août 10:20

Bien souvent quand on parle de très jeunes putes on pense d'abord à des femmes, ou parfois des hommes qui se travestissent qui ont tout juste atteint la majorité, mais qui sont en réalité uniquement de jeunes putes.

Les très jeunes putes sont en réalité de jeunes enfants, filles ou garçons, qui parfois ont à peine plus de dix ans, qui se prostituent par choix de gagner d'importantes sommes d'argent facilement sans trop se fatiguer, ou parce qu'elles en sont contraintes par des hommes qui leurs prélèvent d'importantes commissions sur ce qu'elles leurs rapportent en ayant de multiples relations sexuelles de préférences buccales et anales avec de nombreux hommes.


Aussi avec leur jeune age et parfois leur naïveté, il est très facile de leurs faire avaler n'importe quoi, en particulier en leur affirmant que le sperme n'est pas mauvais pour la santé, ce qui n'est pas faux car étant très riche en protéines, ce qui justifie de pouvoir en avaler d'importantes quantités durant les fellations et les gorges profondes faites sans utiliser de préservatif. Il en est de même après les sodomies, où à la demande d'hommes particulièrement pervers, les très jeunes putes doivent expulser les surplus de sperme s'écoulant de leur anus dans un bol dont elles doivent ensuite laper tout le contenu jusqu'à la dernière goutte.


Ainsi ces très jeunes putes sont appréciées par des hommes sous différentes motivations dont la première est bien souvent qu'elles acceptent d'avoir des relations sexuelles à des tarifs moindres que ceux de leurs aînées, et en plus ce qui n'est pas négligeable en se passant, par goût du sperme, d'utiliser des préservatifs. 

Mais il n'y a pas que cela qui les motive car beaucoup ne se montre pas indifférents à l'étroitesse de leurs bouches ou à leurs rectums aux sphincters nettement plus resserrés que ceux des vielles prostituées qui ont déjà été explorés et défoncés par une multitude de sexes, ce qui ainsi en leur resserrant davantage le sexe leur procurent de plus extrêmes jouissances.

D'autres apprécient surtout qu'avec leur jeune age les très jeunes putes se montrent soumises à toutes leurs demandes, même parfois les plus étonnantes, afin de les satisfaire pleinement en fidélisant leur clientèle.


Vers douze ans les très jeunes putes afin de séduire leurs clients se maquillent comme les prostituées beaucoup plus âgées, en particulier leurs contours des yeux, et surtout leur bouche gourmande dont les lèvres pulpeuses sont mises en valeur par une importante quantité de rouge intense sur leurs lèvres pulpeuses destinées à donner des envies de fellations et de gorges profondes, qu'elles doivent souvent renouveler. 

De même elles portent des dessus chics et sexy, tels des minijupes et des chemisiers aux décolletés pigeonnants sur des dessous chocs et provocateurs tels que des ensembles soutien-gorge, string et porte-jarretelles destiné à maintenir bien alignés sur leurs longues jambes fuselées de fins bas noirs à couture qui contribuent avec des escarpins aux talons de huit centimètres ou même davantage à en renforcer le galbe naturel. Ce qui inévitablement donne aux admirateurs de jeunes fesses bien mises en valeur, des envies de sodomies, parfois réalisées, si la très jeune pute est consentante, en doubles, voire en triples pénétrations.

Ainsi parfois afin d'exciter davantage leurs clients elles acceptent aussi de se faire enculer en même temps qu'elles taillent une pipe en prenant soin de tout avaler et de ne pas se vider l'anus afin que les différents sodomisateurs qui se succèdent dans leur cul nagent dans le sperme et ainsi ne nécessite pas de lubrification intime supplémentaire.

Pour ce qui est des très jeunes filles elles peuvent aussi accepter en supplément d'accueillir une autre bite dans leur vagin afin de satisfaire trois clients simultanément pas uniquement par soucis de rentabilité mais aussi surtout pour le plaisir que cela leur procure.


Certains clients des très jeunes putes le sont aussi car ayant une petite bite, pas bien longue mais surtout étroite, ils peuvent plus aisément les satisfaire par la bouche ou l'anus alors qu'avec de vieilles prostituées celles-ci n'en ressentent pas grand plaisir.

D'autres au contraire sont dotés par la nature de bites surdimentionnées et se moquent bien de provoquer de graves lésions, surtout anales même en utilisant de grandes quantités de lubrifiant intime, aux très jeunes putes en partant du principe qu'elles sont payées pour cela et que c'est le risque du métier alors elles n'ont pas à s'en plaindre.

En revanche, d'autres hommes en majorité beaucoup plus compatissant s'inquiètent en demandant aux très jeunes putes s'ils ne leurs font pas trop mal afin de ralentir la cadence ou de faire une pause et surtout d'y aller plus progressivement en matière de profondeur de pénétration.


Ainsi les très jeunes putes se refusant, afin de faire plaisir à leur clientèle, d'utiliser des préservatifs pour leurs relations sexuelles buccales et anales encourent des risques de contracter une maladie sexuellement transmissible telle que le sida ou la syphilis. Il y a pourtant une exception en ce qui concerne les très jeunes filles qui par crainte de se retrouver prématurément enceintes n'utilisent des préservatifs que pour les relations sexuelles vaginales avant d'être en âge de se faire prescrire la pilule contraceptive ce qui leur permettra, vers quatorze ans, de pouvoir se passer de préservatif. 


Ainsi avec les très jeunes putes les clients sont assurés de trouver d'excellents vide- couilles leur permettant avec qui ils peuvent se permettre ce que leurs petites amies ou leurs épouses se refusent sexuellement à accomplir même en utilisant des préservatifs, car elles ne veulent surtout pas entendre parler de sodomies et de fellations pas plus que de gorges-profondes, et de plus comme elles n'acceptent de faire l'amour qu'en position du missionnaire en utilisant un préservatif car elles ne veulent surtout pas tomber enceinte ou prendre la pilule qui d'après elles, pourrait les faire grossir, alors il devient tout à fait compréhensible que pour se dégorger le poireau certains hommes aient recours aux services de très jeunes putes qui ne posent pas de questions. Il en est de même pour les hommes célibataires qui veulent rompre avec l'habitude de la veuve poignet en allant se farcir une très jeune pute.


Pour trouver une très jeune pute, rien de plus facile, il suffit de se rendre sur des sites internet spécialisés en principe réservé aux adultes pour y rencontrer afin d'avoir des relations sexuelles buccales ou anales de très jeunes enfants prêts à tout faire avec des hommes pour se faire beaucoup d'argent de poche sans avoir à se fatiguer tout en prenant énormément de plaisir.


Ainsi ces très jeunes putes des deux sexes pour la plupart exercent au domicile familial en l'absence de leurs parents lorsque ceux-ci sont au travail. Pour racoler leur clientèle elles utilisent des sites internet ou des applications confidentielles spécialisées sur le smart phone qui leur a été offert par leurs parents lorsqu'elles sont rentrées au collège. D'autres, parfois plus expérimentées se retrouvent sous la coupe d'un souteneur qui moyennant une commission sur leurs passes sexuelles buccales et anales et parfois aussi vaginales pour ce qui est des vraies filles, se charge de leurs trouver une importante clientèle tout en leur offrant une chambre, que bien souvent elles doivent partager avec une consoeur, située dans un appartement ou un pavillon facile d'accès.


Malgré qu'elles soient très avides et très demanderesses d'importantes quantités de sperme chaud et abondant lorsqu'elles taillent des pipes ou se laissent volontiers enculer, les très jeunes putes ont encore gardées leur âme d'enfant ce qui dès qu'une occasion se présente les incite à avoir des envies de jouer. Bien évidement, il ne s'agit pas de jouer à la poupée ou à la marchande car les seules marchandises qu'elles ont à monnayer sont de toutes évidences leurs bouches extrêmement gourmandes entourées de lèvres pulpeuses maculées de rouge intense, et leurs culs, voire leurs vagins accueillants afin que leurs clients puissent y éjaculer leur sperme en toute liberté sans utiliser de préservatif, tout en prenant la précaution en ce qui s'agit les vraies filles de se faire prescrire une pilule contraceptive afin de ne pas prendre le risque de se retrouver enceinte.

Ainsi se retrouvant ensemble, une demi-douzaine de très jeunes putes, elles peuvent se livrer avec simultanément autant de clients, voire même davantage, à des jeux à connotations sexuelles tel que la roulette sénégalaise dont la règle du jeu est très simple car il suffit que les très jeunes putes se trouvent alignées les unes à côté des autres en se positionnant de dos à quatre pattes ou en prenant la position de l'autruche afin qu'en offrant leur cul accueillant aux futurs éventuels sodomisateurs elles puissent se laisser enculer jusqu'à temps que ces derniers y éjaculent en toute liberté leurs flots de sperme chaud et abondant. Pour cela ils ne disposent que de dix secondes après lesquelles ils doivent changer de partenaire, et ainsi de suite jusqu'au moment où ayant tiré leur coup ils se trouvent hors compétition. Le gagnant est celui le plus endurant c'est à dire celui qui a sodomisé le plus de très jeunes putes avant de décharger à son tour. La gagnante est la très jeune pute qui a reçu le plus d'éjaculations et qui se voit offrir en tant que récompense d'avoir le privilège de laper le sperme de tous les bols ayant servis à recueillir le sperme dégoulinant de tous les anus des différentes concurrentes et émis par les différents sodomisateurs.

En plus de cette variante anale il existe aussi une version buccale où les règles du jeu sont pratiquement les même où là les très jeunes putes doivent se présenter de face à genoux pour offrir leurs bouches extrêmement gourmandes afin de pouvoir y accueillir toutes les bites se présentant à elles pour y éjaculer d'importants flots de sperme chaud et abondant. Le gagnant et la gagnante sont déterminés de la même façon après de nombreuses périodes successives où les bites passent dans les bouches des très jeunes putes. La seule différence est la récompense de la gagnante qui comme les autres a été bien obligée d'avaler de grandes quantités de sperme, aussi elle se voit attribuer pour une période allant de trois jours à une semaine le droit de pouvoir laper tout le sperme issu du cul des autres très jeunes putes, qui se sont laissées sodomiser, récolté dans des bols.


Parmi les jeux à connotations sexuelles il y a aussi la brouette de Zanzibar ou brouette thaïlandaise qui consiste à faire la course par couple dont la très jeune pute se déplace uniquement sur les mains alors qu'un homme se tient debout derrière elle en la tenant par les jambes et surtout en ayant son sexe profondément enfoncé dans son rectum. La compétition se dispute généralement en effectuant de trois à cinq tours autours d'une table où le couple gagnant est celui qui franchit en premier la ligne d'arrivée sans avoir été désaccouplé. Pour ce qui est des gains du couple vainqueur, il est laissé libre de choix provenant de toutes imaginations.


Lorsqu'elles se retrouvent entres-elles ou en compagnie d'hommes pouvant être excités sexuellement à contempler ces très jeunes putes en train de se livrer à des plaisirs solitaires, parfois elles font un concours afin de savoir laquelle d'entre elles à l'anus le plus dilaté afin de pouvoir recevoir sans utiliser de lubrifiant intime n'importe quelles bites de n'importe quelles grosseurs, en particulier celles d'africains, sans que cela ne leur pose de problèmes. Pour cela elles se sont procurée toute une collection de godemichés allant du plus mince au plus épais afin de déterminer celle qui en ressortira victorieuse de ce défit destiné à les rassurer tout en donnant aux spectateurs des envies d'avoir avec elles des relations sexuelles buccales et de préférence anales.

Ce genre de concours destiné à déterminer laquelle des très jeunes putes avait la capacité d'accueillir de très grosses bites, se faisait aussi pour en connaître aussi les limites aussi bien au point de vu anal que buccal. En général, c'est au point de vu anal que certaines très jeunes putes pouvaient accepter dans leurs entrailles des très grosses bites, jusqu'à six centimètres ou même parfois plus de diamètre d'une longueur pouvant parfois dépasser les vingt cinq centimètres, Par contre en ce qui concerne leurs bouches, afin de ne pas prendre de risque de s'étouffer, elles devaient raisonnablement se limiter à une longueur d'une vingtaine de centimètres, ce qui est déjà pas mal même pour une gorge-profonde.


Ainsi aux seins de ces mini bordels accueillants seulement une demi-douzaine de très jeunes putes qui en tant que pensionnaires se relaient tout au long de la semaine, lorsqu'elles n'ont pas cours au collège, mais aussi les week-ends et pendant les vacances scolaires où là au lieu de faire acte de présence obligatoire pendant deux heures en fin d'après-midi, elles passent entièrement tous leurs après-midi, pendant plus de cinq heures d'affilées à tailler des pipes et à se faire enculer sans aucun ménagement d'aucune sorte que se soit par une clientèle aimant la chair fraîche qui de son plein gré accepte volontiers d'avoir des relations sexuelles buccales et anales sans utiliser de préservatif.

Par gwladys - Publié dans : gwladys - Communauté : gwladys travesti 60 ans
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Vendredi 5 août 5 05 /08 /Août 11:02

Depuis tout le temps où mon bienfaiteur m'a installée dans un appartement me permettant de faire la pute en toute sécurité malgré mon tout jeune age d'un peu plus de dix ans, pour toutes les fins d'après-midi de dix sept à dix neuf heures en semaine où je devais satisfaire sexuellement au moins dix clients et tous mes samedis et dimanches après-midi de quatorze à dix neuf heures, de même que pendant les vacances scolaires où là je devais me montrer disponible pour servir de vide-couilles à au moins deux douzaines de mâles excités. Ainsi lorsque je venais de mon plein gré soulager sexuellement en leurs suçant la bite ou en me laissant enculer par des hommes bien montés qu'il m'avait sélectionné, d'un accord commun il devait toujours être le premier à pouvoir éjaculer son sperme chaud et abondant au fin fond de mon rectum, puis après cela je devais lui sucer la bite afin de faire disparaître toutes traces de sperme mélangées au lubrifiant intime utilisé pour m'enculer, ainsi que toutes particules de sécrétions anales c'est à dire d'excrément.

 

C'est seulement après cela que j'avais le droit d'offrir mon cul à mes nombreux amants sodomisateurs. Ainsi lorsque mes premiers clients se présentaient avant qu'il ne soit arrivé, je n'étais autorisé qu'à leurs prodiguer de merveilleuses fellations et d'inoubliables gorges profondes où pour avoir le droit d'empocher un supplément je devais avaler la totalité du sperme. Ce qui ne me dérangeait pas depuis que j'y avais pris goût.

 

Ainsi en étant sa merveilleuse petite pute docile et soumise comme il me le rappelait souvent, je n'avais pas le droit d'accepter ou de réclamer de l'argent aux hommes avec lesquels je faisais des passes en ayant volontiers des relations sexuelles buccales et anales. C'est lui qui me donnait mes dix francs pour chaque client avec un supplément d'également dix francs si j'avais avalé la totalité de son sperme, n'ayant pas à savoir combien ce dernier lui avait donné afin d'éjaculer en moi, c'est à dire au fond de ma bouche toujours extrêmement gourmande ou entre le petit trou intime et resserré situé entre mes maigres fesses volontiers accueillantes.

Par contre je pouvais accepter de petits cadeaux dès l'instant que ceux-ci étaient sans grande valeur comme par exemple un paquet de bonbons que je pouvais sucer à ma guise entre deux fellations, une pièce de lingerie ou bien une paire de bas destinés à être portés pour exciter ma clientèle et aussi des bijoux dit de fantaisie comme par exemple des bracelets ou des colliers, ou encore des bagues et des pendants à pinces pour oreilles non percées. Parmi les plus insolites et aussi les plus intéressés que j'ai pu recevoir, il faut citer une culotte fendue me permettant de me faire enculer sans avoir à l'ôter et un plug anal orné comme un bijou d'une pierre semi-précieuse synthétique brillante de couleur rose pâle à facettes que désormais je m'empresse de m'introduire dans l'anus en arrivant à l'appartement afin de laisser le soin à mon bienfaiteur de me l'enlever avant de me faire ma première sodomie de la journée qui comme toujours lui est réservée et dont il a bien sûr le privilège exclusif.

 

Pour tout cela, il exigeait que je sois toujours habillé en jeune fille court vêtue et maquillée comme une pute afin de faire oublier aux hommes qu'ils se farcissaient un jeune garçon qui aimait aussi bien les bites et le sperme autant que l'argent de poche que cela lui rapportait. Afin d'arriver à ce résultat, les week-ends et les vacances scolaires je disposais de plus de temps pour me métamorphoser en pute en n'hésitant pas à porter du verni aux ongles et des faux-cils.

 

En me rappelant souvent que je devais me montrer avec une propreté irréprochable, aussi bien au point de vue vêtements et sous-vêtements que corporelle, je devais changer de culotte ou de string à chaque fois que malencontreusement des tâches de sperme s'y étaient déposées suite à une sodomie où mon cul avait débordé. Ainsi en étant prévoyante, j'avais toujours à portée de main une boîte de tampons périodiques de taille maxi, dont à chaque fois qu'un client éjaculait des flots de sperme chaud et abondant et qu'il ne désirait pas que j'en expulse une grande partie dans un bol que je n'avais plus qu'à laper jusqu'à la dernière goutte, afin d'éviter tout débordement je n'avais plus qu'à m'introduire un tampon périodique entre les fesses afin d'en absorber les excès de sperme en n'ayant plus qu'à l'ôter avant chaque nouvelle sodomie après laquelle j'utilisais si nécessaire un nouveau tampon. Il en était de même si mon chemisier se retrouvait également taché de sperme. Dans tous les cas, après un rapport sexuel je devais m'essuyer la bouche ou les fesses avec un mouchoir en papier et éventuellement faire une retouche de maquillage, principalement remettre du rouge à lèvres après en avoir perdu sur la bite d'un client en la suçant.

 

 

Dans le même ordre d'idée, bien qu'en étant très absorbée en jouant un rôle de très jeune fille faisant la pute en ayant avec de nombreux clients de multiples relations sexuelles buccales et anales, je n'étais pas à l'abri d'un accident lorsque je me trouvais excessivement excitée en taillant une pipe ou en me laissant volontiers sodomiser d'avoir malencontreusement une érection pouvant aller jusqu'à une éjaculation devenant souiller ma culotte ou mon string. Bien évidemment après un pareil incident il ne me restait plus qu'à changer de culotte ou de string avant de poursuivre mes activités de jeune prostituée comme si rien n'était. Pour éviter cela, sur les conseils de mon bienfaiteur, immédiatement, tous les jours avant de me rendre à l'appartement, je me faisais un petit plaisir solitaire afin d'éjaculer ma première dose de sperme de la journée qui vue ma maturité sexuelle n'avait aucun risque de se renouveler de si tôt lorsque je me trouvais occupée avec un client.

 

Aussi j'avais toujours l'interdiction formelle d'embrasser un client sur la bouche, et aussi sur la joue lorsque après une fellation j'avais la bouche débordante et ruisselante de sperme. De même il n'était interdit d'avoir des relations avec la clientèle en dehors de celles tarifées dans l'appartement et d'y entretenir d'autres relations en dehors, et aussi de me laisser toucher mon sexe dont je devais absolument tout faire pour en faire ignorer l'existence et la nature, contrairement à ma bouche toujours extrêmement gourmande entourée de mes lèvres pulpeuses abondamment maculées de rouge intense et le petit orifice intime situé entre mes deux grosses fesses toutes aussi accueillantes et rebondies qui ne se rassasient jamais de bites et de sperme que je dois avaler afin de procurer à mes clients une jouissance maximale.

 

 

Ainsi avec la clientèle il m'était aussi interdit d'avoir de longues conversations qui auraient inévitablement pour effet en me faisant perdre du temps pour effectuer ce que je suis payée en tant que jeune pute et ainsi me faire prendre du retard dans le planning sexuel que mon bienfaiteur avait organisé pour moi en ne m'accordant que dix minutes par client pour le faire éjaculer son sperme chaud et abondant aussi bien dans ma bouche gourmande qu'au creux de mes fesses volontiers accueillantes. En revanche, lorsque je n'avais pas la bouche pleine, ce qui aurait été aussi bien impoli que peu pratique, je pouvais avoir des paroles douces avec mon amant présent en le félicitant sur les performances, les dimensions et le plaisir qu'il me donnait avec son sexe avant de me précipiter de passer au suivant.

 

Il est aussi intransigeant en ce qui concerne mes bas, surtout lorsque ceux-ci sont noirs à coutures dont celles-ci doivent toujours être parfaitement alignées verticalement tout au long de mes longues jambes fuselées dont ils renforcent le galbe naturel. Pour cela il ne supporte pas de me voir avec un bas filé en me faisant toujours remarquer que je me fais suffisamment d'argent en prenant des bites en bouche et dans mon cul pour pouvoir dépenser quelques francs par jour pour l'achat de bas fins.

 

Il est aussi très à cheval sur la ponctualité et ainsi il veille qu'en semaine je sois présente à l'appartement de dix sept heures à dix neuf heures en me laissant environ dix minutes pour m'habiller et me maquiller en fille sexy. De même il m'accorde aussi dix minutes pour redevenir un jeune garçon devant rentrer chez lui après avoir eu la bouche en feu et le rectum rempli et débordant de sperme chaud et abondant. Pour ce qui est des samedis, dimanches et des vacances scolaires, comme ensemble nous l'avons convenu, je dois être présente de quatorze heures à dix neuf heures. Ainsi lorsque je suis en retard, pour me faire comprendre et me le rappeler en me punissant, il me sodomise sans prendre la peine d'utiliser un lubrifiant intime afin que j'en ressente quelques douleurs.

 

De même organisant méticuleusement mon emploi du temps afin que je puisse me faire sodomiser ou sucer un nouveau client toutes les dix minutes, ce qui dans la majorité des cas était largement suffisant pour me remplir la bouche ou le cul de sperme chaud et abondant, mon bienfaiteur et aussi souteneur savait me rappeler à l'ordre lorsqu'il se produisait un léger dépassement. Aussi sans qu'il ait à m'en faire empressement la demande, spontanément je me rendais dans la pièce à vivre servant aussi de salle d'attente à ma clientèle pour demander s'il y n'y aurait pas deux hommes qui seraient intéressées par faire une doublette avec moi. C'est ainsi que bien souvent ma proposition devenant intéressante, je me retrouvais dans la chambre avec simultanément deux bites en moi, c'est à dire une dans ma bouche et une dans mon cul, prêtes à y éjaculer simultanément afin que je puisse rattraper le retard pris sur mon planning qui avait été organisé par mon protecteur.

 

Aussi bien qu'en me confiant à lui en lui affirmant que cela ne me déplaisait pas, bien au contraire de sucer une bite pendant qu'une autre me défonce le cul, ce qui avait pour but et conséquence d'exciter davantage certains clients, il ne m'imposa jamais rien de la sorte me laissant le libre choix et l'initiative d'en faire la proposition à la clientèle pouvant éventuellement être intéressée.

Par contre, afin de faire patienter la clientèle et aussi de faire un choix, parfois difficile sur la manière dont ils allaient éjaculer en moi leurs puissants jets de sperme chaud et abondant, mon bienfaiteur avait fait installer un téléviseur et un lecteur VHS diffusant en permanence toute une compilation de séquences où l'on peut me contempler en train d'avoir de multiples relations sexuelles buccales et anales avec de nombreux hommes qui se succédaient pour que je leur serve de vide-couilles. Les scènes qui sont les plus appréciées sont de loin celles où j'ai simultanément un sexe en bouche pendant qu'un autre, voire même deux et parfois trois se trouvent dans mon cul. Bien évidemment toutes ces séquences il les a filmées avec mon consentement, sans qu'à aucun moment je puisse penser que cela pourra se retourner contre moi comme par exemple en me menaçant de les montrer à mes parents si subitement il m'arrivait de vouloir rompre brusquement le contrat tacite qui nous unit.

Pour ce qui est de cet éventuel chantage, je n'avais rien à craindre car j'étais devenue tellement accroc aux bites et au sperme chaud qui s'en écoulait si abondamment dont je me délectais, que je ne risquais pas d'avoir envie d'abandonner ce qui était devenu ma raison de vivre en plus de me procurer d'importants revenus. Par contre ce que je craignais le plus, c'est que malgré que je sois toujours bien coiffée, bien maquillée et bien habillée comme une splendide et adorable jeune fille à la fois élégante et sensuelle qui apporte énormément de plaisirs à ses clients, que je sois reconnue par l'un de ceux- ci s'il y avait parmi eux un proche de mes parents qui ne seraient sûrement pas contents d'apprendre ce que je fais pendant mes heures de liberté.

Pour des questions de confidentialité les visages d'aucuns de mes clients et devenus acteurs n'y sont visibles.

 

En dehors de ces vidéos promotionnelles, rien ne m'est imposé en me permettant de faire mon libre choix tout en respectant les désirs de ma clientèle dès l'instant où ceux-ci ne m'obligent pas à subir des actions contraignantes comme par exemple me laisser mettre plusieurs doigts dans le cul pour aboutir finalement à une séance de fist-fucking qui monopoliserait plus de temps que j'en aie à accorder. En revanche lorsque j'ai une bite en bouche, je peux parfaitement, afin de réduire sensiblement, en l'excitant davantage, le temps de jouissance de mon partenaire sexuel, le laisser introduire un doigt dans mon cul excessivement bien lubrifié par le sperme si généreusement déposé librement sans aucune retenu de précédents clients.

 

 

Par contre où je suis entièrement libre d'accepter ou rarement de refuser tous les actes sexuels qui me sont proposés, c'est lorsque mon bienfaiteur me loue, en dehors de l'appartement, pour toute une nuit où je suis censée dormir chez un copain, à un groupe d'hommes avec lesquels de dois me montrer très gentille et surtout complètement soumise, qui pour une somme forfaitaire importante pouvant être égale à ce que je gagne en une semaine, peuvent disposer de moi à leur guise dès l'instant où ils ne désirent pas pratiquer avec moi des actes violents ni dégradants comme par exemples des actes sadomasochistes ou bien encore ayant rapport avec de l'urologie ou de la scatologie. Pour cela, je dois me rendre à ces rendez-vous en étant la plus sexy et désirable possible sans oublier de prendre avec moi un tube de lubrifiant intime que je n'utilise que pour les premières fois où je me laisse volontiers enculer car ensuite c'est la lubrification naturelle faite par le sperme qui fait son effet sauf bien sûr en cas de pénétrations multiples simultanées, des mouchoirs en papiers destinés à nettoyer méticuleusement les sexes de mes amants après chaque rapport sexuel et une provision de tampons périodiques de taille maxi que je dois me servir en m'en introduisant un dans le cul entre deux sodomies afin d'éponger les surplus de sperme pouvant dégouliner de mon anus dont les sphincters sont devenus distendus.

 

Alors en allant faire la pute à domicile pendant une dizaine d'heures d'affilées avec plus d'une vingtaine d'hommes à satisfaire sexuellement qui déverseront chacun trois ou quatre fois leur sperme en moi, je m'assure d'avoir la satisfaction d'être bien nourrie de sperme abondamment avalé, ainsi que d'avoir le rectum tellement lubrifié que tout gel intime devient superflu. Par contre même si à la suite d'une multitude de fellation où j'ai tout avalé, je n'ai pas l'impression d'en avoir une indigestion, de même que si j'ai le cul bien rempli, en ayant toutefois comme la sensation d'avoir presque des difficultés à pouvoir rester assise, étant satisfaite de ma nuit blanche, après m'être démaquillée et avoir changé de vêtement je suis prête à me rendre au collège afin de suivre studieusement ma journée de cours avant de rejoindre l'appartement pour avoir d'autres relations sexuelles buccales et anales avec les clients que m'envoie mon bienfaiteur, comme tous les jours de dix sept à dix neuf heures.

Bien entendu cela doit rester absolument confidentiel pas plus que je ne dois révéler l'existence de cet appartement et ce qui s'y passe, car dans le cas contraire il serait for probable que cela arrive à être connu des autorités policières ayant pour charge de contrôler les bonnes moeurs et de luter contre la prostitution enfantine, ce qui contituerait inévitablement de gros ennuis pour mon bienfaiteur qui pourrait être inculpé pour proxénétisme infantile et ainsi être mis en prison pour de longues années. Quant à moi, je me retrouverais interné dans un hôpital psychiatrique afin de me faire passer l'envie de continuer d'avoir avec de nombreux hommes de multiples relations sexuelles buccales et anales.

C'est principalement pour cette raison que je ne dois pas entretenir de relations particulières d'aucunes sortes soient-elles avec mes clients en dehors de celles que je suis payé pour faire la pute uniquement au sein de l'appartement sauf bien évidement lorsque mon bienfaiteur me loue à un groupe d'hommes, parfois plus d'une vingtaine, immensément généreux pour une nuit entière afin que je me montre extrêmement gentille sexuellement avec eux en satisfaisant tous leurs désirs sexuels en m'épanouissant pleinement dans mes fonctions de vide-couilles en mettant à leur disposition durant une dizaine d'heures ma bouche gourmande et des fesses accueillantes afin qu'ils puissent y éjaculer en toute liberté leur sperme chaud et abondant chacun leur tour ou même à plusieurs reprises s'ils en ont l'envie, ce qui peut parfois représenter beaucoup plus d'une cinquantaine de relations sexuelles au cours de la nuit.

 

De la même manière, depuis que j'ai fait un stage de trois jours dans une célèbre école de salopes où j'ai appris à satisfaire sexuellement approximativement un client toutes les trois minutes, soit une vingtaine par heure sans en éprouver la moindre fatigue ou deux cents au cours d'une nuit de dix heures sans discontinuer, mon bienfaiteur reçoit des demandes venant de patrons de maisons d'abatage se trouvant en quête d'une bonne jeune grosse salope pour remplacer d'une de leurs pensionnaires plus âgée se trouvant momentanément pour une nuit dans l'impossibilité d'assurer son service de vides- couilles. Ainsi afin de leur donner entière satisfaction en prétextant aussi dormir chez un copain, je dois me rendre disponible de vingt heures trente à six heures trente afin d'avoir des relations sexuelles buccales et anales à raison d'une toutes les cinq ou quatre minutes, ce qui représente entre cent vingt et cent cinquante fois où je dois tailler des pipes en avalant de grandes quantités de sperme chaud et abondant ou je me laisser volontiers enculer également sans utiliser de préservatif en me soulageant souvent dans un bol dont je dois laper l'intégralité du contenu, pour un forfait de mille cinq cent francs ce qui représente une équivalence supérieure avec ce que je gagne en une semaine passée à l'appartement.

 

Ainsi pendant le temps que j'y passe, je dois participer à la propreté de l'appartement en ne laissant rien traîner aussi bien dans la salle de bain où je me maquille que dans la chambre avec un grand lit, où j'ai la plupart de mes ébats sexuels, qui doit être toujours impeccablement ordonnée avec une commode ainsi qu'une grande armoire mises à ma dispositions pour y ranger mes affaires personnelles. La seule chose que je suis autorisée à laisser traîner c'est la boîte de mouchoirs en papier dont je dois impérativement me servir pour essuyer le sexe des clients après toutes relations sexuelles aussi bien anales que buccales. M'étant interdit de laisser traîner n'importe où les mouchoirs et aussi mes tampons périodiques de taille maxi usagés, il a été mis à ma disposition deux petites poubelles avec couvercle rabattant, une dans la chambre et une dans la salle de bain, que je dois aller vider chaque jour dans l'un des containers à ordures de l'immeuble.

 

Lorsque j'utilise un bol afin d'y expulser le trop plein de sperme accumulé dans mon rectum qu'à la demande de certains clients je suis contrainte à avaler jusqu'à la dernière goutte, je dois aller le laver à l'eau chaude dans l'évier de la cuisine où après l'avoir séché avec un torchon propre devant être renouvelé tous les jours, comme les draps qui doivent aussi faire un passage par la machine à laver puis au sèche-linge comme la totalité des vêtements et sous-vêtements que j'ai été appelé à porter tout au long de la journée, je dois le remettre à sa place dans le placard de la cuisine qui lui est réservé.

 

Je dois aussi montrer une extrême politesse avec la clientèle qui me permet de bien vivre même si parfois il peut m'arriver d'avoir un différent avec un client que je dois respecter car il doit être considéré comme un roi auquel je n'ai pas le droit d'avoir des mots même si je pense et que j'ai envie de lui dire que c'est un enculé, car je suis mal placée pour cela car ne dit-on pas à juste titre en ce qui me concerne que c'est celui ou celle qui le dit qui l'est.

Je n'ai pas le droit de refuser un client dès l'instant que celui-ci a déjà réglé auprès de mon bienfaiteur le montant destiné à réserver soit ma bouche gourmande ou mes fesses accueillantes afin de pouvoir y éjaculer en toute liberté son sperme chaud et abondant que j'ai l'obligation d'avaler s'il a payé un supplément pour cela.

Il en est de même si je juge le sexe d'un futur client comme ayant des dimensions hors normes ne me permettant de le recevoir dans ma bouche extrêmement gourmande ou entre mes fesses volontiers accueillantes, car c'est seulement à mon bienfaiteur de pouvoir juger si une bite de noir ou d'arabe doit être acceptée par la bonne jeune grosse salope que je suis devenue et pour laquelle, dans mon planning, il me les réserve pour mes fins de journées lorsque mes sphincters se trouvent distendus par les sodomies qui ont précédé, afin de ne pas m'imposer des souffrances qui ont très peu de chances de se produire, étant donné ce que j'ai déjà enduré durant mon stage de trois jours dans une célèbre école de salope dont la réputation n'est plus à faire, où j'ai réussi à satisfaire avec ma bouche et mon cul plus de six cents clients ayant des bites de toutes tailles sans que cela ne me pose le moindre problème.

Ainsi c'est afin de me familiariser davantage avec mon statut de très jeune pute qui ne doit à aucuns moments se refuser sexuellement aux exigences des hommes, même si celles-ci au premier abord puissent me paraître déplacées, que mon bienfaiteur me fit faire un stage de trois jours au sein d'une école de salopes. Là, j'y appris beaucoup de choses qui me permirent de me perfectionner dans tout ce qui concerne l'art de pratiquer des relations sexuelles buccales et anales en toute sécurité sans utiliser de préservatif.

En premier lieu, je fus initié à l'effeuillage afin qu'en étant en mesure d'offrir à mes potentiels clients la vue d'un strip-tease sensuel et langoureux bien que limité dans la mesure où pour des questions pratiques, je ne peux pas me permettre d'ôter mon soutien gorge indispensable à la bonne tenue de mon opulente poitrine constituée d'une paire d'énormes faux seins en silicone qui restent tout de même autant réalistes visuellement qu'au toucher. Il en est de même en ce qui concerne ma culotte ou string que je suis bien obligé de garder afin de cacher ma vraie nature sexuelle. Pour ce qui est de mon porte-jarretelles, afin de maintenir mes fins bas noirs à coutures indispensables pour mettre en valeur le galbe naturel de mes longues jambes fuselées, il est aidé par une paire d'escarpins aux talons vertigineux de non pas huit centimètres comme j'avais l'habitude d'en porter, mais de douze centimètres comme il est exigé à l'école des salopes.

Aussi en compagnie d'apprenties salopes ou de putes de tous ages et plus ou moins confirmées désirant se perfectionner dont la grande majorité étaient des vraies femmes, avec l'aide de partenaires masculins étant là pour nous éduquer, en grande partie des hommes endurants et bien montés comme peuvent l'être des noirs africains ou des arabes, j'ai suivi attentivement tous les conseils qui m'ont étés donnés dans le but de me perfectionner. 

Ensuite j'appris à tailler des pipes et à prodiguer des gorges profondes de toutes les manières possibles qu'elles soient, en particulier sur la façon de gober aussi les testicules en guise de préliminaires et de maintenir le plus profondément la bite des clients dans ma bouche afin qu'au moment de leur ultime éjaculation celle-ci ait lieu directement au fond de ma gorge sans passer par mon palais.

Pour ce qui est des sodomies, je me suis familiarisé à toutes sortes de variantes surtout sur les façons de me trémousser et de présenter mes fesses afin que celles-ci restent les plus attrayantes possible comme par exemple lorsque je m‘assois sur les genoux d'un homme afin que la bite de celui-ci se trouve profondément insérée jusqu'au fin fond de mon rectum.

Ainsi après ce court séjour de trois jours qui me furent très profitables dans cette école si particulière, je repris mes activités de grosse salope en ayant l'agréable surprise de découvrir que mon bienfaiteur, pour me récompenser de ma bonne volonté de me perfectionner, m'avait gratifié de mes revenus comme si j'étais resté à l'appartement afin de me prostituer pour lui.

Aussi pour honorer cela et de lui démontrer les bienfaits de mon diplôme de salope fraîchement acquis, sans perdre de temps je lui fis part de mes désirs de lui montrer ce que j'avais appris. Ainsi en venant à l'appartement avec un quart d'heure d'avance, après m'être bien coiffé, bien maquillé et bien habillé comme une parfaite grosse salope qui n'a pas froid aux yeux, je lui fis un effeuillage dans les règles de l'art comme il m'avait été enseigné dans cette prestigieuse école dont la renommé n'est plus à faire. Ensuite après lui avoir gobé les couilles pendant de longues minutes, je pris son sexe en bouche en prenant soin, comme je l'avais appris, de l'enfourner profondément dans ma gorge afin qu'au moment de l'éjaculation je puisse avaler la totalité de son sperme chaud et abondant sans en avoir la moindre goutte en bouche. Ensuite une fois que mon bienfaiteur eut retrouvé sa vigueur sexuelle, comme je l'avais appris à l'école des salopes avec des initiateurs noirs particulièrement bien montés, je lui offris mon cul sans utiliser de lubrifiant intime comme nous en avions pris l'habitude précédemment. 

 

Après cette absence de trois jours, mon retour tant attendu fut très apprécié de ma clientèle impatiente de retrouver en moi le vide-couilles si apprécié et qui le sera certainement encore davantage grâce aux leçons suivies avec assiduité à l'école des salopes.

Aussi pour honorer cela et de lui démontrer les bienfaits de mon diplôme de salope fraîchement acquis, sans perdre de temps je lui fis part de mes désirs de lui montrer ce que j'avais appris. Ainsi en venant à l'appartement avec un quart d'heure d'avance, après m'être bien coiffé, bien maquillé et bien habillé comme une parfaite grosse salope qui n'a pas froid aux yeux, je lui fis un effeuillage dans les règles de l'art comme il m'avait été enseigné dans cette prestigieuse école dont la renommé n'est plus à faire. Ensuite après lui avoir gobé les couilles pendant de longues minutes, je pris son sexe en bouche en prenant soin, comme je l'avais appris, de l'enfourner profondément dans ma gorge afin qu'au moment de l'éjaculation je puisse avaler la totalité de son sperme chaud et abondant sans en avoir la moindre goutte en bouche. Ensuite une fois que mon bienfaiteur eut retrouvé sa vigueur sexuelle, comme je l'avais appris à l'école des salopes avec des initiateurs noirs particulièrement bien montés, je lui offris mon cul sans utiliser de lubrifiant intime comme nous en avions pris l'habitude précédemment. 
Ainsi n'ayant plus à craindre que son unique gagneuse se retrouve hors d'usage pour quelques temps à cause de trop grosses bites lui ayant défoncé le cul, mon bienfaiteur se trouve rassuré grâce aux expériences que j'ai eues à l'école des salopes avec des hommes noirs et arabes particulièrement bien montés qui lui ont appris à se laisser enculer sans lubrifiant intimes sans se poser de question, et désormais il ne refusera plus de mettre des hommes aux énormes sexes dans le planning de ceux qui pourront volontiers me prendre par le cul afin d'y éjaculer l'intégralité de leur semence sans me faire prendre le moindre risque. d'aucune sorte que ce soit.
Afin de fêter cela, mon bienfaiteur m'offrit un chemisier presque transparent au profond décolleté destiné à mettre en valeur mon imposante poitrine artificielle où il avait fait broder : "SALOPE EN LIBRE SERVICE". Ce chemisier je le portais le plus souvent possible avec une mini-jupe en cuir rouge couvrant à peine mes fesses où était implanté un plug anal, offert par un client pour qui mon cul avait beaucoup d'intérêts, auquel était accroché un petit écriteau indiquant : "SENS OBLIGATOIRE" que je possédais déjà depuis quelques temps et que je trouvais tout aussi rigolo de porter entre deux clients désirant m'enculer.
Pour cela comme je l'avais appris à l'école des salopes, par-dessus mes fines jarretelles qui maintenaient mes fins bas noirs à couture tout au long de mes longues jambes fuselées, dont en complément avec une paire d'escarpins aux talons vertigineux de désormais douze centimètres, ils en accentuaient le galbe naturel, je n'étais plus autorisé que de porter un mini string découvrant en grande partie mes fesses volontiers accueillantes laissées à découvert par une minijupe, afin de donner, à chaque fois que je faisais une apparition dans la salle d'attente, à mes potentiels clients des envies de sodomies qui pour certains qui ne peuvent pas attendre auront lieu sur place à la vue de toute la clientèle ravie de ce spectacle très excitant.
Après cette absence de trois jours, mon retour tant attendu à l'appartement fut très apprécié de ma clientèle impatiente de retrouver en moi le vide-couilles si apprécié et qui le sera certainement encore davantage grâce aux leçons suivies avec assiduité à l'école des salopes.

Durant presque six années qu'a duré notre collaboration, il m'a demandé de faire régulièrement tous les trois mois une visite médicale approfondie afin de s'assurer que je n'avais pas de lésions graves au niveau du rectum et ne pas avoir contracté une maladie sexuellement transmissible telle que la syphilis, ce qui bien sûr pour une période plus ou moins longue aurait mis fin à ma carrière de jeune prostituée, sachant qu'à cette époque le sida étant encore inconnu il pouvait être superflu d'utiliser des préservatifs. Ainsi au docteur je ne lui avoua pas que je faisais régulièrement la pute mais qu'occasionnellement il m'arrivait d'avoir des relations homosexuelles. Ces visites chez le médecin ayant pour but de me rassurer, et aussi par voie de conséquence aussi mon protecteur qui aurait ainsi perdu son unique gagneuse, se révélèrent toutes aussi rassurantes les unes que les autres n'ayant rien révélé de grave à par des sphincters anaux légèrement déformés. Mais cela il fallait bien m'y attendre car à force de me laisser enculer au minimum cinq ou si fois par jour tout au long de l'année cela n'avait rien de bien surprenant.

 

Par contre, il y a des choses qui ne m'étaient pas imposées mais uniquement conseillées, c'est de renouveler assez fréquemment ma garde robe afin que mes habitués ne ressentent pas un sentiment de lassitude. Pour cela, j'en avais les moyens qui devenant même excessifs ont fait qu'avec mon accord mon bienfaiteur m'a ouvert un compte en banque où il pouvait faire en mon nom des dépôts alors que seule moi pouvait y faire des retraits. Ainsi toutes les semaines il déposait régulièrement mes gains gagnés avec ma bouche et mon cul sur ce compte, en me laissant en totalité en espèce à ma disposition cinq cents francs en cas d'urgence pour subvenir à mes achats ordinaires.

 

Ainsi depuis que je me coiffe, me maquille et m'habille en fille, mon bienfaiteur m'autorise à venir me transformer le samedi matin à l'appartement afin de pouvoir aller faire du shoping au centre commercial en tant que fille, ce qui me permet plus facilement de faire des essayages de différents vêtements féminins sans attirer l'attention en prenant toutefois la précaution de ne pas m'habiller et me maquiller comme une pute mais bien au contraire comme une jeune fille sage qui vient dépenser son argent de poche en complétant avec soin sa garde-robe et en achetant aussi des produits d'hygiène et de maquillage.

Par contre pour des achats typiquement plus spécifiques comme par exemple une perruque blonde plus claire et aussi plus longue que celles que j'ai l'habitude d'arborer quotidiennement sur mon crane, ainsi qu'une paire d'énormes faux seins en silicone plus volumineux que ceux que j'ai l'habitude de porter, je me rends dans des boutiques spécialisées pour trouver mon bonheur afin d'incarner à merveille le fantasme de beaucoup d'hommes qui est la blonde idiote à forte poitrine qui accepte tous des hommes sans à aucun moment prendre le temps de réfléchir au conséquences que cela peut avoir. 

 

Étant une jeune pute docile et soumise, je dois naturellement tout accepter sexuellement des hommes qui viennent trouver en moi un parfait vide-couilles où ils peuvent éjaculer en toute liberté sans utiliser de préservatif à la condition expresse qu'ils n'aient pas de comportement déplacé comme par exemple après avoir déposé leur sperme dans ma bouche extrêmement gourmande ou entre mes fesses volontiers accueillantes, avant de se retirer d'uriner en moi ce qui me met mal à l'aise de me trouver forcée à avaler de la pisse dont je n'apprécie pas le goût et surtout la quantité très importante par rapport à plusieurs jets de sperme chaud et abondant dont je me délecte volontiers ou de me trouver contrainte d'aller en urgence aux toilettes afin de l'expulser. Quand un tel comportement se produit mon bienfaiteur tient à être immédiatement au courant afin de pouvoir faire remarquer à mon client indécent que cela ne se fait pas et surtout que cela me met mal à l'aise, et lui faire remarquer que si pareille attitude de reproduit il se vera contraint à l'avenir de ne plus faire partie de mes clients potentiels qu'il sera assez facile de remplacer étant donné qu'en tant que très jeune pute aux dires de ma clientèle je me suis fait une telle réputation que les demandes sont nettement supérieures à ce que je peux assurer.

 Bien évidement s'il s'agit d'un fidèle client je peux faire une exception et être consentante à ce qu'il urine en moi à plusieurs conditions c'est ce qu'il s'acquitte d'un supplément non négligeable et surtout qu'il aille uriner aux toilettes avant tout rapport sexuel qu'il soit buccal ou anal afin de s'assurer que la quantité d'urine que je devrais recevoir en moi ne sera pas trop importante. 


Moyennant tout cela je suis heureuse de vivre comme une pute qui prend beaucoup de plaisir à avaler de grandes quantités de sperme après avoir fait de nombreuses fellations et gorges profondes, ainsi que de se retrouver défoncée par des bites qui l'enculent en faisant déborder de sperme son cul accueillant.

 

Malgré tout cela, dès le début de notre collaboration avec mon bienfaiteur qui en réalité se comporte comme un souteneur amassant beaucoup d'argent en comptant sur ma bouche et mon cul, nous avons établi une règle qui est que l'intégralité de ma clientèle doit avoir une bite à la propreté irréprochable. Pour cela, avant chaque rapport sexuel avec moi, il examine méticuleusement chaque bite avant de l'autoriser de venir éjaculer en moi. C'est ma seule exigence à part bien sûr de recevoir mes gains régulièrement chaque fin de semaine.

 


Par gwladys - Publié dans : gwladys - Communauté : gwladys travesti 60 ans
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