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MES NUITS À FAIRE LA PUTE OÙ J'ÉTAIS SENSÉ DORMIR CHEZ UN COPAIN.

En effet depuis l'age d'un peu plus de dix ans où j'ai rencontré mon bienfaiteur avec lequel nous nous sommes associés pour que quotidiennement je travaille pour lui en me montrant très gentil avec des hommes désirant moyennant dix francs et vingt francs si j'avalais la totalité de leur sperme chaud et abondant éjaculer en moi en ayant des relations sexuelles buccales ou anales, au bout de deux années de fidèles collaborations, il me proposa de me louer pendant toute une nuit à un groupe d'hommes avec lesquels je devrais me montrer extrêmement gentil en spécifiant que cela me rapportera plus de mille francs.

Trouvant la proposition intéressante, il me restait qu'à trouver un alibi vis à vis de mes parents qui me permet de découcher pendant toute une nuit. Aussi il ne vient à l'esprit de me faire inviter chez un copain à passer la nuit chez lui sous prétexte d'avoir à faire un devoir en commun qui pourrait nous prendre jusque vers vingt et une heures et plus. Bien sûr pour donner le change et ne pas éveiller de soupçon, de temps et temps et de façon cette fois bien réelle c'est moi qui invitais mon copain à passer une soirée de révision avant de dormir chez moi. Aussi pour ne pas nous faire démasquer avec mon bienfaiteur, nous nous sommes limités à une ou deux nuits par mois durant lesquelles je pouvais démontrer, malgré mon jeune age,  mes talents de bonne grosse salope à tout un groupe d'une quinzaine d'hommes auxquels je leurs faisais de multiples fellations et gorges-profondes ainsi que de me laisser volontiers enculer pendant une dizaine d'heures d'affilées de vingt heures trente à six heures trente.

Pour cela je dois me rendre à ces rendez-vous aux alentours de vingt heures afin de me laisser le temps de me changer et de me maquiller en pute. Pour la même raison, je dois quitter les lieux vers sept heures pour me rendre au collège en espérant ne pas être trop fatigué afin de ne pas m'endormir en suivant les cours de la journée commençant à huit heures et se terminant certains jours selon l'emploi du temps vers seize heures, ce qui me laisse le temps de me rendre à l'appartement de dix sept heures à dix neuf heures afin de pouvoir déguster mes doses de sperme quotidiennes.

Ainsi pour ces nuits de débauches, comme pour mes fins d'après-midi à faire la pute, je devais être maquillé, coiffé, habillé comme une bonne grosse salope, particulièrement en suggérant une opulente poitrine constituée d'une paire d'énormes faux seins en silicone aussi réalistes visuellement qu'au toucher afin de satisfaire le fantasme de certains hommes qui est la blonde idiote, à qui on peut tout faire avaler, à très forte poitrine. Pour maintenir cette dernière bien en place selon mes humeurs je pouvais porter un soutien gorge aux profonds bonnets ou une guêpière aux même caractéristiques dont les jarretières, se substituant à un porte-jarretelles assorti à une culotte ou un string destiné à cacher mes attributs masculins, retenaient bien tendus, sur mes longues jambes fuselées dont ils en renforcent le galbe naturel, une paire de fins bas noirs à couture qui associés à une paire d'escarpins aux talons vertigineux de douze centimètres complète l'image d'une ravissante jeune femme mettant tous ces atouts pour apparaître comme une pute ne prenant aucun recul afin de séduire sa clientèle.

Pour cela l'habillement a aussi son importance, aussi quand je pense que je vais être l'élément central d'une gigantesque partouze organisée où je ne saurai plus où donner de la tête, c'est à dire offrir soit ma bouche toujours extrêmement gourmande entourée de ses lèvres pulpeuses abondamment maculées de rouge intense, soit le petit trou intime et toujours néanmoins resserré malgré les nombreuses bites qui ont déjà été autorisées à lui forcer les sphincters, situé entre mes deux grosses fesses volontiers accueillantes afin que tout le monde, chacun son tour, puisse y éjaculer ses puissants jets de sperme chaud et abondant, je ne porte qu'une simple nuisette à moitié transparente réussissant à peine à couvrir mes fesses.

En revanche lorsqu'il s'agit d'enchaîner les passes sexuelles à l'appartement mis à ma disposition par mon bienfaiteur, afin de me rendre désirable tout en étant élégant, j'opte soit pour une robe moulante en vinyle au profond décolleté et couvrant à peine mes fesses qui se trouvent ainsi exposées aux mains baladeuses des futurs clients désirant constater leur fermeté avant d'y introduire leur bite, ou pour une minijupe en cuir de même longueur coordonnée avec un chemisier semi-transparent découvrant en partie mon opulente poitrine

Ainsi me trouvant dans une tenue adéquate correspondant le mieux à mon statut de grosse salope faisant la pute pour vivre mais aussi pour le plaisir d'avaler directement ou indirectement de grandes quantités de sperme chaud et abondant, devant une quinzaine d'hommes attendant que je commence avec eux mes prestations sexuelles buccales et anales, je leur indique que je suis prête si besoin à prendre simultanément deux bites en bouche pendant que si la demande l'exige, je peux aussi en avoir aussi une entre mes fesses ou bien encore deux voire même trois qui m'enculent.

C'est ainsi que je me présente à chaque fois que je dois satisfaire sexuellement un groupe d'hommes comme par exemple la fois où je fus confronté à une assemblé constituée de trois européens pour quatre maghrébins et huit noirs africains tous aussi bien pourvus par la nature qui dès mon arrivé ont désirés m'introduire sans répit leur sexe énorme dans le cul afin d'y éjaculer en me défonçant l'anus malgré d'importantes quantités de lubrifiant intime en me faisant remarquer que je n'avais pas à m'en plaindre car en tant que très jeune pute j'étais venu pour cela. En ce qui concerne les autres, ils se montrèrent plus patient en attendant chacun leur tour que je leur taille une pipe en avalant leur sperme comme je venais de le faire avec celui de ceux qui m'avaient sodomisé et je j'avais expulsé dans un bol avant d'en laper gloutonnement l'intégralité du contenu et dont je du nettoyer toutes traces de matières fécales en les léchant méticuleusement avec ma langue.

Puis une fois qui se sont tous vidé les couilles en moi, ce qui leur à pris à peu près une heure, le calme est revenu en attendant que certains redeviennent à nouveau en mesure d'éjaculer le sperme accumulé dans leurs testicules, ce qui me laissait quelques temps pour m'occuper de moi comme par exemple m'introduire un tampon périodique de taille maxi dans l'anus afin d'absorber en grande partie les excès de sperme accumulés au fin fond de mon rectum qui n'avait pas pu être expulsés dans le bol, et aussi pour faire des retouches de maquillage, en particulier de rouge à lèvre qui avait été naturellement perdu sur les bites que j'avais sucé.

Puis au bout d'une demi-heure, une heure pour les moins vigoureux, ils furent tous prêts à remettre cela en alternant pipes et sodomies pour le plus grand plaisir de ceux qui s'épanouissaient dans cette diversité. Ainsi après avoir sucé chacun d'eux au moins deux fois et m'être laissé enculer autant de fois la nuit avançait si bien que je fus presque obligé de pleureur pour avoir d'autres doses de sperme destinées à me combler pour le restant de la nuit où les plus vigoureux arrivèrent jusqu'à éjaculer huit fois en moi, contre de quatre à cinq fois pour la moyenne d'entre eux, ce qui avait tout pour me satisfaire et même me faire atteindre plusieurs orgasmes non simulés.

C'est ainsi qu'après avoir passé toute une nuit à servir de vide couilles à une bande d'hommes excités au point d'éjaculer en moi en toute liberté sans utiliser de préservatif, sans penser que je ne suis pas une vraie fille,  pour un forfait collectif dépassant les mille francs me revenant et certainement autant ou voire même plus en tant que commission à mon bienfaiteur, à plusieurs reprise, je me suis retrouvé avec la bouche débordant de sperme que je dus avaler sans en perdre une goutte et l'intérieur de mes fesses si ruisselantes de sperme que je dus employer un tampon périodique de taille maxi afin de tenter d'endiguer tous débordements qui auraient inévitablement souillé mon string, ce qui m'aurait obligé à passer le reste de la nuit les fesses à l'air et de surplus mes organes génitaux libres de toute contrainte destinée à les cacher.

Aussi en retrouvant le collège et mon copain qui encore une fois venait de me servir de couverture ce dernier me demanda comment cela s'était passé en étant persuadé qu'il s'agissait d'une histoire de fille pour laquelle je lui répondis que cela s'est bien passé comme d'habitude. Bien évidemment il ne se trompait pas tout à fait car il y avait bien une fille là dessous mais pas une avec laquelle j'avais couché, mais celle dont j'ai joué le rôle en me travestissant afin d'avoir de multiples relations sexuelles buccales et anales avec de nombreux hommes qui me payaient pour qu'en tant que bonne grosse salope, je fasse la pute pendant toute la nuit en rapportant une importante commission à mon bienfaiteur qui m'avait organisé ce genre d'extra dont j'étais toujours prêt à renouveler l'expérience sexuelle qui me rapporte en une nuit pratiquement autant que durant toutes les fins d'après-midi cumulées de toute une semaine passée dans l'appartement à tailler des pipes et à me laisser volontiers enculer sans ne jamais émettre la moindre réticence, quelles que soient les bites que je dois satisfaire et qui me sont proposées par le planning organisé par mon bienfaiteur, dès l'instant que celles-ci sont d'une propreté irréprochable.

Ainsi en me laissant volontiers sodomiser et en taillant des pipes à des hommes qui attendent que moi pour se vider les couilles, j'étais heureux et comblé de pouvoir avaler de grandes quantités de sperme chaud et abondant si riche en protéines que cela suffisait en partie pour me nourrir en me procurant énormément de plaisir sans que je n'en ressente pas la moindre faim, ce qui me permettait de pouvoir tenir toute une nuit à faire la pute en me comportant comme une bonne grosse salope sans trouver le besoin d'ingurgiter qu'une ou deux canettes de soda destinées à me désaltérer.

Aussi devant un tel public qui venait d'apprécier à sa juste valeur les qualités de mes relations sexuelles buccales et anales il n'était pas rare que je retrouve à l'appartement certains d'entre eux pour prolonger le plaisir qu'ils avaient eu de se faire tailler une pipe ou de m'enculer à nouveau sans avoir à attendre la prochaine nuit de débauche où je serai à nouveau disponible pour avaler de grandes quantités de sperme chaud et abondant et m'en prendre plein le cul.

Durant toutes ces nuits de débauche où naturellement j'étais consentant pour avoir avec les nombreux hommes présents de multiples relations sexuelles buccales et anales, parfois il m'est arrivé d'être confronté à la présence d'une ou plusieurs vraies femmes munies d'imposants godes-ceintures dont le fantasme le plus profond était d'enculer un travelo tout en profondeur.

Ainsi après s'être assurées que je me trouvais prêt à accepter les assauts d'un énorme sexe constitué de matière plastique et de silicone, en prenant la précaution d'attendre que j'ai le rectum bien rempli de sperme chaud et abondant après le passage de plusieurs bites au fin fond de mon cul qui n'attend que cela le moment est venu pour elle de m'introduire sans ménagement leur gros sexe artificiel dans mon petit cul qui se trouve encore tout dégoulinant de sperme ce qui facilite l'introduction d'un sexe factice nageant dans le sperme abondamment déposé précédemment par mes sodomisateurs qui ont tous éjaculé en toute liberté entre mes fesses volontiers accueillantes sans utiliser de préservatif.

Bien évidemment en tant que grosse salope soumise dont le rôle principal est de faire la pute avec de nombreux hommes qui n'attendent que cela de moi, c'est à dire déverser en toute liberté leur sperme chaud et abondant en moi sans utiliser de préservatif, je devais me tenir prête à accepter toutes sortes de scénarios dès l'instant où pour le plus grand bonheur de tous je me comportais comme un parfait vide-couilles.

Ainsi parmi les demandes les plus diverses comme par exemple celles où je ne devais faire que des fellations ou des gorges-profondes, ou bien encore que de me laisser uniquement enculer avec ou sans lubrifiant intime en fonction des désirs de ma clientèle, que je devais toujours être prête à satisfaire. Il y en avait d'autres comme avoir l'obligation d'avoir une bite en bouche pendant qu'une autre était dans mon cul ou encore d'accepter d'avoir deux, voire trois bites dans mon cul.

Tous ces scénarios pouvaient être filmés si telle en était la demande où en plus d'avoir un rôle de pute je devenais une parfaite actrice de films pornographiques dont mon bienfaiteur se servait pour en faire des compilations destinées à être diffusées dans la salle d'attente de l'appartement où je faisais la pute tout au long de la semaine toutes les fins d'après-midi.

Ainsi en dehors de ces nuits de débauches avec un thème imposé, j'avais toute liberté d'alterner de tailler des pipes et de me laisser volontiers enculer toujours sans utiliser de préservatif afin de satisfaire pleinement ma clientèle qui ainsi se montrait toujours heureuse de pouvoir se vider les couilles soit dans ma bouche extrêmement gourmande avec les lèvres abondamment maculées de rouge intense afin de faire plus pute, ou soit dans mon petit trou intime, et cependant encore assez resserré malgré les très nombreuses bites qui déjà été invité à lui forcer les sphincters, situé entre mes deux grosses fesses volontiers accueillantes.

Aussi lorsque je me rends à un rendez-vous pour être l'objet d'un parfait vide-couilles lors d'une nuit de débauche, je n'oublie pas d'amener avec moi deux boites de mouchoirs en papier destinés à essuyer les bites après chaque relation sexuelle buccale ou anale, un tube de lubrifiant intime afin de favoriser les éventuelles sodomies en particulier celles faites en double voire en triple pénétration, et en plus d'un bol pour recueillir le sperme dégoulinant de mon anus afin d'en laper le contenu jusqu'à la dernière goûte comme lorsque j'avale de grandes quantités de sperme à chaque fois que je taille une pipe, et bien sûr afin de me trouver prêt à toute éventualité une boîte de tampons périodiques de taille maxi que je m'introduis dans l'anus afin d'éviter tout débordement de sperme qui pourrait tacher mon string ou ma petite culotte indispensables pour contenir et cacher mes organes sexuels masculins qui ne doivent à aucuns moments être aperçus sous peine de perdre en partie ma féminité apparente et relative.

Aussi bien avant que je suive un stage très profitable dans une prestigieuse école de salopes afin d'y acquérir tous les perfectionnements utiles pour devenir à la fois une parfaite salope destinée en faisant la pute avec une multitude d'hommes un parfait vide- couilles se délectant de puissants jets de sperme chaud et abondant en consentant d'avoir avec eux de nombreuses relations sexuelles buccales et anales à répétitions sans jamais en éprouver la moindre marque de fatigue, j'étais toujours content et fier de jouer le rôle de pute que l'on attendait de moi en tant que fille entièrement soumise à tout ce qui concerne le sexe avec des hommes qui me payaient pour éjaculer en moi en toute liberté sans utiliser de préservatif, chose que j'acceptais volontiers en me laissant enculer et en taillant des pipes à tous ceux qui m'en faisaient la demande sans aucunes exceptions dues à leur couleur de peau et aux dimensions de leur sexe dès l'instant que celui-ci paraissait d'une hygiène et d'une propreté irréprochable.

Afin d'inciter les désirs des hommes à avoir des envies d'avoir des relations sexuelles avec moi, je mettais toujours un point d'honneur à me coiffer, me maquiller, et m'habiller non pas seulement comme une splendide jeune fille à la fois élégante et sensuelle, mais aussi comme une bonne grosse salope doublée d'une pute en prenant autant soin à mes dessus chics et sexy destinés à mettre en valeur mon corps de jeune adolescente comme par exemple en portant des mini-robes en vinyle moulantes qui ne couvrent que partiellement mes fesses accueillantes ou des mini-jupes en cuir de mêmes caractéristiques portées avec des chemisiers presque transparents aux profonds décolletés destinés à mettre en valeur mon opulente poitrine constituée d'une paire d'énormes faux seins en silicone dont le réaliste aussi bien au point de vu visuel qu'au toucher donne des envies à certains de mes clients de pratiquer de merveilleuses branlettes espagnoles. Quant à mes dessous je les choisis toujours chocs et affriolants en n'oubliant pas toutefois que leurs fonctions principales soient toujours en accords avec ce que j'attends d'eux comme par exemple les bonnets de mes soutiens-gorge et de mes guêpières qui en toutes circonstances doivent être capables de supporter sans défaillir le poids de mes énormes faux seins en silicone constituant mon opulente poitrine qui fait tant rêver les hommes. Il en est de même pour les fines jarretelles de mes guêpières ou de mes porte-jarretelles qui doivent assurer, sans défaillir, le maintien de mes fins bas noirs à couture bien alignés tout au long de mes longues jambes fuselées dont ils contribuent à en renforcer le galbe naturel en étant associés à une merveilleuse paire d'escarpins aux talons vertigineux pouvant atteindre les douze centimètres et parfois davantage lorsqu'ils sont associés à des semelles très épaisses appelés plates-formes dont l'épaisseur pouvant être proche de dix centimètres impose une augmentation de hauteur de talons en conséquences. (Personnellement je n'aime pas ce genre de chaussures, réservées aux drag-queens qui par leurs exagérations aussi bien au point de vu maquillage que vestimentaire dénaturent en caricaturant l'image que l'on doit se faire de la femme, que je trouve bien trop difficiles à porter à cause principalement de leurs poids beaucoup plus élevés).

Ainsi métamorphosé des pieds à la tête en une bonne grosse salope qui par sa soumission accepte de faire la pute auprès de nombreux hommes en incarnant le principal fantasme de ceux qui l'admirent, c'est à dire la ravissante idiote blonde à forte poitrine, grâce à d'autres artifices qu'une somptueuse perruque blonde qui me va si bien, je prends grand soin à me maquiller comme une prostituée en soulignant mes yeux afin de suggérer un regard de salope en allant jusqu'à mettre des faux cils, et aussi ma bouche extrêmement pulpeuse pour laquelle d'importantes quantités de rouge à lèvres intense sont nécessaires pour en agrandir l'effet pulpeux destiné à suggérer de prendre de nombreux sexes en bouches afin de leur prodiguer de merveilleuses fellations ou d'inoubliables gorges- profondes en les prenant délicatement dans mes mains dont les longs ongles sont eux aussi délicatement parés de rouge à ongles rappelant harmonieusement la teinte de mes lèvres.

Aussi quand je ne rends au travail, car pour moi tailler des pipes et me laisser enculer doit être considéré comme un travail comme un autre dès l'instant que celui-ci est rémunéré à sa juste valeur, ce qui dans le cas contraire comme par exemple un intermédiaire s'enrichissant sur mon dos en ne me laissant que des miettes, cela pourrait être perçu comme de l'exploitation sexuelle, c'est toujours avec entrain qu'avec de nombreux hommes qui sont aussi mes fidèles clients que j'ai de multiples relations sexuelles buccales et anales avec lesquelles je savoure particulièrement le fait de pouvoir avaler de très importantes quantités de sperme chaud et abondant directement en taillant des pipes sans utiliser de préservatif ou indirectement lorsque celui-ci à été récolté dans un bol, dont je lape intégralement le contenu rejeté jusqu'à la dernière goutte après m'être laissé sodomiser là-aussi sans utiliser de préservatif étant donné que c'est ce que souhaite l'intégralité de ma clientèle afin d'éjaculer en moi en toute liberté.

Ainsi il ne faut pas que je m'étonne si parfois après une longue nuit de débauche à satisfaire sexuellement des hommes qui m'ont payé pour cela, ou à la suite d'un ou d'une fin d'après-midi à avaler des bites ou me faire défoncer et bourrer le cul d'avoir les lèvres en feux et les fesses si endolories que j'ai bien du mal à m'asseoir. Mais il faut bien que je me fasse une raison, car je prends pleinement conscience que c'est pour une bonne cause en accomplissant un travail pour lequel aux dires de tous je suis devenu un expert malgré mon très jeune age qui ne m'a pas empêché de me perfectionner en suivant un stage de trois jours au sein d'une prestigieuse école de salope dans laquelle j'ai passé avec succès l'épreuve de rapidité et d'endurance consistant à pratiquer une relation sexuelle buccale ou anale toutes les trois minutes et ceci pendant une dizaine d'heures d'affilé, ce que depuis je n'ai jamais tenté de réaliser trouvant que dix par heure était largement suffisant afin de satisfaire la totalité de ma clientèle en allant quand cela devient nécessaire pour gagner du temps d'avoir simultanément une bite en bouche et une dans mon cul, et lorsque cela ne suffit pas deux, voire même parfois trois bites qui me sodomisent en profitant de mon gros cul qui n'est pas aussi resserré que cela veut bien le laisser paraître.

Aussi en me montrant habituellement assez actif, même lorsque je me fais volontiers sodomiser ou enculer, si vous ne voyez pas la différence reportez-vous au petit manuel du savoir-vivre avec une femme ou un travesti où l'on recherche du plaisir à éjaculer en eux, je prends aussi beaucoup de plaisir en me montrant intégralement soumis aux désirs de mon ou de mes partenaires sexuels qui sont avant tous mes clients que je dois pleinement satisfaire sexuellement.

Car en effet, sodomiser avec amour c'est avant tout prendre du plaisir anal tout en donnant à sa ou son partenaire en se souciant de ce qu'elle ou il ressent afin qu'en ne la ou le faisant pas souffrir cela soit un plaisir partagé, alors qu'au contraire enculer brutalement une femme ou un homme c'est avant tout prendre son plaisir sans se soucier de ce qu'elle ou il ressent, en ignorant et en ne tenant pas compte de toute douleur ressentie par votre partenaire dès l'instant que vous éjaculer en toute liberté sans utiliser de préservatif la totalité de votre sperme chaud et abondant au plus profond de son rectum.

Ainsi dans des nuits où je suis loué, il m'arrive de devoir me soumettre à des désirs ayant tendance à être assimilés  à des actes sadomasochistes en étant consentant pour être immobilisé face à une croix de saint André en offrant mon cul à tous ceux qui désirent me sodomiser à la chaîne sans que j'aie la possibilité de mes vider le rectum des excès de sperme chaud et abondant éjaculés en jets puissants. Il en est de même lorsque sur le ventre je me retrouve ficelé sur une table les mains dans le dos avec la bouche et les fesses dépassants à chaque extrémité afin de faciliter l'intrusion des nombreuses bites désirant y éjaculer les unes à la suite des autres sans que je puisse me dérober en étant forcé à avaler tout an ayant l'anus débordant de sperme. C'est pour cela que dans ces deux configurations que j'apprécie autant l'une que l'autre, de même que mes sodomisateurs qui ont le bonheur de pouvoir me pénétrer l'anus sans utiliser de gel intime en comptant uniquement sur la lubrification naturelle due à leurs prédécesseurs, il m'est accordé une pause de temps en temps lorsqu'il y a des débordements de sperme afin que je puisse me vider le rectum dans un bol et d'en laper l'intégralité du contenu afin de ne rien laisser perdre après m'être laisser volontiers enculer sans discontinuer, comme lorsque je taille des pipes à la chaîne où là le problème ne se pose pas car il est tout à fait naturel que j'avale tout le sperme onctueux qui me passe à porté de bouche.