Dimanche 8 janvier 7 08 /01 /Jan 14:52

Depuis presque six ans où je consacre la grande majorité de mon temps à me rendre dans les foyers de travailleurs émigrés noirs et arabes où je ne me fatigue pas d'enchaîner les fellations et gorges profondes ainsi que de me laisser volontiers sodomiser pour un euro symbolique destiné à couvrir mes frais de préservatifs et de lubrifiant intime, depuis plus de six mois, il serait tant que je vous donne de mes nouvelles.

Ainsi en rappelant qu'au cours d'une journée bien remplie il peut m'arriver, en faisant comme une sorte d'abatage à jouer un rôle de prostituée, de satisfaire pleinement une centaine de relations sexuelles buccales et anales avec une clientèle qui attend impatiemment mon prochain passage afin de pouvoir à nouveau se vider les couilles en moi, c'est très souvent avec mes sphincters anaux excessivement distendus et la bouche en feu que je rentre chez moi fier du bon travail que j'ai accompli.


Bien sûr depuis que je suis secondé par ma copine Claire, une vraie femme à la poitrine refaite faisant un bon cent cinq E, qui n'hésite pas à offrir son vagin fortement distendu par la très grande quantité de très grosses bites qu'elle à eu l'occasion d'inviter à défoncer et bien sûr pour ceux qui se trouvent intéressés afin d'éjaculer librement sans préservatif entre ses gros seins à leur faire des branlettes espagnoles en fin de journée juste avant de prendre une douche, je me sens un peu moins débordé étant donné qu'il existe une multitude d'hommes qui se trouvent plus attirés sexuellement par une vraie femme que par un travesti même si ce dernier a apparemment tout ce qu'il lui faut pour paraître le contraire. Avec elle nous avons créé une association à but non lucratif destinée à promouvoir notre action dans de nombreux foyers de toutes régions avec l'aide d'équipes de volontaires voulant rendre service en acceptant comme nous d'avoir des relations sexuelles buccales et anales avec des expatriés n'ayant plus aucunes attaches pour les satisfaire en servant de vides-couilles bénévoles pour un euro symbolique destiné à couvrir nos frais de préservatifs, de gel intime et de mouchoirs en papier nécessaire à chaque client.


Ainsi en taillant allégrement des pipes et en nous laissant volontiers enculer à tout va, nous contribuons au bien-être de ceux qui n'ont personne pour les soulager sexuellement et pour cela qu'ils nous sont reconnaissants au point pour certains de nous aider dans notre tâche en organisant nos activités sexuelles en se chargeant de distribuer les préservatifs et d'encaisser l'euro symbolique de chaque passe qu'ils planifient pour nous afin de nous faire perdre le moins de temps possible entre deux clients venants rapidement se vider les couilles en nous.


Ce qui a pour conséquences bénéfiques c'est qu'à peine une bite vient d'éjaculer en nous par préservatif interposé afin de ne pas risquer de nous retrouver contaminés par une maladie sexuellement transmissible telle que le sida ou la syphilis que sans le moindre moment de repos une autre vient immédiatement prendre sa place avec parfois des problèmes de fatigues passagères lorsqu'il s'agit d'enchaîner les fellations et les gorges profondes ce qui ne se produit pas bien au contraire lors de sodomies à répétitions où il suffit que de se laisser volontiers enculer en attendant que ça se passe.


Aussi sans nous en rendre compte, en ayant l'impression que c'est toujours la même bite qui nous défonce le cul nous enchaînons les sodomies à répétitions plus facilement que les fellations et les gorges profondes durant lesquelles nous avons tendance à nous fatiguer lorsque parfois nous atteignons la demi-douzaine les unes à la suite des autres. C'est pour cela que lorsque cela est possible nous aimons bien alterner les relations sexuelles buccales et anales que nous ne sommes pas opposés à pratiquer simultanément lorsque nous en avons la demande.


Ainsi à force de tailler des pipes et de se laisser volontiers enculer par des noirs et des arabes particulièrement bien montés nous ne perdons pas toute notre dignité, bien au contraire puisque nous acceptons cela de plein gré pour le bien de tous bien que parfois comme dit l'expression en ayant plein le cul nous devons serrer les dents. Bien évidemment ce n'est qu'une façon de parler car nous devons toujours nous efforcer de ne jamais mordre la bite de nos clients par inadvertance.


Aussi comme nous l'avons appris lors de notre court séjour à l'école des salopes alors que nous n'étions pas encore sortis de l'adolescence, nous prenons pleinement conscience bien que cela ne soit pas écrit sur notre front que nous sommes là uniquement pour satisfaire les bons plaisirs des hommes qui ne nous considèrent uniquement comme étant des vides-couilles avec qui en ce qui me concerne prennent du plaisir à avoir des relations sexuelles buccales et anales, et pour ce qui est avec ma copine Claire, aussi bien évidement du sexe vaginal ou parfois entre ses gros seins à la poitrine refaite faisant un bon cent cinq E de merveilleuses et confortables branlettes espagnoles.


De toute évidence, en partant de ces principes, nous nous soumettons volontiers aux désirs sexuels des hommes auxquels nous rendons régulièrement des visites afin de leurs être agréables. Bien évidemment certains seraient plus entrains si nous acceptions de nous passer de préservatifs comme à l'époque de notre jeunesse où nous nous prostituons pour dix francs la passe, mais pour des questions d'hygiène et afin de ne pas perdre de temps pour nous nettoyer entre deux clients dont les envies sexuelles sont souvent pressentes, et surtout afin de ne pas prendre le risque de participer à des contaminations par des maladies sexuellement transmissibles telles que le sida ou la syphilis, pour la modique somme d'un euro, couvrant également les frais de lubrifiant intime et de mouchoirs en papier destinés à nettoyer les bites de toutes traces de sperme, nous préférons que nos clients et nous se protégiont comme il se doit.


Ainsi sans que l'on ait besoin de nous le rappeler, nous demandons à ce que dans chaque chambre où nous avons des relations sexuelles qu'il soit mis à notre disposition une petite poubelle de cuisine ou de salle de bain avec couvercle, afin de recueillir les préservatifs et les mouchoirs en papier usagés qui à aucuns moments devront se retrouver éparpillés afin qu'en maintenant les lieux dans leur propreté originelle, nous soyons toujours les bienvenues en rapport avec l'administration des foyers qui ferme les yeux afin de nous accueillir pour le bonheur de leurs résidents.


Bien naturellement tout ceci doit se passer avec la plus absolue discrétion et réserver cet arrangement aux résidants en ne faisant aucune publicité à l'extérieur destinée à faire venir des personnes n'étant pas résidentes des foyers, ce qui pourrait être considéré comme étant la création de maisons de passes clandestines ouvertes à tous ce qui mettrait fin à notre activité étant reconnue par tous les bénéficiaires comme étant uniquement de bienfaisance à but non lucratif.


Dans le cas contraire si cela venait à être découvert par des agents de la police des moeurs, il serait fort probable qu'ils transmettent l'information aux services fiscaux qui ne tarderaient pas à évaluer nos revenus de prostituées pour une somme mirobolante basée sur plus d'une centaine de passes réalisées par jour, sept jours sur sept, en estimant les gains potentiels en fonction de la moyenne pratiquée par la majorité des autres prostituées qui est de cinquante euros pour une relation sexuelle buccale, c'est à dire une fellation ou une gorge-profonde, et de quatre vingt euros pour une pénétration vaginale ou anale. Bien évidemment de toute évidence cela aurait pour conséquence que le redressement fiscal exigé ainsi exigé par l'administration ne pourrait pas être honoré.

Ainsi n'étant pas en mesure de nous acquitter d'une pareille somme, après une saisie de nos biens, il pourrait être demandé à notre égard une contrainte par corps qui nous jetterait en prison pour plus ou moins longtemps.


Dans cette ultime hypothèse cela serait plus grave pour Claire puisque dans une prison pour femme elle ne pourrait plus avoir de relations sexuelles avec des hommes sauf bien sûr avec les rares gardiens masculins si ceux-ci sont demandeurs. De mon côté, ma réputation m'ayant précédé, même si je n'en éprouve pas expressément l'envie, les autres prisonniers sous peine de sévices corporels exigeront que je leur taille des pipes et que je me laisse volontiers enculer en ayant aucune compassion envers la bonne grosse salope qui n'attend que cela que je suis à leurs yeux, sans prendre la précaution d'utiliser de lubrifiant intime et des préservatifs, semblant ignorer que c'est parmi la population carcérale que l'on recense le plus important pourcentage de séropositifs.


Bien sûr ceci reste un cas extrême ainsi Claire et moi prenons toutes nos précautions pour que cela n'arrive pas en savourant tous ces moments où nous sommes très heureuses de pouvoir tailler de nombreuses pipes et de nous laisser pénétrer par une multitude de travailleurs émigrés résidants dans ces foyers réservés principalement à des noirs et des arabes que nous apprécions particulièrement pour leurs performances sexuelles qui parfois arrivent encore à nous provoquer de puissants orgasmes bien que nous puissions accorder rarement beaucoup plus de cinq minutes à chacun d'entre eux. Aussi il n'est pas rare qu'un orgasme ayant débuté avec un premier sodomisateur se prolonge avec un ou plusieurs suivants dès l'instant où ceux-ci enchaînent leurs pénétrations de façons pratiquement en continu nous faisant croire qu'il s'agit toujours de la même grosse bite qui nous pénètre.


Aussi lorsque nous faisons une petite coupure en dégustant quelques victuailles apportées par des résidants c'est toujours en nous demandant combien de sexes nous restent-ils à satisfaire en leurs permettant d'éjaculer librement en nous par préservatif interposé. Ainsi après une courte pose bien méritée, c'est avec un certain entrain que nous reprenons nos activités de prostituées à un euro symbolique afin de ne laisser aucun résident sur sa faim ayant envie de se vider les couilles en l'une d'entre nous, même si en plus d'y avoir passé une partie de l'après-midi et la soirée, nous devons faire une prolongation durant une partie de la nuit en étant satisfaites du travail toujours consciencieusement accompli dans la joie et l'allégresse.


Ainsi lorsque nous avons une bonne grosse bite en bouche à laquelle nous nous montrons heureuses de lui prodiguer une merveilleuse fellation ou une inoubliable gorge-profonde en prenant toutefois la précaution que l'éjaculation d'un sperme chaud et abondant ait toujours lieu par préservatif interposé depuis que la menace sida est potentiellement arrivée dans nos vies, il nous arrive d'avoir l'agréable surprise de ressentir une autre bite toute aussi grosse s'introduire entre nos fesses sans y avoir été invitée et surtout en absence totale de lubrifiant intime ce qui nous procure la sensation d'une bonne défonce.

Dans d'autres circonstances, quand cela est prémédité, c'est afin de gagner un temps précieux que nous acceptons volontiers d'avoir simultanément une bite dans la bouche et une ou plusieurs autres dans le cul afin de nous assurer, le plus rapidement possible, de pouvoir satisfaire sexuellement tous les résidents qui n'ont que cette occasion de pouvoir se vider les couilles sans trop avoir à débourser. Aussi lorsque nous acceptons des pénétrations multiples, c'est toujours en utilisant d'importantes quantités de gel intime afin de nous prémunir contre toutes mauvaises surprises qui auraient pour effet de nous rendre indisponibles pour quelques temps à cause d'une déformation prématurée et excessive de nos sphincters anaux.

Nos journées étant longues et cela sept jours sur sept, nous espérerions un peu de repos bien mérité sous la forme d'une autre équipe qui puisse nous remplacer de temps en temps, ce qui en plus aurait comme avantage pour les résidents de pouvoir découvrir de nouveaux vides-couilles afin de pouvoir y éjaculer leur sperme chaud et abondant par préservatif interposé, sans que cela n'altèrent ce service que nous leurs rendons gratuitement depuis de nombreuses années.

Ainsi en ayant une ou deux journées par mois de totale liberté, afin de ne pas perdre la main, nous pourrions continuer de façons moins contraignantes, à faire la pute mais cette fois ci de manière rémunérée en encaissant cinquante euros pour une fellation ou quatre vingt euros pour nous laisser volontiers pénétrer seulement une dizaine de fois par jour, ce qui serait bien différent avec le nombre de relations sexuelles buccales et anales, et aussi vaginales en ce qui concerne mon amie Claire qui avec son cent cinq E de tour de poitrine pratique aussi des branlettes espagnoles, pouvant parfois atteindre la centaine, ce qui avec le revenu complémentaire ainsi procuré est fort appréciable car à ce jour il n'existe pas de caisse de retraite pour les anciennes prostituées que nous sommes et n'ayant pas cotisées.

Aussi en attendant le jour où cela sera possible, ce que nous espérons le plus rapidement, nous continuons sans aucune retenue à tailler des pipes et à nous laisser pénétrer par de très nombreuses grosses bites de résidents noirs et arabes dont la majorité est particulièrement bien montée. Ce qui parfois arrive à nous sortir de notre routine quotidienne en nous procurant des orgasmes bien mérités surtout le plus souvent lors de relations sexuelles anales où pour nous rien n'est trop gros ni trop long en ce qui concerne les bites que nous aimons prendre dans notre cul pour de bonnes défonces que nous apprécions tant.

Par gwladys - Publié dans : gwladys - Communauté : gwladys travesti 60 ans
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