Vendredi 5 août 5 05 /08 /Août 11:02

Depuis tout le temps où mon bienfaiteur m'a installée dans un appartement me permettant de faire la pute en toute sécurité malgré mon tout jeune age d'un peu plus de dix ans, pour toutes les fins d'après-midi de dix sept à dix neuf heures en semaine où je devais satisfaire sexuellement au moins dix clients et tous mes samedis et dimanches après-midi de quatorze à dix neuf heures, de même que pendant les vacances scolaires où là je devais me montrer disponible pour servir de vide-couilles à au moins deux douzaines de mâles excités. Ainsi lorsque je venais de mon plein gré soulager sexuellement en leurs suçant la bite ou en me laissant enculer par des hommes bien montés qu'il m'avait sélectionné, d'un accord commun il devait toujours être le premier à pouvoir éjaculer son sperme chaud et abondant au fin fond de mon rectum, puis après cela je devais lui sucer la bite afin de faire disparaître toutes traces de sperme mélangées au lubrifiant intime utilisé pour m'enculer, ainsi que toutes particules de sécrétions anales c'est à dire d'excrément.

 

C'est seulement après cela que j'avais le droit d'offrir mon cul à mes nombreux amants sodomisateurs. Ainsi lorsque mes premiers clients se présentaient avant qu'il ne soit arrivé, je n'étais autorisé qu'à leurs prodiguer de merveilleuses fellations et d'inoubliables gorges profondes où pour avoir le droit d'empocher un supplément je devais avaler la totalité du sperme. Ce qui ne me dérangeait pas depuis que j'y avais pris goût.

 

Ainsi en étant sa merveilleuse petite pute docile et soumise comme il me le rappelait souvent, je n'avais pas le droit d'accepter ou de réclamer de l'argent aux hommes avec lesquels je faisais des passes en ayant volontiers des relations sexuelles buccales et anales. C'est lui qui me donnait mes dix francs pour chaque client avec un supplément d'également dix francs si j'avais avalé la totalité de son sperme, n'ayant pas à savoir combien ce dernier lui avait donné afin d'éjaculer en moi, c'est à dire au fond de ma bouche toujours extrêmement gourmande ou entre le petit trou intime et resserré situé entre mes maigres fesses volontiers accueillantes.

Par contre je pouvais accepter de petits cadeaux dès l'instant que ceux-ci étaient sans grande valeur comme par exemple un paquet de bonbons que je pouvais sucer à ma guise entre deux fellations, une pièce de lingerie ou bien une paire de bas destinés à être portés pour exciter ma clientèle et aussi des bijoux dit de fantaisie comme par exemple des bracelets ou des colliers, ou encore des bagues et des pendants à pinces pour oreilles non percées. Parmi les plus insolites et aussi les plus intéressés que j'ai pu recevoir, il faut citer une culotte fendue me permettant de me faire enculer sans avoir à l'ôter et un plug anal orné comme un bijou d'une pierre semi-précieuse synthétique brillante de couleur rose pâle à facettes que désormais je m'empresse de m'introduire dans l'anus en arrivant à l'appartement afin de laisser le soin à mon bienfaiteur de me l'enlever avant de me faire ma première sodomie de la journée qui comme toujours lui est réservée et dont il a bien sûr le privilège exclusif.

 

Pour tout cela, il exigeait que je sois toujours habillé en jeune fille court vêtue et maquillée comme une pute afin de faire oublier aux hommes qu'ils se farcissaient un jeune garçon qui aimait aussi bien les bites et le sperme autant que l'argent de poche que cela lui rapportait. Afin d'arriver à ce résultat, les week-ends et les vacances scolaires je disposais de plus de temps pour me métamorphoser en pute en n'hésitant pas à porter du verni aux ongles et des faux-cils.

 

En me rappelant souvent que je devais me montrer avec une propreté irréprochable, aussi bien au point de vue vêtements et sous-vêtements que corporelle, je devais changer de culotte ou de string à chaque fois que malencontreusement des tâches de sperme s'y étaient déposées suite à une sodomie où mon cul avait débordé. Ainsi en étant prévoyante, j'avais toujours à portée de main une boîte de tampons périodiques de taille maxi, dont à chaque fois qu'un client éjaculait des flots de sperme chaud et abondant et qu'il ne désirait pas que j'en expulse une grande partie dans un bol que je n'avais plus qu'à laper jusqu'à la dernière goutte, afin d'éviter tout débordement je n'avais plus qu'à m'introduire un tampon périodique entre les fesses afin d'en absorber les excès de sperme en n'ayant plus qu'à l'ôter avant chaque nouvelle sodomie après laquelle j'utilisais si nécessaire un nouveau tampon. Il en était de même si mon chemisier se retrouvait également taché de sperme. Dans tous les cas, après un rapport sexuel je devais m'essuyer la bouche ou les fesses avec un mouchoir en papier et éventuellement faire une retouche de maquillage, principalement remettre du rouge à lèvres après en avoir perdu sur la bite d'un client en la suçant.

 

 

Dans le même ordre d'idée, bien qu'en étant très absorbée en jouant un rôle de très jeune fille faisant la pute en ayant avec de nombreux clients de multiples relations sexuelles buccales et anales, je n'étais pas à l'abri d'un accident lorsque je me trouvais excessivement excitée en taillant une pipe ou en me laissant volontiers sodomiser d'avoir malencontreusement une érection pouvant aller jusqu'à une éjaculation devenant souiller ma culotte ou mon string. Bien évidemment après un pareil incident il ne me restait plus qu'à changer de culotte ou de string avant de poursuivre mes activités de jeune prostituée comme si rien n'était. Pour éviter cela, sur les conseils de mon bienfaiteur, immédiatement, tous les jours avant de me rendre à l'appartement, je me faisais un petit plaisir solitaire afin d'éjaculer ma première dose de sperme de la journée qui vue ma maturité sexuelle n'avait aucun risque de se renouveler de si tôt lorsque je me trouvais occupée avec un client.

 

Aussi j'avais toujours l'interdiction formelle d'embrasser un client sur la bouche, et aussi sur la joue lorsque après une fellation j'avais la bouche débordante et ruisselante de sperme. De même il n'était interdit d'avoir des relations avec la clientèle en dehors de celles tarifées dans l'appartement et d'y entretenir d'autres relations en dehors, et aussi de me laisser toucher mon sexe dont je devais absolument tout faire pour en faire ignorer l'existence et la nature, contrairement à ma bouche toujours extrêmement gourmande entourée de mes lèvres pulpeuses abondamment maculées de rouge intense et le petit orifice intime situé entre mes deux grosses fesses toutes aussi accueillantes et rebondies qui ne se rassasient jamais de bites et de sperme que je dois avaler afin de procurer à mes clients une jouissance maximale.

 

 

Ainsi avec la clientèle il m'était aussi interdit d'avoir de longues conversations qui auraient inévitablement pour effet en me faisant perdre du temps pour effectuer ce que je suis payée en tant que jeune pute et ainsi me faire prendre du retard dans le planning sexuel que mon bienfaiteur avait organisé pour moi en ne m'accordant que dix minutes par client pour le faire éjaculer son sperme chaud et abondant aussi bien dans ma bouche gourmande qu'au creux de mes fesses volontiers accueillantes. En revanche, lorsque je n'avais pas la bouche pleine, ce qui aurait été aussi bien impoli que peu pratique, je pouvais avoir des paroles douces avec mon amant présent en le félicitant sur les performances, les dimensions et le plaisir qu'il me donnait avec son sexe avant de me précipiter de passer au suivant.

 

Il est aussi intransigeant en ce qui concerne mes bas, surtout lorsque ceux-ci sont noirs à coutures dont celles-ci doivent toujours être parfaitement alignées verticalement tout au long de mes longues jambes fuselées dont ils renforcent le galbe naturel. Pour cela il ne supporte pas de me voir avec un bas filé en me faisant toujours remarquer que je me fais suffisamment d'argent en prenant des bites en bouche et dans mon cul pour pouvoir dépenser quelques francs par jour pour l'achat de bas fins.

 

Il est aussi très à cheval sur la ponctualité et ainsi il veille qu'en semaine je sois présente à l'appartement de dix sept heures à dix neuf heures en me laissant environ dix minutes pour m'habiller et me maquiller en fille sexy. De même il m'accorde aussi dix minutes pour redevenir un jeune garçon devant rentrer chez lui après avoir eu la bouche en feu et le rectum rempli et débordant de sperme chaud et abondant. Pour ce qui est des samedis, dimanches et des vacances scolaires, comme ensemble nous l'avons convenu, je dois être présente de quatorze heures à dix neuf heures. Ainsi lorsque je suis en retard, pour me faire comprendre et me le rappeler en me punissant, il me sodomise sans prendre la peine d'utiliser un lubrifiant intime afin que j'en ressente quelques douleurs.

 

De même organisant méticuleusement mon emploi du temps afin que je puisse me faire sodomiser ou sucer un nouveau client toutes les dix minutes, ce qui dans la majorité des cas était largement suffisant pour me remplir la bouche ou le cul de sperme chaud et abondant, mon bienfaiteur et aussi souteneur savait me rappeler à l'ordre lorsqu'il se produisait un léger dépassement. Aussi sans qu'il ait à m'en faire empressement la demande, spontanément je me rendais dans la pièce à vivre servant aussi de salle d'attente à ma clientèle pour demander s'il y n'y aurait pas deux hommes qui seraient intéressées par faire une doublette avec moi. C'est ainsi que bien souvent ma proposition devenant intéressante, je me retrouvais dans la chambre avec simultanément deux bites en moi, c'est à dire une dans ma bouche et une dans mon cul, prêtes à y éjaculer simultanément afin que je puisse rattraper le retard pris sur mon planning qui avait été organisé par mon protecteur.

 

Aussi bien qu'en me confiant à lui en lui affirmant que cela ne me déplaisait pas, bien au contraire de sucer une bite pendant qu'une autre me défonce le cul, ce qui avait pour but et conséquence d'exciter davantage certains clients, il ne m'imposa jamais rien de la sorte me laissant le libre choix et l'initiative d'en faire la proposition à la clientèle pouvant éventuellement être intéressée.

Par contre, afin de faire patienter la clientèle et aussi de faire un choix, parfois difficile sur la manière dont ils allaient éjaculer en moi leurs puissants jets de sperme chaud et abondant, mon bienfaiteur avait fait installer un téléviseur et un lecteur VHS diffusant en permanence toute une compilation de séquences où l'on peut me contempler en train d'avoir de multiples relations sexuelles buccales et anales avec de nombreux hommes qui se succédaient pour que je leur serve de vide-couilles. Les scènes qui sont les plus appréciées sont de loin celles où j'ai simultanément un sexe en bouche pendant qu'un autre, voire même deux et parfois trois se trouvent dans mon cul. Bien évidemment toutes ces séquences il les a filmées avec mon consentement, sans qu'à aucun moment je puisse penser que cela pourra se retourner contre moi comme par exemple en me menaçant de les montrer à mes parents si subitement il m'arrivait de vouloir rompre brusquement le contrat tacite qui nous unit.

Pour ce qui est de cet éventuel chantage, je n'avais rien à craindre car j'étais devenue tellement accroc aux bites et au sperme chaud qui s'en écoulait si abondamment dont je me délectais, que je ne risquais pas d'avoir envie d'abandonner ce qui était devenu ma raison de vivre en plus de me procurer d'importants revenus. Par contre ce que je craignais le plus, c'est que malgré que je sois toujours bien coiffée, bien maquillée et bien habillée comme une splendide et adorable jeune fille à la fois élégante et sensuelle qui apporte énormément de plaisirs à ses clients, que je sois reconnue par l'un de ceux- ci s'il y avait parmi eux un proche de mes parents qui ne seraient sûrement pas contents d'apprendre ce que je fais pendant mes heures de liberté.

Pour des questions de confidentialité les visages d'aucuns de mes clients et devenus acteurs n'y sont visibles.

 

En dehors de ces vidéos promotionnelles, rien ne m'est imposé en me permettant de faire mon libre choix tout en respectant les désirs de ma clientèle dès l'instant où ceux-ci ne m'obligent pas à subir des actions contraignantes comme par exemple me laisser mettre plusieurs doigts dans le cul pour aboutir finalement à une séance de fist-fucking qui monopoliserait plus de temps que j'en aie à accorder. En revanche lorsque j'ai une bite en bouche, je peux parfaitement, afin de réduire sensiblement, en l'excitant davantage, le temps de jouissance de mon partenaire sexuel, le laisser introduire un doigt dans mon cul excessivement bien lubrifié par le sperme si généreusement déposé librement sans aucune retenu de précédents clients.

 

 

Par contre où je suis entièrement libre d'accepter ou rarement de refuser tous les actes sexuels qui me sont proposés, c'est lorsque mon bienfaiteur me loue, en dehors de l'appartement, pour toute une nuit où je suis censée dormir chez un copain, à un groupe d'hommes avec lesquels de dois me montrer très gentille et surtout complètement soumise, qui pour une somme forfaitaire importante pouvant être égale à ce que je gagne en une semaine, peuvent disposer de moi à leur guise dès l'instant où ils ne désirent pas pratiquer avec moi des actes violents ni dégradants comme par exemples des actes sadomasochistes ou bien encore ayant rapport avec de l'urologie ou de la scatologie. Pour cela, je dois me rendre à ces rendez-vous en étant la plus sexy et désirable possible sans oublier de prendre avec moi un tube de lubrifiant intime que je n'utilise que pour les premières fois où je me laisse volontiers enculer car ensuite c'est la lubrification naturelle faite par le sperme qui fait son effet sauf bien sûr en cas de pénétrations multiples simultanées, des mouchoirs en papiers destinés à nettoyer méticuleusement les sexes de mes amants après chaque rapport sexuel et une provision de tampons périodiques de taille maxi que je dois me servir en m'en introduisant un dans le cul entre deux sodomies afin d'éponger les surplus de sperme pouvant dégouliner de mon anus dont les sphincters sont devenus distendus.

 

Alors en allant faire la pute à domicile pendant une dizaine d'heures d'affilées avec plus d'une vingtaine d'hommes à satisfaire sexuellement qui déverseront chacun trois ou quatre fois leur sperme en moi, je m'assure d'avoir la satisfaction d'être bien nourrie de sperme abondamment avalé, ainsi que d'avoir le rectum tellement lubrifié que tout gel intime devient superflu. Par contre même si à la suite d'une multitude de fellation où j'ai tout avalé, je n'ai pas l'impression d'en avoir une indigestion, de même que si j'ai le cul bien rempli, en ayant toutefois comme la sensation d'avoir presque des difficultés à pouvoir rester assise, étant satisfaite de ma nuit blanche, après m'être démaquillée et avoir changé de vêtement je suis prête à me rendre au collège afin de suivre studieusement ma journée de cours avant de rejoindre l'appartement pour avoir d'autres relations sexuelles buccales et anales avec les clients que m'envoie mon bienfaiteur, comme tous les jours de dix sept à dix neuf heures.

Bien entendu cela doit rester absolument confidentiel pas plus que je ne dois révéler l'existence de cet appartement et ce qui s'y passe, car dans le cas contraire il serait for probable que cela arrive à être connu des autorités policières ayant pour charge de contrôler les bonnes moeurs et de luter contre la prostitution enfantine, ce qui contituerait inévitablement de gros ennuis pour mon bienfaiteur qui pourrait être inculpé pour proxénétisme infantile et ainsi être mis en prison pour de longues années. Quant à moi, je me retrouverais interné dans un hôpital psychiatrique afin de me faire passer l'envie de continuer d'avoir avec de nombreux hommes de multiples relations sexuelles buccales et anales.

C'est principalement pour cette raison que je ne dois pas entretenir de relations particulières d'aucunes sortes soient-elles avec mes clients en dehors de celles que je suis payé pour faire la pute uniquement au sein de l'appartement sauf bien évidement lorsque mon bienfaiteur me loue à un groupe d'hommes, parfois plus d'une vingtaine, immensément généreux pour une nuit entière afin que je me montre extrêmement gentille sexuellement avec eux en satisfaisant tous leurs désirs sexuels en m'épanouissant pleinement dans mes fonctions de vide-couilles en mettant à leur disposition durant une dizaine d'heures ma bouche gourmande et des fesses accueillantes afin qu'ils puissent y éjaculer en toute liberté leur sperme chaud et abondant chacun leur tour ou même à plusieurs reprises s'ils en ont l'envie, ce qui peut parfois représenter beaucoup plus d'une cinquantaine de relations sexuelles au cours de la nuit.

 

De la même manière, depuis que j'ai fait un stage de trois jours dans une célèbre école de salopes où j'ai appris à satisfaire sexuellement approximativement un client toutes les trois minutes, soit une vingtaine par heure sans en éprouver la moindre fatigue ou deux cents au cours d'une nuit de dix heures sans discontinuer, mon bienfaiteur reçoit des demandes venant de patrons de maisons d'abatage se trouvant en quête d'une bonne jeune grosse salope pour remplacer d'une de leurs pensionnaires plus âgée se trouvant momentanément pour une nuit dans l'impossibilité d'assurer son service de vides- couilles. Ainsi afin de leur donner entière satisfaction en prétextant aussi dormir chez un copain, je dois me rendre disponible de vingt heures trente à six heures trente afin d'avoir des relations sexuelles buccales et anales à raison d'une toutes les cinq ou quatre minutes, ce qui représente entre cent vingt et cent cinquante fois où je dois tailler des pipes en avalant de grandes quantités de sperme chaud et abondant ou je me laisser volontiers enculer également sans utiliser de préservatif en me soulageant souvent dans un bol dont je dois laper l'intégralité du contenu, pour un forfait de mille cinq cent francs ce qui représente une équivalence supérieure avec ce que je gagne en une semaine passée à l'appartement.

 

Ainsi pendant le temps que j'y passe, je dois participer à la propreté de l'appartement en ne laissant rien traîner aussi bien dans la salle de bain où je me maquille que dans la chambre avec un grand lit, où j'ai la plupart de mes ébats sexuels, qui doit être toujours impeccablement ordonnée avec une commode ainsi qu'une grande armoire mises à ma dispositions pour y ranger mes affaires personnelles. La seule chose que je suis autorisée à laisser traîner c'est la boîte de mouchoirs en papier dont je dois impérativement me servir pour essuyer le sexe des clients après toutes relations sexuelles aussi bien anales que buccales. M'étant interdit de laisser traîner n'importe où les mouchoirs et aussi mes tampons périodiques de taille maxi usagés, il a été mis à ma disposition deux petites poubelles avec couvercle rabattant, une dans la chambre et une dans la salle de bain, que je dois aller vider chaque jour dans l'un des containers à ordures de l'immeuble.

 

Lorsque j'utilise un bol afin d'y expulser le trop plein de sperme accumulé dans mon rectum qu'à la demande de certains clients je suis contrainte à avaler jusqu'à la dernière goutte, je dois aller le laver à l'eau chaude dans l'évier de la cuisine où après l'avoir séché avec un torchon propre devant être renouvelé tous les jours, comme les draps qui doivent aussi faire un passage par la machine à laver puis au sèche-linge comme la totalité des vêtements et sous-vêtements que j'ai été appelé à porter tout au long de la journée, je dois le remettre à sa place dans le placard de la cuisine qui lui est réservé.

 

Je dois aussi montrer une extrême politesse avec la clientèle qui me permet de bien vivre même si parfois il peut m'arriver d'avoir un différent avec un client que je dois respecter car il doit être considéré comme un roi auquel je n'ai pas le droit d'avoir des mots même si je pense et que j'ai envie de lui dire que c'est un enculé, car je suis mal placée pour cela car ne dit-on pas à juste titre en ce qui me concerne que c'est celui ou celle qui le dit qui l'est.

Je n'ai pas le droit de refuser un client dès l'instant que celui-ci a déjà réglé auprès de mon bienfaiteur le montant destiné à réserver soit ma bouche gourmande ou mes fesses accueillantes afin de pouvoir y éjaculer en toute liberté son sperme chaud et abondant que j'ai l'obligation d'avaler s'il a payé un supplément pour cela.

Il en est de même si je juge le sexe d'un futur client comme ayant des dimensions hors normes ne me permettant de le recevoir dans ma bouche extrêmement gourmande ou entre mes fesses volontiers accueillantes, car c'est seulement à mon bienfaiteur de pouvoir juger si une bite de noir ou d'arabe doit être acceptée par la bonne jeune grosse salope que je suis devenue et pour laquelle, dans mon planning, il me les réserve pour mes fins de journées lorsque mes sphincters se trouvent distendus par les sodomies qui ont précédé, afin de ne pas m'imposer des souffrances qui ont très peu de chances de se produire, étant donné ce que j'ai déjà enduré durant mon stage de trois jours dans une célèbre école de salope dont la réputation n'est plus à faire, où j'ai réussi à satisfaire avec ma bouche et mon cul plus de six cents clients ayant des bites de toutes tailles sans que cela ne me pose le moindre problème.

Ainsi c'est afin de me familiariser davantage avec mon statut de très jeune pute qui ne doit à aucuns moments se refuser sexuellement aux exigences des hommes, même si celles-ci au premier abord puissent me paraître déplacées, que mon bienfaiteur me fit faire un stage de trois jours au sein d'une école de salopes. Là, j'y appris beaucoup de choses qui me permirent de me perfectionner dans tout ce qui concerne l'art de pratiquer des relations sexuelles buccales et anales en toute sécurité sans utiliser de préservatif.

En premier lieu, je fus initié à l'effeuillage afin qu'en étant en mesure d'offrir à mes potentiels clients la vue d'un strip-tease sensuel et langoureux bien que limité dans la mesure où pour des questions pratiques, je ne peux pas me permettre d'ôter mon soutien gorge indispensable à la bonne tenue de mon opulente poitrine constituée d'une paire d'énormes faux seins en silicone qui restent tout de même autant réalistes visuellement qu'au toucher. Il en est de même en ce qui concerne ma culotte ou string que je suis bien obligé de garder afin de cacher ma vraie nature sexuelle. Pour ce qui est de mon porte-jarretelles, afin de maintenir mes fins bas noirs à coutures indispensables pour mettre en valeur le galbe naturel de mes longues jambes fuselées, il est aidé par une paire d'escarpins aux talons vertigineux de non pas huit centimètres comme j'avais l'habitude d'en porter, mais de douze centimètres comme il est exigé à l'école des salopes.

Aussi en compagnie d'apprenties salopes ou de putes de tous ages et plus ou moins confirmées désirant se perfectionner dont la grande majorité étaient des vraies femmes, avec l'aide de partenaires masculins étant là pour nous éduquer, en grande partie des hommes endurants et bien montés comme peuvent l'être des noirs africains ou des arabes, j'ai suivi attentivement tous les conseils qui m'ont étés donnés dans le but de me perfectionner. 

Ensuite j'appris à tailler des pipes et à prodiguer des gorges profondes de toutes les manières possibles qu'elles soient, en particulier sur la façon de gober aussi les testicules en guise de préliminaires et de maintenir le plus profondément la bite des clients dans ma bouche afin qu'au moment de leur ultime éjaculation celle-ci ait lieu directement au fond de ma gorge sans passer par mon palais.

Pour ce qui est des sodomies, je me suis familiarisé à toutes sortes de variantes surtout sur les façons de me trémousser et de présenter mes fesses afin que celles-ci restent les plus attrayantes possible comme par exemple lorsque je m‘assois sur les genoux d'un homme afin que la bite de celui-ci se trouve profondément insérée jusqu'au fin fond de mon rectum.

Ainsi après ce court séjour de trois jours qui me furent très profitables dans cette école si particulière, je repris mes activités de grosse salope en ayant l'agréable surprise de découvrir que mon bienfaiteur, pour me récompenser de ma bonne volonté de me perfectionner, m'avait gratifié de mes revenus comme si j'étais resté à l'appartement afin de me prostituer pour lui.

Aussi pour honorer cela et de lui démontrer les bienfaits de mon diplôme de salope fraîchement acquis, sans perdre de temps je lui fis part de mes désirs de lui montrer ce que j'avais appris. Ainsi en venant à l'appartement avec un quart d'heure d'avance, après m'être bien coiffé, bien maquillé et bien habillé comme une parfaite grosse salope qui n'a pas froid aux yeux, je lui fis un effeuillage dans les règles de l'art comme il m'avait été enseigné dans cette prestigieuse école dont la renommé n'est plus à faire. Ensuite après lui avoir gobé les couilles pendant de longues minutes, je pris son sexe en bouche en prenant soin, comme je l'avais appris, de l'enfourner profondément dans ma gorge afin qu'au moment de l'éjaculation je puisse avaler la totalité de son sperme chaud et abondant sans en avoir la moindre goutte en bouche. Ensuite une fois que mon bienfaiteur eut retrouvé sa vigueur sexuelle, comme je l'avais appris à l'école des salopes avec des initiateurs noirs particulièrement bien montés, je lui offris mon cul sans utiliser de lubrifiant intime comme nous en avions pris l'habitude précédemment. 

 

Après cette absence de trois jours, mon retour tant attendu fut très apprécié de ma clientèle impatiente de retrouver en moi le vide-couilles si apprécié et qui le sera certainement encore davantage grâce aux leçons suivies avec assiduité à l'école des salopes.

Aussi pour honorer cela et de lui démontrer les bienfaits de mon diplôme de salope fraîchement acquis, sans perdre de temps je lui fis part de mes désirs de lui montrer ce que j'avais appris. Ainsi en venant à l'appartement avec un quart d'heure d'avance, après m'être bien coiffé, bien maquillé et bien habillé comme une parfaite grosse salope qui n'a pas froid aux yeux, je lui fis un effeuillage dans les règles de l'art comme il m'avait été enseigné dans cette prestigieuse école dont la renommé n'est plus à faire. Ensuite après lui avoir gobé les couilles pendant de longues minutes, je pris son sexe en bouche en prenant soin, comme je l'avais appris, de l'enfourner profondément dans ma gorge afin qu'au moment de l'éjaculation je puisse avaler la totalité de son sperme chaud et abondant sans en avoir la moindre goutte en bouche. Ensuite une fois que mon bienfaiteur eut retrouvé sa vigueur sexuelle, comme je l'avais appris à l'école des salopes avec des initiateurs noirs particulièrement bien montés, je lui offris mon cul sans utiliser de lubrifiant intime comme nous en avions pris l'habitude précédemment. 
Ainsi n'ayant plus à craindre que son unique gagneuse se retrouve hors d'usage pour quelques temps à cause de trop grosses bites lui ayant défoncé le cul, mon bienfaiteur se trouve rassuré grâce aux expériences que j'ai eues à l'école des salopes avec des hommes noirs et arabes particulièrement bien montés qui lui ont appris à se laisser enculer sans lubrifiant intimes sans se poser de question, et désormais il ne refusera plus de mettre des hommes aux énormes sexes dans le planning de ceux qui pourront volontiers me prendre par le cul afin d'y éjaculer l'intégralité de leur semence sans me faire prendre le moindre risque. d'aucune sorte que ce soit.
Afin de fêter cela, mon bienfaiteur m'offrit un chemisier presque transparent au profond décolleté destiné à mettre en valeur mon imposante poitrine artificielle où il avait fait broder : "SALOPE EN LIBRE SERVICE". Ce chemisier je le portais le plus souvent possible avec une mini-jupe en cuir rouge couvrant à peine mes fesses où était implanté un plug anal, offert par un client pour qui mon cul avait beaucoup d'intérêts, auquel était accroché un petit écriteau indiquant : "SENS OBLIGATOIRE" que je possédais déjà depuis quelques temps et que je trouvais tout aussi rigolo de porter entre deux clients désirant m'enculer.
Pour cela comme je l'avais appris à l'école des salopes, par-dessus mes fines jarretelles qui maintenaient mes fins bas noirs à couture tout au long de mes longues jambes fuselées, dont en complément avec une paire d'escarpins aux talons vertigineux de désormais douze centimètres, ils en accentuaient le galbe naturel, je n'étais plus autorisé que de porter un mini string découvrant en grande partie mes fesses volontiers accueillantes laissées à découvert par une minijupe, afin de donner, à chaque fois que je faisais une apparition dans la salle d'attente, à mes potentiels clients des envies de sodomies qui pour certains qui ne peuvent pas attendre auront lieu sur place à la vue de toute la clientèle ravie de ce spectacle très excitant.
Après cette absence de trois jours, mon retour tant attendu à l'appartement fut très apprécié de ma clientèle impatiente de retrouver en moi le vide-couilles si apprécié et qui le sera certainement encore davantage grâce aux leçons suivies avec assiduité à l'école des salopes.

Durant presque six années qu'a duré notre collaboration, il m'a demandé de faire régulièrement tous les trois mois une visite médicale approfondie afin de s'assurer que je n'avais pas de lésions graves au niveau du rectum et ne pas avoir contracté une maladie sexuellement transmissible telle que la syphilis, ce qui bien sûr pour une période plus ou moins longue aurait mis fin à ma carrière de jeune prostituée, sachant qu'à cette époque le sida étant encore inconnu il pouvait être superflu d'utiliser des préservatifs. Ainsi au docteur je ne lui avoua pas que je faisais régulièrement la pute mais qu'occasionnellement il m'arrivait d'avoir des relations homosexuelles. Ces visites chez le médecin ayant pour but de me rassurer, et aussi par voie de conséquence aussi mon protecteur qui aurait ainsi perdu son unique gagneuse, se révélèrent toutes aussi rassurantes les unes que les autres n'ayant rien révélé de grave à par des sphincters anaux légèrement déformés. Mais cela il fallait bien m'y attendre car à force de me laisser enculer au minimum cinq ou si fois par jour tout au long de l'année cela n'avait rien de bien surprenant.

 

Par contre, il y a des choses qui ne m'étaient pas imposées mais uniquement conseillées, c'est de renouveler assez fréquemment ma garde robe afin que mes habitués ne ressentent pas un sentiment de lassitude. Pour cela, j'en avais les moyens qui devenant même excessifs ont fait qu'avec mon accord mon bienfaiteur m'a ouvert un compte en banque où il pouvait faire en mon nom des dépôts alors que seule moi pouvait y faire des retraits. Ainsi toutes les semaines il déposait régulièrement mes gains gagnés avec ma bouche et mon cul sur ce compte, en me laissant en totalité en espèce à ma disposition cinq cents francs en cas d'urgence pour subvenir à mes achats ordinaires.

 

Ainsi depuis que je me coiffe, me maquille et m'habille en fille, mon bienfaiteur m'autorise à venir me transformer le samedi matin à l'appartement afin de pouvoir aller faire du shoping au centre commercial en tant que fille, ce qui me permet plus facilement de faire des essayages de différents vêtements féminins sans attirer l'attention en prenant toutefois la précaution de ne pas m'habiller et me maquiller comme une pute mais bien au contraire comme une jeune fille sage qui vient dépenser son argent de poche en complétant avec soin sa garde-robe et en achetant aussi des produits d'hygiène et de maquillage.

Par contre pour des achats typiquement plus spécifiques comme par exemple une perruque blonde plus claire et aussi plus longue que celles que j'ai l'habitude d'arborer quotidiennement sur mon crane, ainsi qu'une paire d'énormes faux seins en silicone plus volumineux que ceux que j'ai l'habitude de porter, je me rends dans des boutiques spécialisées pour trouver mon bonheur afin d'incarner à merveille le fantasme de beaucoup d'hommes qui est la blonde idiote à forte poitrine qui accepte tous des hommes sans à aucun moment prendre le temps de réfléchir au conséquences que cela peut avoir. 

 

Étant une jeune pute docile et soumise, je dois naturellement tout accepter sexuellement des hommes qui viennent trouver en moi un parfait vide-couilles où ils peuvent éjaculer en toute liberté sans utiliser de préservatif à la condition expresse qu'ils n'aient pas de comportement déplacé comme par exemple après avoir déposé leur sperme dans ma bouche extrêmement gourmande ou entre mes fesses volontiers accueillantes, avant de se retirer d'uriner en moi ce qui me met mal à l'aise de me trouver forcée à avaler de la pisse dont je n'apprécie pas le goût et surtout la quantité très importante par rapport à plusieurs jets de sperme chaud et abondant dont je me délecte volontiers ou de me trouver contrainte d'aller en urgence aux toilettes afin de l'expulser. Quand un tel comportement se produit mon bienfaiteur tient à être immédiatement au courant afin de pouvoir faire remarquer à mon client indécent que cela ne se fait pas et surtout que cela me met mal à l'aise, et lui faire remarquer que si pareille attitude de reproduit il se vera contraint à l'avenir de ne plus faire partie de mes clients potentiels qu'il sera assez facile de remplacer étant donné qu'en tant que très jeune pute aux dires de ma clientèle je me suis fait une telle réputation que les demandes sont nettement supérieures à ce que je peux assurer.

 Bien évidement s'il s'agit d'un fidèle client je peux faire une exception et être consentante à ce qu'il urine en moi à plusieurs conditions c'est ce qu'il s'acquitte d'un supplément non négligeable et surtout qu'il aille uriner aux toilettes avant tout rapport sexuel qu'il soit buccal ou anal afin de s'assurer que la quantité d'urine que je devrais recevoir en moi ne sera pas trop importante. 


Moyennant tout cela je suis heureuse de vivre comme une pute qui prend beaucoup de plaisir à avaler de grandes quantités de sperme après avoir fait de nombreuses fellations et gorges profondes, ainsi que de se retrouver défoncée par des bites qui l'enculent en faisant déborder de sperme son cul accueillant.

 

Malgré tout cela, dès le début de notre collaboration avec mon bienfaiteur qui en réalité se comporte comme un souteneur amassant beaucoup d'argent en comptant sur ma bouche et mon cul, nous avons établi une règle qui est que l'intégralité de ma clientèle doit avoir une bite à la propreté irréprochable. Pour cela, avant chaque rapport sexuel avec moi, il examine méticuleusement chaque bite avant de l'autoriser de venir éjaculer en moi. C'est ma seule exigence à part bien sûr de recevoir mes gains régulièrement chaque fin de semaine.

 


Par gwladys - Publié dans : gwladys - Communauté : gwladys travesti 60 ans
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