A ne pas confondre avec en tailleuse violée! (j'aime bien ça!)
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A ne pas confondre avec en tailleuse violée! (j'aime bien ça!)
Ceci se passa lorsque j'avais quatorze ans. C'est en revenant du lycée que je rencontrai un homme, qui malgrès moi, devient très intime, plus que je pouvais le désirer, le temps d'un court instant.
Ainsi, tandis que je marchais, en allant vers le domicile familial, je traversais une portion de terrains anciennements vagues qui étaient en train de devenir une immense cité dortoir comme il en surgissaient autour de la capitale.
De nombreux immeubles sortaient de terre au milieu de nombreux monticuls de terre et de cabanes de chantier.
C'est en approchant une de ces dernieres, qu'un homme auprès de sa mobilette m'aborda poliment et me demanda si je pouvais l'aider à aller chercher une caisse qui se trouvait à l'ntérieur de la cabane.
Naivement je suivais l'inconu jusqu'à dans la cabane. Au milieu, il y avait une grande table en bois entourée par deux longs bancs également en bois qui devaient servir aux ouvriers du chantier pour se restaurer. Le long des paroies, il y avait des armoires métaliques devant servir de vestiaires. Mais au milieu de tout cela je ne vis pas de caisse.
En revanche, ce que je vis c'est que l'homme que j'accompagnais referma la porte derrière lui. Puis il s'aprocha de moi et ouvrit sa braguette pour en sortir un sexe dont je n'avais jamais vu de telles proportions. Il était en pleine érection.
Je me demandais où l'inconnu voulait en venir quand il me dit: "-Maintenant tu vas me branler jusqu'à que j'éjacule et tout se passera bien!"
Comme je ne me précipitais pas pour accéder à ses désirs il prit ma main et la posa sur son sexe et me le fit emprisoner fermement. Puis il me fit faire des va et vient tout le long de sa grosse bite.
Maladroitement, dans un premier temps, je m'executais avec un sentiment de dégout, puis au fur et à mesure de mes va et vient et sur les encouragements de l'homme qui me disait: "- c'est bon, vas plus vite!", je ne pensais plus qu'à en finir avec se supplice qui me faisais branler énergiquement un sexe comme je n'en avais jamais vu de pareil auparavent.
Enfin, ce qui devait arriver arriva, dans un profond ralement, l'homme éjacula abondament sur le sol de la cabane, de sa poche il sortit son mouchoir et s'essuillat le gland, puis remit sa grosse bite, qui l'était un peu moins depuis son éjaculation, dans son pantalon et referma sa braguette.
Puis il ouvrit la porte et se retira, et me laissant là, il enfourcha sa mobilette et disparu pour toujours.
Ainsi, j'étais seul dans cette triste cabane, où flotait une forte odeur de sperme, que je m'empressai de quiter pour rentrer chez moi sans demander mon reste.
Je ne revis jamais l'homme, pas plus que pareille mésaventure ne se reproduisa, mais ce qui est sûre c'est qu'il n'y avait pas de caisse à transporter!
Aussi, maintenant que j'y pense, l'homme aurait pu me demander de lui faire, ce qui aurait été une première fois, une fellation et peut être pire encore forcer à avaler un abondant jet de sperme. A moins, encore pire, malgrès que cela n'aurait pas été la première fois, qu'il me sodomisa avec sa bite largement plus grosse et longue que celles de mes camarades de jeu lorsque j'avais neuf ans.
Au fond, à bien y refflechir, je ne m'en suis pas si mal tiré!?
Il n'y a pas que la vie que je vois en rose, il y a aussi les b...s !
Eh oui le violet me va si bien, mais être violée, je supporte moins bien!
Je n'ai pas de photo de cette époque, mais je vais tout vous raconter.
Ceci se passa lorsque j'avais onze ans. C'est en explorant, pour la première fois, le grenier de la maison familliale que je fis des découvertes qui eurent une grande importance pour ma vie future. En effet, sans cette journée, je crois que je ne serais jamais devenu ce que je suis aujourd'hui, c'est à dire un travesti.
Mais revenons aux découvertes si importantes qui changérent ma vie. Au milieu de tout le bazar que peut contenir un grenier, je trouvais deux choses qui attirerent mon regard.
En premier, il y avait un grand miroir qui refletait mon image de jeune garçon, mais pas pour longtemps!
En second, chose plus importante, il y avait une petite valise. Par curriosités, j'entrepris de l'ouvrir, et là, à ma grande surprise, je decouvris des vétements et des sous-vétements de femme.
Ma mére nous ayant quité mon pére et moi, alors que j'avais huit ans, dans sa précipitation pour courir dans les bras d'un autre homme, elle avait oublié cette valise.
Inventoriant ma trouvaille, je fut attiré par une parrure de dentelles rouges et noires se composant d'une culotte, d'un soutien-gorge et d'un porte-jarretelles que je mis de côté. Puis je sortis une paire de bas noir avec coutures.
Comme vétement, je choisis une robe Vichy rose sans manche.
Il ne me restait plus qu'à me déshabiller pour me travestir en femme et ainsi m'admirer devant le grand miroir.
Une fois déshabillé, avec bien du mal et de maladresses, je mis le soutien-gorge et je me regardis dans la glace. J'étais assez content de moi, mais une chose me choquais: je me trouvais un peu raplapla. Aussi une idée de vient, il fallait trouver de quoi faire du rembourage pour compenser mon absence de seins.
Avec un peu d'immagination, je sortis de la valise plusieurs paires de bas couleur chair que je roulais en boule avant de les introduire à l'intérieur des bonnets de mon soutien-gorge. Un bref coup d'oeil dans le miroir me fit apprécier le resultat qui n'était pas si mal que cela. (Bien des années plus tard, j'eus recourt à cette même méthode pour simuler la poitrine que je n'avais pas avant de m'acheter des merveilleuses et volumineuses prothéses en silicone)
Puis ce fut au tour de la culotte de venir orner mon corps. Cela ne posa aucun probléme car à part sa petite taille il n'y avait pas de grandes différences avec mes slips de garçon.
Il me restait plus qu'à enfiller la paire de bas et d'y ajouter le porte-jaretelles pour les maintenir tendus sur mes jambes.
Dans un premier temps, je pris un bas entre mes deux mains et j'essayais de l'enfiler mais je n'y arrivais pas, alors j'entrepris de le rouler entre mes doigts comme une chaussette et là, à ma grande surprise, j'y arrivais mieux. Mais je n'étais pas très content du résultat obtenu. En effet la couture n'était pas très droite, ce qui me donnait une allure de saussicon.
Aussi, j'entrepris d'enlever le bas et de recommencer. C'est ce que je fis et cette fois ci avec succes. Il me restait plus qu'à faire pareil avec le deuxième bas. Cette fois, j'y arrivais du premier coup et il me restait plus qu'a me battre avec le porte-jarretelles pour me retrouver parré de dessous féminins.
Aussi, sans attendre, mais toutefois après un bref coup d'oeil dans la glace qui me satisfait, je pris le porte-jarretelles à deux mains et je me le mis autour de la ceinture. Mais comme pour le soutien-gorge, j'eu des problèmes pour agraffer le porte-jarretelles dans le dos, aussi je le mis à l'envers et je l'agraffais sur le devant. Il me restait plus qu'à le faire glisser par le côté pour qu'il soit dans le bon sens.
Il me restait plus qu'a attacher mes bas. Mais avant cela je constatais que les jarretelles étaient trop longues. Je compris vite que cela n'était pas un problème et qu'il suffisait de faire coulisser les passants pour que les bas soient bien tendus. C'est ce que je fis, puis j'entrepris d'attacher les bas. Cela ne posa aucun problème. Aussi il me restait plus qu'a passer la robe en Vichy rose.
Mais avant, un dernier coup d'oeil dans la glace fut necéssaire pour m'assurer que ma tenue, en ce qui concernait mes dessous était correcte.
Pour enfiler la robe, cela se passa bien et je n'eu aucun problème.
Maintenant, bien que la robe était un peu trop grande pour moi, il me restait plus qu'a m'admirer en femme que j'étais devenu. Bien sur, il manquait pas mal de choses en particulier des chaussures, une perruque pour avoir des cheveux longs, des bijoux et un maquillage. Mais tout compte fait j'étais assez fier de moi et du résultat que me renvoyait mon miroir.
Pendant plusieurs années, je refis cette expérience, et c'est beaucoup plus tard, vers l'age de dix-sept ans que je me procurais de quoi me travestir completement avec faux-seins, chaussures, perruque, bijoux et maquillage que j'achetais petit à petit avec mon argent de poche qui fut entierement consacré à cela en plus d'autres dessous, paires de bas, robes, jupes et autres chemisiers.
C'est encore plus tard, vers dix-huit ans que je m'offris un sac à main afin de sortir en femme, puis encore plus tard, rencontrer des hommes afin, comme moi, de les satistaire sexuelement en commencant dans un premier temps par me faire sodomiser et plus tard passer aux fellations.
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