Partager l'article ! une mauvaise expérience! ( Gwladys travesti 60 ans ): Ceci se passa lorsque j'avais quatorze ans. C'est en revenant du lycée que je ...
Ceci se passa lorsque j'avais quatorze ans. C'est en revenant du lycée que je rencontrai un homme, qui malgrès moi, devient très intime, plus que je pouvais le désirer, le temps d'un court instant.
Ainsi, tandis que je marchais, en allant vers le domicile familial, je traversais une portion de terrains anciennements vagues qui étaient en train de devenir une immense cité dortoir comme il en surgissaient autour de la capitale.
De nombreux immeubles sortaient de terre au milieu de nombreux monticuls de terre et de cabanes de chantier.
C'est en approchant une de ces dernieres, qu'un homme auprès de sa mobilette m'aborda poliment et me demanda si je pouvais l'aider à aller chercher une caisse qui se trouvait à l'ntérieur de la cabane.
Naivement je suivais l'inconu jusqu'à dans la cabane. Au milieu, il y avait une grande table en bois entourée par deux longs bancs également en bois qui devaient servir aux ouvriers du chantier pour se restaurer. Le long des paroies, il y avait des armoires métaliques devant servir de vestiaires. Mais au milieu de tout cela je ne vis pas de caisse.
En revanche, ce que je vis c'est que l'homme que j'accompagnais referma la porte derrière lui. Puis il s'aprocha de moi et ouvrit sa braguette pour en sortir un sexe dont je n'avais jamais vu de telles proportions. Il était en pleine érection.
Je me demandais où l'inconnu voulait en venir quand il me dit: "-Maintenant tu vas me branler jusqu'à que j'éjacule et tout se passera bien!"
Comme je ne me précipitais pas pour accéder à ses désirs il prit ma main et la posa sur son sexe et me le fit emprisoner fermement. Puis il me fit faire des va et vient tout le long de sa grosse bite.
Maladroitement, dans un premier temps, je m'executais avec un sentiment de dégout, puis au fur et à mesure de mes va et vient et sur les encouragements de l'homme qui me disait: "- c'est bon, vas plus vite!", je ne pensais plus qu'à en finir avec se supplice qui me faisais branler énergiquement un sexe comme je n'en avais jamais vu de pareil auparavent.
Enfin, ce qui devait arriver arriva, dans un profond ralement, l'homme éjacula abondament sur le sol de la cabane, de sa poche il sortit son mouchoir et s'essuillat le gland, puis remit sa grosse bite, qui l'était un peu moins depuis son éjaculation, dans son pantalon et referma sa braguette.
Puis il ouvrit la porte et se retira, et me laissant là, il enfourcha sa mobilette et disparu pour toujours.
Ainsi, j'étais seul dans cette triste cabane, où flotait une forte odeur de sperme, que je m'empressai de quiter pour rentrer chez moi sans demander mon reste.
Je ne revis jamais l'homme, pas plus que pareille mésaventure ne se reproduisa, mais ce qui est sûre c'est qu'il n'y avait pas de caisse à transporter!
Aussi, maintenant que j'y pense, l'homme aurait pu me demander de lui faire, ce qui aurait été une première fois, une fellation et peut être pire encore forcer à avaler un abondant jet de sperme. A moins, encore pire, malgrès que cela n'aurait pas été la première fois, qu'il me sodomisa avec sa bite largement plus grosse et longue que celles de mes camarades de jeu lorsque j'avais neuf ans.
Au fond, à bien y refflechir, je ne m'en suis pas si mal tiré!?
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