Dimanche 4 juin 7 04 /06 /Juin 15:25
LES FOIS OÙ J'AI CRU NE PAS POUVOIR ASSUMER MON RÔLE DE PUTE.
Ainsi dès mes débuts en prenant bien à coeur d'assurer mon rôle de pute auprès des premiers hommes dont je fus confronté à leurs sucer la bite ou à leurs laisser me la mettre dans le cul pour dix francs jusqu'à temps qu'ils éjaculent leur sperme chaud et abondant sous forme de puissants jets, j'étais si fier des bons résultats que cela me faisait oublier le goût du sperme que j'avalais pour dix francs supplémentaires.
Cela dura depuis l'âge de dix ans où je fis connaissance de celui que je considérais comme étant mon bienfaiteur car en plus de m'avoir initié aux plaisirs des fellations et des gorges profondes ainsi que des sodomies pratiquées avec de très nombreux clients, il a toujours veillé à me procurer une clientèle régulière me permettant de bien vivre en assouvissant mes penchants en tant que relations sexuelles qu'elles soient buccales et anales jusqu'à l'âge de mes seize ans où notre collaboration prit fin, car nous convinrent d'un commun accord que je n'avais plus l'âge de jouer la très jeune pute que la clientèle appréciait pour sa fraîcheur, pour me lancer dans une toute autre carrière d'escort-girl débutante.
À mes débuts de très jeune pute, je fus d'abord initié par mon bienfaiteur qui me demanda de lui tailler une pipe afin de se rendre compte comment je pouvais assurer cette activité sexuelle. Comme c'était la première fois que je prenais une bite en bouche afin de ne pas me brusquer, il se contenta d'en introduire juste le gland entre mes lèvres puis progressivement d'y faire pénétrer une partie de la hampe afin que je resserre mes lèvres sur celle-ci jusqu'au moment où il éjacula un premier jet de sperme chaud et abondant que par surprise je ne pu faire autrement que de l'avaler, pour les autres je réussis à me maîtriser en gardant la précieuse semence en bouche pour ensuite l'avaler lorsque mon partenaire sexuel me fit part que si j'en avalais la totalité cela me rapporterait dix francs supplémentaires en plus des dix autres pour lui avoir permis qu'il me mettre sa bite en bouche.
Ce même jour pour ce qui est de ma première sodomie, car l'ayant informé que j'étais encore vierge du cul, pour m'y préparer, il m'introduisit un doigt dans l'anus en ayant pris la précaution de l'enduire d'une très importante quantité de lubrifiant intime. Puis jugeant que je me trouvais prêt à subir l'assaut final dans un premier temps il appuya son gland contre ma rondelle encore vierge en m'avertissant que si cela devenait à me faire trop mal je n'avais qu'à lui dire d'arrêter. Puis il le fit pénétrer dans mon anus, suivis d'une partie de sa hampe. C'est à ce moment que je ressentis quelques douleurs mais trouvant cela parfaitement supportable au lieu de lui demander d'interrompre ma première sodomie je lui fis part que j'étais d'accord pour qu'il s'introduise encore plus profondément au fin fond de mon rectum, aussi joignant le geste à la parole je passais une main derrière ses fesses afin qu'en appuyant dessus d'une légère pression je force mon sodomisateur à maintenir sa position pendant qu'il faisait faire à son sexe des allers et retours de plus en plus rapides et aussi de plus en plus en profondeur jusqu'au moment où comme il l'avait fait dans ma bouche précédemment il se vida de l'intégralité de son sperme. Puis il se retira et aussitôt il me demanda si je n'avais pas le désir d'expulser la précieuse semence d'en un bol afin d'en laper l'intégralité du contenu en me spécifiant que c'est une pratique très appréciée de ma future clientèle qui est prête à débourser dix francs supplémentaires pour cela. C'est ainsi que je lapais mon premier bol de sperme toutefois mélangé avec un peu de matière fécale.
C'est ainsi qu'après cette première sodomie d'incitation, mon bienfaiteur exigea de moi qu'avant de commencer toute séance de relations sexuelles buccales et anales avec les nombreux clients de désormais il me procurera chaque jour je devrai toujours lui accorder ma première sodomie. Ce rituel durera tout le temps de notre collaboration excepté pendant les trois jours où je fis un stage de remise à niveau dans une prestigieuse école de salope.
Ainsi dès le lendemain je fis connaissance de ma première clientèle à l'appartement où je devrai désormais jouer je rôle d'une très jeune pute en devant satisfaire sexuellement pour dix francs la passe qui était doublés si je consentais à avaler le sperme.
C'est ainsi que tous les jours de la semaine de dix sept heures à dix neuf heures je taillais des pipes et me laissais volontiers enculer comme une bonne grosse salope juste bonne à consommer des bites à la chaîne. Il en était de même pour les samedis et dimanches ainsi que pendant les vacances scolaires où je devais être à la disposition de mon bienfaiteur et surtout à la clientèle qu'il me procurait de quatorze heures à dix neuf heures. Durant les longues années qu'a duré notre collaboration, jamais je n'ai raté un de ces rendez-vous à me prostituer pour lui en étant coiffé, maquillé et habillé en fille sensuelle et sexy pour le plus grand plaisir de mes clients.
Au point de vue clients il m'était interdit d'en refuser car avant de me les présenter mon bienfaiteur s'assurait toujours qu'ils avaient la bite d'une propreté irréprochable. Aussi après seulement un mois que duraient nos petits arrangements, mon bienfaiteur me fit connaître mes premiers clients noirs et leurs bites aux dimensions hors du commun . Afin que je puisse les recevoir correctement en moi, il me prévint de cet état de fait en me disant que si je ne pouvais pas les introduire dans mon rectum je devrais me contenter de leurs tailler des pipes. Mais tout se passa parfaitement bien malgré au début quelques douleurs au niveau des sphincters que je n'ai pas eu beaucoup de mal à supporter grâce à d'importantes quantités de lubrifiant intime afin qu'ils s'écartent à leurs maximums pour laisser le passage à ces très grosses bites qui désormais ne me feront plus peur.
Par la suite afin de satisfaire un maximum de clients je me mis à accepter d'avoir une bite en bouche en même temps qu'une autre de défonce le cul, ce qui au bout d'un certain temps me fit accepter des pénétrations multiples en pratiquant des doubles anales puis ensuite même parfois des triples.
Au bout de deux ans que duraient notre collaboration mon bienfaiteur me demanda si je serai intéressé pour que je sois loué à un groupe d'hommes afin de passer toute une nuit avec eux de vingt heures à sept heures afin de me montrer très compréhensible et très ouvert à tous leurs désirs sexuels dès l'instant où il ne s'agit pas de sadomasochisme ni d'urologie ni de scatologie, en me spécifiant que cela me rapporterait autant qu'une semaine à me prostituer, mais pour cela il me faudrait trouver une bonne excuse pour ne pas rentrer pendant toute une nuit au domicile familial. Après quelques instants de réflexions et ayant trouvé comment passer une nuit hors de chez mes parents en leurs indiquant que je passerais une nuit chez un copain qui ne démentira pas mon alibi, je dis à mon bienfaiteur que je serai d'accord après avoir mis les choses au point avec le fameux copain.
C'est ainsi que pas plus d'une fois par mois, afin de ne pas éveiller des soupçons je me rendais à ces mystérieux rendez-vous où je taillais des pipes et me laissais volontiers défoncer le cul jusqu'au petit matin par un groupe d'hommes allant de dix à vingt personnes qui bien sûr comme pour toutes relations sexuelles se faisaient en toute liberté sans utiliser de préservatif pour éjaculer en moi. Ainsi se relayant dans ma bouche extrêmement gourmande cernée de ses lèvres pulpeuses abondamment maculées de rouge intense ou au creux du petit orifice intime mais toujours néanmoins resserré malgré les nombreuses bites qui auparavant ont déjà été invité à lui défoncer les sphincters, situé entre mes deux grosses fesses volontiers accueillantes et rebondies, tous ces mâles en chaleur déposent d'importantes quantités de sperme en moi qu'il me faut avaler directement ou indirectement par l'intermédiaire d'un bol, et ceci durant tout le temps que durera ma petite escapade sexuelle où tous les hommes seront invités à profiter de moi sexuellement plusieurs fois au cours de la nuit s'ils en ressentent l'envie. C'est ainsi qu'au petit matin ayant avalé de très importantes quantités de sperme et en ayant eu recours à plusieurs reprises à des tampons périodiques de taille maxi pour en absorber les excédents accumulés dans mon anus, après m'être métamorphosé en jeune garçon je reprends le chemin du collège afin de suivre difficilement mes cours de la journée à cause du manque de sommeil, avant de me rendre à l'appartement où m'attendent mon bienfaiteur et aussi les clients qu'il a sélectionnés pour moi.
Parfois lors de ces nuits sexuelles il y a des nuits à thème comme par exemple des nuits vouées uniquement aux fellations ou aux gorges-profondes ou encore celles uniquement dédiées à la sodomie. Parmi celles-ci il faut citer celles où je me trouve ligoté par les chevilles et les poignées sur une croix de saint André en étant soit sur le dos afin d'y accueillir sans pause toutes les bites qui désireront y éjaculer en toute liberté dans ma bouche gourmande en me forçant ainsi à avaler la totalité de leur sperme chaud et abondant. De même me trouvant ficelé sur le ventre, c'est mon cul qui cette fois sera offert à toutes les bites qui désireront s'y introduire afin d'y déposer leur précieuse semence jusqu'à temps que mon rectum déborde ce qui m'obligera à faire une pause afin d'éjecter les surplus de sperme dans un bol que je pourrai laper jusqu'à la dernière goûte avant de me remettre à accepter de nouveaux sodomisateurs.
Vers l'âge de treize ans mon bienfaiteur de fit faire un stage de remise à niveau dans une prestigieuse école de salopes où dès mon arrivée je fus jugé sur ma tenue et mon maquillage. De ce côté aux dires de la maîtresse de maison tout était parfait car il n'y avait rien à me reprocher si ce n'est que ma poitrine constituée d'une paire d'énorme faux seins en silicone fut jugée pas assez volumineuse pour correspondre aux fantasmes des hommes qui est de surcroît la blonde à forte poitrine. Une fois cela rectifié la maîtresse de maison me demanda de lui montrer comment je me comportais avec les hommes pour leurs faire des fellations et des gorges-profondes ainsi que de me laisser volontiers enculer. Étant satisfaite de mes performances elle me fit commencer mon stage de jeune salope proprement dite en me demandant d'avoir le plus grand nombre possible de relations sexuelles buccales et anales avec les clients du bordel qui accueillait son école de salopes. Devant mes performances sexuelles qui étaient tout juste d'un peu plus d'une dizaine de clients par heure, elle m'indiqua que je pouvais mieux faire pour atteindre l'objectif optimal de l'école qui est de vingt clients par heures et ceci sans discontinuer pendant toute une journée de dix heures et ceci sept jours sur sept afin de demeurer une très bonne gagneuse dont le maître pourra être fier à tous points de vue. Durant ce stage j'atteignis parfaitement cet objectif, mais de retours à l'appartement j'indiqua à mon bienfaiteur que désormais je serai en mesure de satisfaire une quinzaine de clients par heure sans que cela ne me pose de gros problèmes que je ne pourrai pas résoudre.
Fiers de tout cela mon bienfaiteur et moi qui avions déjà fait quelques petits films pornos où l'on pouvait m'admirer dans des compilations de mon savoir-faire en tant que relations sexuelles buccales et anales à diffuser dans la salle d'attente où j'exerçais mes talents de bonne grosse jeune salope se prostituant pour dix francs la passe et distribuées par des distributeurs de films pornographiques, nous nous demandèrent si nous ne pourrions pas réaliser de vrais films pornos tournés en situations réelles où je serais l'actrice principale telle que dans Gwladys bonne à tout faire, Gwladys au chantier, Gwladys à l'usine ou bien encore Gwladys à la ferme et cetera.
Ainsi dans le premier film où je devais jouer le rôle de la jeune fille au pair travaillant pour une bonne famille allant des petits enfants au grand-père j'étais particulièrement intéressé à toutes les paires de couilles dont il m'était possible de vider le contenu soit avec ma bouche toujours extrêmement gourmande soit entre mes fesses volontiers accueillantes. Aussi le grand-père comme tous les membres de cette famille bourgeoise, y compris la mère de famille qui à l'aide d'un gode-ceinture aux dimensions hors normes, n'avaient qu'un désir qui était de m'enculer le plus souvent possible en allant jusqu'à profiter de mon cul jusqu'à cinq fois par jour excepté le grand-père pour qui une fois suffisait largement à condition que je le suce longuement afin de le faire bander. Ce qui n'était pas le cas pour le père de famille pour qui toutes les occasions étaient bonnes pour me fourrer sa grosse bite dans le cul, en particulier pour me punir en me faisait comprendre que j'avais fait quelque chose de mal. Ayant pris goût à sa grosse bite qu'aussi il m'arrivait fréquemment de prendre en bouche pour lui prodiguer une fellation ou une gorge-profonde, pour précipiter les choses il m'arrivait parfois de faire exprès de faire une grosse bêtise afin qu'il me punisse en me la mettant dans le cul afin d'y éjaculer sous forme de puissants jets son sperme chaud et abondant, ce qui ne laissait pas la mère de famille sans réaction car à la suite de cela elle prenait un grand plaisir à m'introduire son énorme gode-ceinture dans le cul encore dégoulinant du sperme de son mari. Quant aux enfants du couple, en tant que bonne grosse salope à tout faire, je devais leurs assurer une éducation sexuelle digne de ce nom en permettant aux garçons de faire avec moi les mêmes choses que leur père et grand-père et aux filles de faire à leurs frères les mêmes choses que moi.
Pour ce qui est de Gwladys au chantier, contrairement où pour Gwladys bonne à tout faire, on a du faire appel à des acteurs professionnels pour jouer les rôles des parents des enfants étant comme moi à mes débuts de très jeunes putes débutantes dans le métier, on a eu qu'à trouver un chantier de construction où travaille une majorité de noirs et d'arabes bien montés à qui il a suffit de demander l'accord de leurs chefs afin de jouer leurs propres rôles en étant ravis de pouvoir se faire tailler des pipes par une bonne grosse salope comme moi et aussi de l'enculer afin de déverser en elle sans utiliser de préservatif leur sperme chaud et abondant par grands jets puissants. Aussi dans mon rôle de cantinière peu farouche, pendant les pauses je leurs apportais un sandwich et un café, certains trouvaient bon de me mettre la main au cul avec l'espoir que j'accepte l'invitation à me le faire défoncer. Ce qui dans la généralité des cas, pour les besoins du film se concrétisait dans une des baraques de chantier servant de vestiaire où avaient été installé des cameras afin d'immortaliser ces instants de débauche où parfois j'étais pris aussi en double voire parfois en triple pénétration anale avec simultanément une grosse bite en bouche à laquelle je taillais une pipe.
Quant au tournage de Gwladys à l'usine, ceci à été réalisé dans une entreprise où tous les employés ont trouvé cela comme étant une excellente aubaine de pouvoir participer à un film porno sur leur lieu de travail en ayant l'opportunité de pouvoir eux aussi se faire tailler des pipes par une bonne grosse salope et de l'enculer sans utiliser de préservatif et sans rien avoir à débourser. Ainsi jouant le rôle d'une ouvrière peu qualifiée mais prête à tout pour gravir les échelons, je multipliais les relations sexuelles buccales et anales avec de nombreux cadres de tous niveaux. Il en était de même avec mes collègues masculins que je sollicitais pour me faire remplacer à mon poste de travail lors de mes recherches clandestines de promotion durant lesquelles il m'arrivait parfois de m'absenter pendant plus d'une heure. Tout ceci m'avait donné une réputation de fille facile qui était prête à coucher avec n'importe qui dès l'instant où elle y trouvait son intérêt pour n'importe quoi dès l'instant où cela lui rapportait des avantages non négligeables. C'est ainsi que bien souvent je me retrouvais dans le bureau d'un cadre afin d'avoir avec lui une relation sexuelle dûment consentie ou également avec un collègue dans un vestiaire ou dans les chiottes afin de payer sexuellement une dette pour un service rendu.
Quant au dernier film intitulé Gwladys à la ferme c'est de très loin celui avec lequel nous avons eu le plus de difficultés à réaliser aussi bien en tant qu'équipe de tournage que mon rôle de la jeune fermière qui à pris beaucoup de plaisir à avoir des relations sexuelles buccales et anales avec le fermier et ses commis sans oublier les animaux qui eux aussi ont bien voulu se prêter à éjaculer en moi. Tout d'abord, cela a commencé lorsqu'en toute innocence j'ai voulu traire un taureau en prenant son gros sexe dans mes petites mains afin qu'en le branlant, il me donne tout son jus. N'arrivant pas à mes fins, comme la tétine d'un gros biberon je le pris ensuite partiellement en bouche et là après quelques minutes d'aspiration ma persévérance fut enfin recommencée lorsqu'il éjacula une très grande quantité de sperme que ma bouche toujours habituellement gourmande eut du mal à tout avaler dans sa totalité où à ma grande surprise bien qu'étant différent de celui des humains à qui je taille des pipes régulièrement, je ne fus pas déçu de sa texture et de son goût.
Peu après étant remise de mes émotions, lorsque j'aperçu un cheval dans de bonnes dispositions, une idée me vint à l'esprit, pourquoi ne pas lui offrir mon cul car après tout, à par la longueur de son sexe, il ne devrait pas être bien plus difficile à introduire dans mon anus que trois énormes sexes d'hommes noirs que j'accepte volontiers en triple pénétration. Sur ce fait après une ultime préparation en utilisant des plugs anaux de plus en plus gros, mes sphincters étant dilatés à leurs maximums, je me mis à quatre pattes devant lui en lui exposant mon postérieur qu'un assistant avait pris la précaution d'enduire d'une très importante quantité de lubrifiant intime. Un autre assistant fit approcher l'étalon de mon cul puis prit sa grosse et longue bite et en plaqua le gland en appui contre ma rondelle en le tenant à deux mains afin d'exercer une pression contre cette dernière. Au bout d'un certain temps d'hésitation, l'étalon se rendant compte de ce que l'on attendait de lui fit pénétrer en partie sur quelques centimètres son gros gland entre mes fesses volontiers accueillantes. Puis le gland pénétra entièrement à l'intérieur de mon anus, ce qui était le plus difficile à passer au point de vue épaisseur et se fut au tour des deux tiers de la hampe d'à peu près quarante centimètres de trouver sa place par des allers et retours saccadés excitant l'étalon jusqu'à ce qu'il éjacule en moi en m'inondant de sa semence comme il le fait habituellement dans le vagin d'une jument, ce qui nécessita l'emploi de plusieurs tampons périodiques de taille maxi pour éponger le surplus de sperme que mon anus ne pouvait pas garder en lui sans se répandre sur mon string en dentelle qui allait faire le bonheur du fermier et de tous ses employés que désormais j'allais inviter à m'enculer.
Aussi après m'être laissé enculer et aussi après avoir taillé des pipes à ceux qui le préféraient, il était tant pour moi de faire connaissance avec d'autres animaux de la ferme comme par exemple un âne avec qui je partageais autant de plaisir qu'avec le cheval, ainsi qu'un porc et un bouc qui ne furent pas dépaysés de délivrer leur précieuse semence ailleurs que dans le vagin d'un autre animal de leur espèce, tout comme avec le taureau une fois remis ne nos émotions je me montra consentant pour subir les mêmes assauts qu'avec le cheval sans mes assistants éprouve le besoin de me préparer pour cette saillie qui en tant que bonne défonce fut mémorable au point que les spectateurs demandèrent une suite qui ne devrait pas tarder à être tournée sous le titre Gwladys à la campagne en attendant de tourner Gwladys au zoo où il y aura davantage d'animaux prêts à se vider les couilles en moi après m'avoir forcé ma bouche toujours extrêmement gourmande ou défoncé mon cul volontiers accueillant.
Par contre, là où j'ai cru ne jamais pouvoir arriver à accomplir le challenge que je m'étais fixé pour faire comme les autres c'est pendant mon stage de trois jours dans une prestigieuse école de salopes où j'ai du avoir une relation sexuelle buccale ou anale sans utiliser de préservatif toutes les trois minutes et ceci pendant dix heures d'affilée sans discontinuer. Ainsi ce n'est pas seulement le fait que de me retrouver avec le contour des lèvres légèrement endolories à force de tailler de nombreuses pipes mais plutôt d'avoir eu à avaler de très importantes quantités de sperme chaud et abondant qui parfois étaient sur le point de me donner la nausée. En ce qui concerne les sodomies, mes sphincters anaux se trouvant tellement dilatés que je ne ressentais pratiquement plus rien à force d'offrir mes fesses volontiers accueillantes si ce n'est que de temps en temps je devais aller expulser les excès de sperme se trouvant dans mon rectum.
Moyennant quoi j'ai tenu bon afin d'obtenir avec la mention très bien mon diplôme de salope qui a récompensé le fait que je sois au vu de mon bienfaiteur et surtout de mes nombreux clients que j'ai à l'appartement tous les après-midi sept jours sur sept tout au long de l'année la merveilleuse jeune petite pute qui ne refuse jamais une relation sexuelle buccale ou anale pour dix francs avec dix autres francs supplémentaires si elle avale directement ou indirectement tout le sperme éjaculé en elle.
Dès le début où j'ai fait la connaissance de celui qui allait devenir mon bienfaiteur, après une rapide initiation à la fellation en avalant le sperme et à la sodomie, j'ai tout de suite su que j'allais devenir une très jeune pute pour le plus grand plaisir de mes nombreux clients qui pourront éjaculer en moi leur sperme chaud et abondant sans utiliser de préservatif lorsque j'aurai avec eux de multiples relations sexuelles buccales et anales tarifées à seulement dix francs la passe sans évidement compter la commission prise par mon bienfaiteur qui organise mon planning et me fournit l'appartement où j'exerce avec brio mes talents de bonne jeune grosse salope et ceci après ma première semaine d'initiation où j'ai pratiquement réinvesti la totalité de mes gains pour me transformer en fille afin d'être la plus désirable possible auprès de ma clientèle toujours plus nombreuse à vouloir désirer se vider les couilles dans celle qui est devenue à leurs yeux un excellent vide-couilles au féminin.
Par la suite mon bienfaiteur me présenta des noirs et des arabes particulièrement bien montés, avec des bites aux dimensions exceptionnelles pouvant atteindre les trente centimètres de longueur pour six centimètres d'épaisseur, avec lesquels il me demanda d'être très gentille afin de satisfaire tous leurs désirs sexuels allant même jusqu'à accepter de me laisser volontiers enculer en doubles voire même en triples pénétrations anales ce qui fut une bonne préparation pour beaucoup plus tard de me faire sodomiser partiellement par un cheval pour tourner un film porno intitulé Gwladys à la ferme sans que cela ne me pose pas trop de problèmes bien que l'introduction de son sexe de plus de quarante centimètres n'ait été que partielle, mais tout de même sur plus de vingt cinq centimètres pour le plus grand plaisir visuel de tous ceux qui ont pu en admirer le résultat ainsi que toute la préparation qui y a été nécessaire afin de réaliser cet exploit qu'en principe plus généralement des vraies femmes acceptent dans leur vagin sur une moins grande longueur.
Par gwladys - Publié dans : gwladys - Communauté : gwladys travesti 60 ans
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