Mercredi 3 août 3 03 /08 /Août 16:26


Cela a commencé le jour où rentrant du collège où je venais tout juste de rentrer en sixième depuis quelques semaines, et étant à quelques centaines de mètres de mon domicile, un homme m'a abordé en me demandant si j'avais envie de me faire de l'argent de poche.


Dans un premier temps je fus surpris, et toutefois en le suivant jusqu'à l'intérieur d'un appartement de type F2 situé en rez de chaussé avec accès directement sur la rue, mais curieux je lui ai demandé avant de me prononcer ce que je devrais faire et combien cela me rapportera ?


Aussitôt, il m'expliqua qu'il connaissait beaucoup d'hommes qui seraient prêt à me payer si j'étais gentil avec eux.


Alors il enchaîna en m'indiquant que cela me rapporterait dix francs à chaque fois que je laisserai l'un d'entre eux me mettre sa bite dans ma bouche ou dans mon cul.


N'ayant jamais fait de fellation à un homme, et aussi pas plus que m'être laissé enculer, je lui demandais si cela pouvait me faire du mal, vu que je savais déjà que les hommes en questions devaient avoir de grosses bites.


Après m'avoir expliqué ce qu'est une éjaculation de sperme chaud et abondant, il me demanda si je voulais essayer de prendre son gros sexe en bouche et le laisser y éjaculer, car pour le moment n'ayant pas de lubrifiant intime à sa disposition ce sera pour une autre fois de m'enculer.


Je lui dis que j'étais d'accord pour essayer et il sortit d'un placard une boîte de mouchoir en papier qu'il déposa sur la table à côté de moi. Puis il ouvrit sa braguette pour en sortir son sexe qu'il me demanda de branler afin de devenir en érection maximale.


De mes mains agiles je m'exécuta jusqu'au moment où constatant une forte érection, il me dit de prendre son gros sexe en bouche. Il l'enfonça bien profondément jusqu'au fond de ma gorge où à ce moment on aurait pu croire qu'il n'y avait plus de grosse bite mais uniquement une paire de couilles plaquée sur mon visage, puis lui fit faire des allers et retours sans toutefois la faire ressortir de ma bouche qui acceptait volontiers cette intrusion, jusqu'au moment où il éjacula de puissants jets de sperme chaud et abondant dans ma bouche tiède.


Puis, son érection étant retombée, il se retira de ma bouche, prit un mouchoir en papier pour essuyer sa bite qui retrouva sa place initiale dans le pantalon. De sa poche il sortit deux billets de dix francs puis m'en tendant un, il me demanda si je voulais recracher son sperme dans un mouchoir avant d'essuyer mes lèvres avec un autre, ou si pour avoir l'autre billet j'étais prêt à avaler l'intégralité de son sperme.


Ne trouvant le goût de sperme pas trop désagréable, j'avalais tout et me retrouvant ainsi avec vingt francs de gagnés facilement en peu de temps.


Puis pas déçu de cette expérience, je lui demandais quand pourrais-je commencer à me montrer gentil et soumis avec des hommes qu'il me présentera, car dans un premier temps j'étais d'accord pour essayer pendant une semaine si cela ne convenait et aussi si mes prestations étaient à la hauteur de ce que les hommes pouvaient bien espérer d'un jeune garçon comme moi, avant de poursuivre dans cette activité que je ne trouvais pas si répugnante que cela.


Satisfait de ma réponse, il me demanda si je pouvais l'attendre ici, car il avait une course à faire à la pharmacie située à une centaine de mètres de l'appartement où je restais seul pendant un quart d'heure à l'attendre en regardant un VHS porno sur la télévision où il y avait un jeune garçon de mon age en train de faire des fellations à des hommes particulièrement bien montés ou de se laisser volontiers enculer par eux.


A ce propos, lorsqu'il rentra de sa course avec ce qu'il s'était procuré à la pharmacie, c'est à dire un tube de lubrifiant intime indispensable pour une bonne sodomie avec un jeune garçon comme moi dont ça devait être la première fois, il me demanda si je voulais encore être gentil avec lui en me laissant enculer, comme cela je serai en mesure avant de prendre ma décision finale avoir connu tout ce que les hommes pouvaient bien attendre de moi.


De ce fait il sortit sa grosse bite de son pantalon et me demanda de me mettre cul nu, puis il prit le tube de gel intime et m'en appliqua une noisette sur ma rondelle encore vierge. A ce moment, pendant un court instant, il me fit prendre sa grosse bite en bouche afin de la préparer correctement pour l'assaut final qui ne tarda pas à arriver lorsque sortant sa bite de ma bouche il l'appuya à l'entrée de mon anus puis sans me brusquer força progressivement mes sphincters afin de faire rentrer son gland entre mes fesses, puis il y fit pénétrer l'intégralité de sa queue pour finalement retrouver ses grosses couilles pleines de sperme plaquées contre mes fesses.


Me demandant si je n'avais pas trop mal pour continuer et en tenant compte de mon acceptation il se mit à faire des allers et retours avec sa bite à l'intérieur de mon rectum pour finalement y éjaculer un sperme chaud et abondant en plusieurs jets. A ce moment j'étais en mesure de me rendre compte que cela pouvait être aussi agréable que lorsque sa bite avait éjaculé dans ma bouche et que par gourmandise je venais d'avaler une importante quantité de sperme pour la première fois de ma vie qui comme l'on montré les événement ne fut pas la dernière. Puis il se retira et alla chercher un bol en me demandant de m'accroupir pour maintenir mon trou du cul au-dessus afin d'y expulser le maximum de sperme.


Puis m'expliquant que cela est une pratique que les sodomisateurs apprécient, il me demanda d'avaler tout le contenu du bol. C'est ce que je fis en m'apercevant que le sperme n'avait pas le même goût que lorsqu'il avait éjaculé directement dans ma bouche. Peut-être était ce le mélange de lubrifiant intime ou de sécrétions anales qui avaient fait ce changement.


Fier de moi, après m'avoir remis encore vingt francs, il m'affirma que je devrais bien faire l'affaire auprès des nombreux hommes qu'il ne tardera pas à me présenter afin d'avoir avec moi de multiples relations sexuelles buccales et anales, il me dit d'un air satisfait que c'était suffisant pour aujourd'hui.


C'est ainsi que nous prîmes rendez-vous pour le lendemain en fin d'après-midi afin de pouvoir constater combien d'argent de poche je pourrais engranger sachant que si j'avalais le sperme à chaque fellation le tarif serait doublé, ainsi que si j'avalais les bols de sperme sortant de mon cul.


C'est ainsi que le lendemain et les jours qui suivirent, je fis de nombreuses fellations en avalant le sperme et que je me laissais enculer en utilisant un lubrifiant intime qui à partir de la troisième ou quatrième sodomie devenait superflue grâce à la lubrification naturelle provoquée par le sperme des précédents sodomisateurs dont mon anus débordait.

 

Ainsi durant cette première semaine à faire la pute en taillant des pipes et en me laissant volontiers enculer par à peu près une soixantaine de bites, je fus bien obligé de constater qu'ils en existaient de différentes dimensions aussi bien par leur longueur que par leur grosseur. Pour effectuer des fellations ou des gorges profondes cela ne me posa aucun problème, en revanche en ce qui concerne de les accepter pleinement dans mon cul jusqu'à temps qu'elles y éjaculent leur sperme chaud et abondant, avec certaines d'entre elles, particulièrement celles de noirs et d'arabes qui ont la réputation non usurpée d'être bien au-dessus de la moyenne, dans un premier temps surtout à cause de leur épaisseur j'eus l'impression dans un premier temps de me faire pratiquement totalement défoncer l'anus, mais au bout de quelques instant mes sphincters acceptaient volontiers cette intrusion. Quant à leur longueur, dans la grande majorité des cas, ça arrivait presque toujours à rentrer même si parfois en butant tout au fond de mon rectum même s'il en restait encore quelques centimètres à l'extérieur de mes fesses.


Bien que par la grande majorité de ma clientèle je sois considéré comme un vide-couilles ou un enculé je ne ressentais aucun sentiment de honte ni de culpabilité à me comporter malgré mon jeune age comme une bonne grosse salope dès l'instant où j'étais fier car je savais que c'était pour apporter du bonheur à des hommes qui pouvaient éjaculer en moi en toute liberté sans utiliser de préservatif durant les quelques minutes que je pouvais leur accorder avant de passer au suivant. Ce qui me faisait tenir cette cadence et qui me motivait le plus ce n'était pas uniquement l'argent facilement gagné sans trop me fatiguer en ayant des relations sexuelles buccales et anales, mais c'était aussi à la fin de chacune d'elles d'avoir le plaisir de me délecter, en temps que récompense, de ma dose de sperme chaud et abondant que j'avale directement à la fin d'une fellation ou d'une gorge profonde et aussi indirectement en lapant intégralement le contenu d'un bol dont je venais de me servir pour éjecter le sperme se trouvant dans mon rectum après m'être volontiers laissé sodomiser.


 

Ainsi en étant confronté à de grandes quantités de sperme que je devais avaler afin de multiplier par deux le tarif de mes prestations sexuelles passant de dix à vingt francs, sans compter la commission que mon bienfaiteur empochait en me considérant comme sa merveilleuse petite pute docile et soumise qui ne refuse jamais d'avoir une relation sexuelle buccale ou anale avec un client dés l'instant que celui-ci avait la bite bien propre, je du me rendre à l'évidence qu'il n'existait pas une seule sorte de sperme mais une multitude qui se différenciaient non seulement par leurs onctuosités mais aussi par leurs saveurs qui peuvent aller du sucré au salé ce qui dans tous les cas en procurant un apport riche en protéines sont aussi bons pour la santé, sauf bien évidemment si son éjaculateur est porteur d'une maladie vénérienne telle que la syphilis.


Alors à la fin de ma longue semaine de labeur, ayant récolté plus de huit cent francs, mon bienfaiteur de demanda ce que j'avais l'intention d'en faire.


Lui disant que je n'en avais aucune idée il me proposa d'investir dans ce qui pourra faire de moi une fille plutôt que le garçon que je suis afin de satisfaire sexuellement davantage d'hommes.


L'idée ne me déplaisant pas, nous nous retrouvâmes dans un centre commercial où mon bienfaiteur m'aida à choisir tout ce qui est nécessaire pour faire de moi une jeune fille capable de charmer une multitude d'hommes appréciant davantage les jeunes filles que les jeunes garçons.


Dans le super marché, je me suis ainsi procuré un ensemble de lingerie composé d'un string, d'un soutien-gorge et d'un porte-jarretelles assortis en dentelle noire et rose, ainsi que plusieurs paires de bas dont une noire à couture. A cette époque ne chaussant que du trente neuf, il fut facile de trouver une paire d'escarpin aux talons de huit centimètres. En complétant le tout par une robe légère et une minijupe en skaï rouge ainsi qu'un chemisier blanc, il ne nous resta plus qu'à acheter une perruque blonde courte et bouclée, ainsi qu'un bâton de rouge à lèvres et d'autres fards à maquillage.


Ayant à peine dépensée la moitié de mon argent de poche, mon bienfaiteur me suggéra d'acheter aussi quelques bijoux fantaisie en particulier un bracelet, un collier et une paire de boucles d'oreilles à pinces assortis, ainsi qu'une montre bracelet qui me sera bien utile pour gérer le temps que je pourrais passer raisonnablement avec chaque client.


De retour chez mon bienfaiteur, je me métamorphosa en petite fille sage qui ne refusa pas d'être honorée sexuellement en offrant son cul afin d'y recevoir en tant que fille ses premiers jets de sperme chaud et abondant.


Au cours de nos achats, il y a une chose que nous n'avons pas pu nous procurer, c'est une paire de petits faux seins en silicone qui seront plus réalistes aussi bien au toucher que visuellement que la paire de chaussettes roulée en boule insérée dans les bonnets de mon soutien-gorge.


Une fois qu'il ait éjaculé dans mon rectum, mon bienfaiteur me fit remarquer qu'il devenait parfaitement inutile de me demander si je voulais continuer de jouer à la jeune pute dévergondée, car sinon à quoi aurait servi d'investir près de cinq cent francs en comptant la commande d'indispensables faux seins en silicone.


C'est à ce moment là que je sus qu'à l'avenir je ne taillerai plus des pipes ni me laisser défoncer le cul en étant un jeune garçon timide ayant un peu honte de ce qu'il fait, mais que c'est en tant que "jeune fille" soumise se pliant avec amour, sans la moindre impression de culpabilité d'aucune sorte pour quoi que se soit, à toutes les exigences sexuelles des hommes aussi bien au point de vue buccal qu'anal que désormais je leurs prodiguerai de merveilleuses fellations et d'inoubliables gorges-profondes en avalant jusqu'à la dernière goutte leur sperme chaud et abondant avec le même sentiment de joie que je me laisserai volontiers sodomiser sans en ressentir la moindre gêne aussi bien physiquement que moralement.


Ainsi en tant que jeune pute qui se faisait environ mille francs d'argent de poche par semaine en ayant avec de nombreux hommes de multiples relations sexuelles buccales et anales sans utiliser de préservatif, étant donné qu'à cette époque le sida n'était pas encore connu, sans que mon bienfaiteur ait à me le demander, j'investissais une partie de mes gains afin de diversifier ma garde-robe aussi bien au point de vue dessus chics et sexy, qu'au point de vue dessous chocs et provocateurs, sans oublier les chaussures et les bas ainsi que les nombreux produits de maquillage qui m'étaient indispensable pour ressembler à une jeune fille désirant être désirée par tous les hommes qui étaient prêt à débourser dix francs pour se vider les couilles dans son cul ou dans sa bouche, et où au cas elle avalerait le sperme, un supplément d'honoraire était bienvenu.


Alors petit à petit, je me suis améliorée en pratiquant aussi de merveilleuses gorges profondes et en acceptant aussi d'avoir une bite en bouche pendant qu'une autre me défonce le cul, et même parfois accepter les doubles voire les triples pénétrations anales afin de satisfaire un maximum d'éjaculateurs durant les deux heures, de dix sept à dix neuf heures, que je passais à me prostituer pour seulement dix francs par passe toutes mes fins d'après midi en semaine et plus longuement tous mes samedis et dimanches après midi ainsi que pendant les vacances scolaires, où je pouvais de quatorze à dix neuf heures arriver à satisfaire sexuellement plus d'une trentaine d'hommes ayant des envies de déposer leur sperme dans une bouche extrêmement gourmande ou entre les deux grosses fesses volontiers accueillantes d'un jeune garçon travesti en jeune fille acceptant de faire la pute avec beaucoup de conviction et de réussite. C'est tout du moins ce qu'en pensaient à l'unanimité la grande majorité de mes clients étant prêts à renouveler l'immense plaisir qu'ils avaient eu à éjaculer en moi. 


Ainsi en plus de ma présence obligatoire sur les bancs du collège du lundi au vendredi, il ne me restait plus que mes samedis matin pour aller faire du shoping afin de renouveler ma garde robe de prostituée et me réapprovisionner en produit de maquillage indispensable à donner de moi l'image d'une jeune pute dont en semaine les clients devaient réserver par avance leur place afin de pouvoir se servir de moi comme un vide-couilles dont ils n'en avaient connu de plus parfait et surtout docile auparavant.


Cela se passait toujours dans l'appartement où maintenant je me sentais comme chez moi en étant au dire de mon bienfaiteur sa ravissante et sexy petite pute docile qui acceptait tout ce que les hommes lui demandaient à la condition toutefois de s'être lavé correctement la bite avant de pouvoir être autorisé à éjaculer en elle. C'est la seule condition que j'ai imposée à mon bienfaiteur au début de notre collaboration, et c'est toujours lui qui en même temps qu'empocher les billets pour mes prestations sexuelles qui s'assure de la propreté des bites.


En entrant dans cet appartement, en premier lieu on se retrouvait dans une grande pièce à vivre servant de salle d'attente où en plus d'un bar destiné à mes nombreux clients, se trouvait aussi un coin salon avec fauteuils et canapé devant un poste de télévision où était associé un lecteur VHS destiné à diffuser des films pornographiques montrant de jeunes enfants prendre des bites en bouche et se laisser enculer. Depuis quelques temps le film qui était le plus vu des visiteurs en attente de mes prestations sexuelles, était un film ou plutôt une compilation d'environ deux heures où je montrais tous mes talents de petite pute extrêmement docile et soumise avec les hommes entreprenants qui se servaient de moi de toutes les façons imaginables possibles.


Parmi les séquences les plus appréciées où l'on pouvait apprécier les différentes manières où je faisais la pute en paraissant comme se comportant comme une bonne grosse salope que j'étais devenue, il y en avait particulièrement une où après avoir taillé une pipe à un homme bien membré, une fois que sa bite se soit retirée après avoir déposé dans ma bouche extrêmement gourmande de très importantes quantités de sperme chaud et abondant issus de grosses couilles bien pleines, je me retrouve avec sur mes lèvres pulpeuses maculées de rouge intense d'importants filets de sperme ruisselant sur celles-ci pour finir à arriver en partie sur mon menton où passant un index dessus j'en récupère le plus possible afin de m'en délecter de la même façon que je fais passer ma langue sur le contour de mes lèvres afin de ne rien laisser perdre de la précieuse semence.


Il en est de même pour une autre séquence ou j'ai déjà une bite dans le cul lorsqu'une autre sans prévenir vient aussi s'y mettre bien au chaud afin d'y éjaculer, elle aussi ce dont un excellent vide couilles comme moi doit s'attendre comme la troisième bite qui vient se joindre aux deux autres afin de synchroniser leurs va et vient entre mes grosses fesses volontiers accueillantes jusqu'au moment où elles éjaculent leur sperme chaud et abondant pratiquement toutes ensembles avant de se retirer en laissant mon cul suinter de sperme ce qui m'oblige à me soulager le rectum dans un bol dont je m'empresse d'en laper tout le contenu jusqu'à la dernière goutte.


Bien évidemment toutes les scènes où j'ai des relations sexuelles buccales ou anales filmées en gros plans afin que l'on puisse admirer de très grosses bites, en général de noirs ou d'arabes très bien montés, pénétrer dans ma bouche ou forcer mon cul afin d'y déposer leur sperme sont très appréciées surtout lorsque celles-ci ont lieu simultanément en prenant en double la bonne grosse salope que je suis devenue et qui fait la pute en étant juste vêtue d'un soutien-gorge aux bonnets profonds, indispensables pour maintenir bien en place mon opulente poitrine constituée d'une énorme paire de faux seins en silicone aussi réalistes visuellement qu'au toucher afin d'alimenter les fantasmes de la blonde à forte poitrine qui est fort appréciée, et d'un porte-jarretelles assorti destiné à maintenir bien tendu sur mes longues jambes fuselées de fin bas noirs à couture afin d‘en renforcer le galbe naturel en association avec une paire d'escarpins aux talons vertigineux de douze centimètres.

 

Ainsi d'un commun accord, avec mon bienfaiteur nous avons décidé de vendre ses compilations qui n'ont rien à envier à celles réalisées par des actrices et acteurs professionnels à des sociétés de production et de distribution de films pornographiques afin de mieux les faire connaître en nous rapportant de l'argent et aussi en faisant de la publicité sur les activités sexuelles que j'exerçais dans l'appartement en y faisant ainsi accourir de très nombreux nouveaux clients désirant trouver en moi l'incarnation parfaite de la bonne grosse salope toujours disponible pour faire la pute en servant de vide couilles en acceptant de tailler des pipes sans utiliser de préservatif car j'aime trop le goût du sperme chaud ainsi que de me laisser volontiers enculer pour mon plus grand plaisir et surtout pour celui de ma clientèle toujours plus nombreuse à apprécier mes prestations sexuelles buccales et anales.


Par la suite, aussi d'un commun accord avec moi mon bienfaiteur y a aussi fait installer une petite vitrine afin d'y accueillir une petite collection de godemichés de différentes tailles allant du plus petit faisant tout de même dix huit centimètres de long pour trois centimètres de diamètre, au plus fantasmagorique atteignant les trente centimètres sur six et demi. Tous ces godemichés en plus d'être destinés à faire fantasmer les clients sur mes capacités à pouvoir facilement accepter n'importe quelle bite aux dimensions identiques aussi bien dans ma bouche que dans mon cul, étaient aussi là pour les exciter lorsque pour les faire patienter, je leurs faisais mon petit numéro en les introduisant les uns à la suite des autres d'abord dans ma bouche puis dans mon cul sans aucune difficulté même pour celui de trente centimètres sur six et demi pour lequel je devais utiliser une grande quantité de lubrifiant intime pour que mon rectum accepte cette intrusion sur près de vingt centimètres. Pour certains clients exigeants désirant se faire tailler une pipe tout en ayant le spectacle de la bonne grosse salope que je suis devenue qui en prend plein son cul, choisissaient dans la vitrine un godemiché que je devais m'introduire dans l'anus pour que nous soyons tous deux excités au maximum afin de parfois nous faire atteindre une sensation d'orgasme simultanée au moment où ils éjaculent leur sperme chaud et abondant dans ma bouche humide qui s'empresse d'en avaler la totalité.

 

Bien sûr il y avait aussi l'unique chambre avec un grand lit, où se passaient la plupart de mes relations soit dites amoureuses, dont il était nécessaire de changer les draps tous les jours, et une commode ainsi qu'une armoire où étant comme chez moi je pouvais y ranger méticuleusement toutes mes affaires de fille.


Il y avait aussi une salle de bain où dès qu'en arrivant à l'appartement je me précipitais toujours sur les toilettes pour vider mes intestins afin que mes futurs sodomisateurs ne se retrouvent pas avec la bite souillée d'excréments. J'y passais aussi environ dix minutes pour me métamorphoser en fille maquillage et habillage compris, et s'en était de même pour me démaquiller et me retransformer en garçon afin de rentrer chez moi avec la bouche légèrement dilatée et le cul en feu débordant de sperme en dégoulinant. C'est aussi là que mes futurs amants devaient se laver méticuleusement la bite avant d'être autorisés à se vider les couilles en moi.


Dans la cuisine se trouvait un grand réfrigérateur où en plus de contenir quelques victuailles était bien pourvu en boissons fraîches en particulier des sodas que parfois j'étais bien contente de trouver entre deux merveilleuses fellations ou inoubliables gorges profondes.


Ainsi j'ai eu affaire à des pervers de tous genres qui en plus de ceux qui se délectaient de me faire avaler le sperme que j'avais en bouche où après une fellation ou une gorge profonde étaient en transe à l'idée de pouvoir y faire nager leur bite dans le sperme du précédent sodomisateur. Ils y en avaient même qui me forçaient à m'accroupir avec un bol sous les fesses afin d'en recueillir du sperme en excès dégoulinant de mon cul et moyennant un supplément me demander à boire la totalité du contenu du bol.


Durant toute la longue période qui a suivi où j'ai été en contact avec d'importantes quantités de sperme, j'ai eu la chance, maintenant que j'y pense, de n'avoir jamais contracté de maladies sexuellement transmissibles telle que la syphilis, et ce n'est seulement que vers quinze ans après avoir sucé des milliers d'hommes et autant qui m'ont enculé, que je me suis retrouvé avec un important pécule, certainement aussi important que celui accumulé en tant que commission par mon bienfaiteur dont je suis persuadé d'être la seule petite pute soumise et docile lui rapportant autant d'argent en ne rechignant pas à offrir sa bouche extrêmement gourmande cernée de ses lèvres pulpeuses abondamment maculées de rouge intense afin de faire plus pute, et le petit trou intime qui reste néanmoins encore très resserré malgré les très nombreuses bites qui lui forcent les sphincters, situé entre ses petites fesses accueillantes, et une toute aussi importante garde-robe qui m'a permis d'être le travesti que petit à petit je suis devenu jusqu'à aujourd'hui.

 

Pendant toute la période qu'a durée notre collaboration entre moi qui faisait la pute et mon bienfaiteur qui quotidiennement me procurait ma clientèle désirant venir se vider les couilles en moi, je ne fus absent que pendant une courte semaine durant laquelle j'ai du rester au lit, non pas avec des amants me mettant leur bite au plus profond de mon cul, mais à cause d'une mauvaise grippe accompagnée d'une forte fièvre. Ainsi afin de ne pas être obligé d'annuler les rendez-vous qu'il avait planifiés pour moi, mon bienfaiteur du faire appel aux services non pas d'une agence d'intérim car il n'en existe pas qui sont capable de fournir de jeunes prostituées mais à ceux de l'école de salope où j'avais fait un stage pour qu'elle mette à sa disposition une de ses pensionnaires pour tailler des pipes et se laisser volontiers enculer le temps que je me rétablisse afin de reprendre mes activités de bonne jeune grosse salope qui aime autant en avoir plein la bouche que dans le cul en ayant avec sa nombreuse clientèle de multiples relations sexuelles buccales et anales sans utiliser de préservatif afin d'avaler directement ou indirectement les grandes quantités de sperme chaud et abondant déversées en elle et dont elle se délecte.

 

Par gwladys - Publié dans : gwladys - Communauté : gwladys travesti 60 ans
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