Partager l'article ! Claire est aussi devenue une jeune pute à dix ans ( Gwladys travesti 60 ans ): Depuis le temps où je vous parle de ma copine Claire qui me seco ...
Depuis le temps où je vous parle de ma copine Claire qui me seconde avec succès aux seins des foyers de travailleurs émigrés noirs et arabes en ayant comme moi des relations sexuelles buccales et anales bien qu'en plus les relations vaginales ne lui font pas peur de même que de pratiquer des branlettes espagnoles grâce à sa poitrine refaite faisant un bon cent cinq E, il serait temps que je vous la présente.
Pour cela je vais commencer par vous parler de son enfance où son père alcoolique l'a violée, alors qu'elle avait juste un peu plus de dix ans, comme il l'avait fait deux ans auparavant à sa grande soeur au même age.
Fort de son exploit et étant sous l'emprise de l'alcool il dit à Claire que c'était une bonne à rien et qu'elle ferait mieux d'aller faire la pute comme cela ça lui permettrait de s'acheter davantage d'alcool.
N'ayant pas trouvé cela désagréable de se faire baisser, pour faire plaisir à son père que malgré tout ce qui lui avait fait subir aimait toujours elle se dit que ce ne pouvait pas être une si mauvaise idée que cela puisque ça pourrait joindre l'utile à l'agréable.
A cette époque le sida n'étant pas encore redouté, ne désirant pas utiliser de préservatif, aussi ayant qu'une peur de tomber enceinte, elle se rendit chez son médecin de famille et lui fit une étrange proposition en lui indiquant que s'il consentait à lui prescrire la pilule contraceptive elle accepterait d'avoir régulièrement une relation sexuelle avec lui.
C'est ainsi que pour satisfaire ses désirs elle commença sur-le-champ à lui faire une fellation en avalant la totalité de ses puissants jets de sperme chaud et abondant, ce qui devait devenir le début d'une longue relation sexuelle suivie avec son médecin qui malgré son age d'environ soixante ans se trouvait toujours ravi de se farcir une jeunette d'à peine plus de dix ans.
Ainsi rassurée après s'être rendue à la pharmacie pour se procurer les fameuses pilules contraceptives, elle alla de ce pas rejoindre un groupe de copains dont certains devaient bien avoir trois ou quatre ans de plus qu'elle. Sans leur dire comment elle leurs révéla que désormais n'étant plus vierge elle ne voyait plus pourquoi elle continuerait de se refuser à eux comme elle l'avait déjà fait bien des fois auparavant malgré leurs insistances répétées.
Leur disant aussi qu'elle avait besoin de se faire un peu d'argent afin de subvenir aux besoins de son père, sans leurs en révéler la nature, elle insista qu'elle acceptera volontiers de se laisser baiser par tous ceux qui auront envie de se vider les couilles en elle, moyennant une faible rétribution de leurs parts car étant des amis elle se tenait prête à leurs faire un bon prix compte tenu de ce que d'après ses renseignements la plupart des prostituées avaient l'habitude de pratiquer comme tarif.
Ainsi elle leurs affirma que pour eux cela leurs coûtera à chacun cinq francs tandis que s'ils me rabattaient des copains ou des inconnus comme nouveaux clients se sera pour eux dix francs pour me baiser ou que je les suce.
Contents de cette annonce ils attirèrent Claire dans une cave d'immeuble à peine éclairée où se trouvait un vieux matelas presque hors d'usage. Tous les sept après lui avoir remis cinq francs s'empressèrent de la baiser, puis il se retirèrent en lui promettant de lui attirer de nouveaux clients avant la fin de l'après-midi.
Ils tinrent leur promesse si bien qu'au cours de cette première journée de tournante elle se retrouva avec les cuisses en feu, mais surtout heureuse d'avoir en poche plus de deux cent francs dont en rentrant chez elle auprès de son père elle ne lui en donna que la moitié affirmant que ce n'est tout ce qu'elle avait réussi à gagner pour son premier jour de pute.
Bien que le rabattage remplissait pleinement ses espérances ce qui lui permettait de gagner davantage en se faisant baiser, elle continua de donner à son père que cent francs par jour ce qui pour lui était largement suffisant pour financer ses besoins en boissons alcoolisées.
Tout se passait sans aucun problème jusqu'au matin, une vingtaine de jours après ses débuts de pute, elle constata des traces de sang dans sa culotte. Rassurée qu'elle avait ses premières règles lui confirma l'efficacité de la pilule contraceptive puisqu'elle n'était pas enceinte. Elle était à la fois heureuse et déçue car ce jour elle avait prévu une vingtaine de clients pour la baiser. Voulant se monter honnête elle leurs indiqua ses indispositions. Certains reportèrent leur tour pour la baiser dans quelques jours, tandis que d'autres ne redoutant pas de se retrouver avec du sang sur la bite la baisèrent tout de même.
C'est aussi ce jour là que d'autres clients lui demandèrent si à la place de prendre leur bite dans sa chatte elle accepterait de la prendre dans le cul. C'est ainsi que c'est la première fois qu'elle se laissa volontiers enculer afin de ne pas perdre la clientèle qui n'était pas intéressée par une fellation ou une gorge profonde.
Avec beaucoup d'astuce, ayant réussi à sauver sa journée, elle se rendit chez son médecin pour qu'il lui confirme qu'elle était bien en période menstruelle. Ce qu'il confirma en lui proposant de lui renouveler son ordonnance contraceptive, et lui aussi pour des raisons qui restèrent inconnues lui demanda si pour payer sa consultation elle acceptait de se laisser sodomiser. C'est comme ça que d'un commun accord il éjacula dans le cul de Claire de puissants jets de sperme chaud et abondant qui allèrent se mélanger avec le sperme des précédents enculeurs qu'elle avait encore dans le cul car elle n'était pas encore rentrée chez elle afin de se faire un lavement destiné à en éliminer une grande partie.
Cela dura ainsi pendant de longs mois où Claire n'eue rien à débourser à chaque fois qu'elle allait consulter son médecin de famille qui un beau jour ayant envie de profiter pleinement d'une retraite bien méritée céda son cabinet à un praticien plus jeune avec lequel Claire ne désira pas lui demander les même arrangements.
Etant tranquille pour un mois, une fois rentrée chez elle, comme d'habitude elle remit à son père ses cent francs quotidiens qui trop bourré pour lui demander de baiser, ce qui n'eut jamais lieu depuis qu'il lui a ôté sa virginité, et qui ne le sera plus jamais se contentant de payer son père comme une prostituée paye son souteneur.
Ainsi avec tout cet argent qu'elle arrivait à ne pas donner à son père, elle décida d'investir dans tout ce qui pourrait faire d'elle une jeune pute appréciée des hommes. En premier lieu son dévolu se porta sur une paire d'escarpin aux talons de huit centimètres, plusieurs ensembles de lingerie constitués de strings, soutiens-gorge et portes-jarretelles de couleurs variées, des robes et des jupes en skaï avec des chemisiers affriolants, des paires de bas de différentes couleurs dont certains noirs avec coutures, et pour compléter le tout des bijoux dits de fantaisie et des produits de maquillage destinés à se faire un visage de pute.
Cela faisait presque environ six mois que son petit commerce était florissant, mais ce qui la contrariait le plus n'était pas de devoir accepter d'être souillée par le sperme de tous les hommes qui la payaient pour éjaculer en elle que ce soit sous forme de baises, de fellations ou de sodomies parfois pratiquées en double voire en triple pénétration, mais le fait qu'elle devait toujours être à la recherche d'un endroit pour baiser tranquillement en étant bien forcée de se contenter des caves d'immeubles.
C'est au cours d'un de ses moments de déprime qu'un de ses clients habituels lui fit part qu'il était propriétaire pas loin d'ici d'un petit studio inoccupé en rez de chaussé ayant une entrée directement sur la rue, ce qui était selon lui idéal pour y exercer une activité de prostituée et qu'il était prêt à lui mettre à sa disposition pour la somme modique et symbolique de cent francs par mois.
Le studio étant meublé et la proposition lui paraissant honnête sans arrière pensée elle lui fit part de son intéressement et c'est comme cela qu'en cachette de son père elle déménagea tout le contenu de sa chambre. Ainsi il ne lui restait plus qu'à faire connaître à son immense clientèle le lieu où désormais elle aurait des relations sexuelles vaginales, buccales et anales.
C'est ainsi qu'elle se retrouva certainement comme étant la plus jeune prostituée de France disposant de son propre pied à terre afin d'y recevoir ses nombreux clients afin d'avoir avec eux de multiples relations sexuelles tarifées à seulement dix francs la passe.
Elle occupait ce studio jusqu'à ses dix huit ans où elle eut des milliers de clients sans que son activité de pute soit découverte par manque de discrétion, mais tout simplement parce qu'elle tomba forte amoureuse d'un homme qui lui proposa de venir vivre avec lui en oubliant le fait que pour vivre et subvenir en besoin d'alcool de son père elle se prostituait depuis environ huit ans durant lesquels elle n'a donné que cent francs par jour à son père en lui cachant qu'elle en gagnait davantage. Peut être était-il trop pris dans les effluves de l'alcool pour s'en apercevoir de façon lucide.
Afin de continuer à exercer son activité de pute, bien que vivant désormais chez cet homme dont elle était tombée follement amoureuse, elle décidait de conserver le petit studio qui lui avait permis de vivre en femme libre et épanouie.
Son amour dont elle ne connu jamais l'activité professionnelle devait avoir beaucoup d'amis ou de relations d'affaire, car presque tous les jours il en survenait un nouveau à leur domicile avec qui il lui était demandé de se montrer extrêmement gentille en ayant des relations sexuelles avec lui.
Pour cela afin de la rendre sexuellement beaucoup plus attrayante il lui demanda d'aller se faire refaire les seins. C'est ainsi qu'elle passa d'un petit quatre vingt cinq B à un plus qu'honorable cent cinq E. A partir de ce moment avec sa poitrine devenue opulente, en plus de vouloir décharger leur sperme chaud et abondant dans son vagin, sa bouche ou son cul, les prétendus amis de son compagnon pouvaient exiger qu'elle leurs fasse des branlettes espagnoles.
Ce manège durant depuis quelques mois, ayant des doutes sur le grand nombre de relations que lui présentait son compagnon, au cours des ébats amoureux où elle continuait à se montrer extrêmement soumise, elle décidait de mener son enquête. Ainsi après de nombreuses confidences sur l'oreiller elle fut stupéfaite d'apprendre que tous ces hommes avec qui elle devait faire l'amour sans broncher étaient tous des clients qui avaient grassement payé, c'est à dire plusieurs centaines de francs, pour avoir le privilège de passer une nuit avec elle.
Ainsi se rendant compte qu'elle était tombée sous la coupe d'un proxénète sans scrupule se faisant passer pour un homme vendant sexuellement son épouse libertine et surtout concertante, qui faisait sur son dos d'immenses profits, elle lui demandait des explications qui loin de la convaincre provoqua leur rupture définitive et c'est ainsi qu'elle retourna vivre dans le studio où elle n'avait jamais arrêté de travailler en offrant aux hommes toutes les parties de son corps. Et dire que c'est elle qui a entièrement payé son opération d'implants mammaires !
Elle est restée dans ce studio en payant seulement cent francs par mois, ce qui correspondait uniquement aux charges de copropriétés, jusqu'à ce que son propriétaire soit contraint de le vendre. Le nouveau propriétaire s'aligna sur les prix du marché qui malgré cela Claire décida de le garder car cela ne représentait qu'une très faible partie de ses revenus de pute où au fil des ans elle avait réussi à se faire une bonne réputation auprès de la clientèle du quartier où elle y est restée plus de cinquante ans en ayant comme clients les enfants et les petits enfants de ses premiers clients.
Jusqu'à la fin des jours de son père, elle a mis un point d'honneur à lui donner quotidiennement cent francs afin de subvenir à ses besoins en alcool.
Maintenant elle a plus de soixante ans et ayant accumulé un petit pécule en devenant une pute à la demande de son père qui l'a violée alors qu'elle n'avait qu'un peu plus de dix ans se consacre désormais bénévolement à venir soulager sexuellement avec moi de très nombreux résidents de foyers de travailleurs émigrés noirs et arabes.
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