gwladys

Eh oui, je n'ai jamais fait les choses comme tout le monde, le jour où je me suis fait dépuceler du cul, ce ne fut pas une fois comme la plupart d'entre nous, mais quatre fois. Je vais vous en racconter l'histoire.

Tout d'abord, il faut que je vous dise que j'avais à peine huit ans comme mes trois autres compagnons, plus un grand de dix ans avec qui je pasais mes grandes vacances chez ma grand-mére. Tous les cinq nous nous retrouvions pour jouer dans la grande propriété appartenant à la grand-mére d'un des cinq garçons.

Dans cette grande propriété, en plus de la grande maison, se trouvait un bassin, une cressonière, un poulailler attenant à une grande remise. Dans cette remise se trouvait rangés tous les outils néccessaires à l'entretien de l'immense jardin ainsi que de la maison.

Ainsi dans cette remise, au fond se trouvait amassé un gros tas de paille destinée à l'entretien des poules et des lapins. Sur ce tas de paille, il y avait un grand rateau tout en bois. Devant la fenetre, il y avait un etabli à côté de diverses etagéres contenants le néccéssaire à différents travaux d'entretien.

Sur une de ces etagéres, il y avait une boite contenant de curieux petits bouts de bois. Ils étaient longs d'à peine dix centimètres pour un diametre d'un petit peu plus d'un centimetre. C'est batonets devaient servir à remplacer les dents du rateau lorsque celles ci devaient être usées.

En ce mois d'aout, il faisait très chaud, aussi afin de moins souffrir de la chaleur en proffitant d'un peu d'ombre, nous avions décidé de passer notre après-midi dans la remise.

Cela faisait assez longtemps que nous étions là quand l'un d'entre nous dit: "qui a la plus grand zizi". En guise de réponse, tous les cinq nous otament nos shorts et nos slips. Ainsi, nous étions sur la paille les fesses à l'air et la bite au vents. Ce qui nous exitaient un peu, mais cela n'y fit rien car le gagnant etait le plus vieux d'entre nous.

Aussi, il lui vient une idée: "si nous nous montrions le cul?". Cette idée plut à tout le monde et nous nous exécutames en vantant nos culs respectifs, jusqu'au momment où l'un d'entre nous eu une drole d'idée: "si nous nous métions quelque chose dans le cul?".

L'un de nous prit la petite boite contenant les petits bâtonnets de bois et en sortit un qu'il aspergea de salive avant de se l'introduire dans le cul. Puis il nous tendit la boite en nous invitant à l'imiter. Ce que nous fimes.

Au bout d'un certain temps, un autre d'entre nous émit une idée: "si au lieu du bout de bois, on le remplaçait par nos zizis?" . L'idée nous parrut bonne. Il ne restait plus qu'à passer à l'acte, mais pour cela il fallait désigner le premier qui offrirait son cul.

Comme il y avait de la paille, nous tirames à la courte paille et c'est moi qui fut choisi pour être le premier à avoir non pas une bite dans son cul, mais les quatre bites de mes camarades l'une après l'autre.

Mais avant de commencer nous fixames les regles du jeu: "avant de penetrer bien enduire le petit trou de salive, et ne pas faire plus de dix allers et retours avant de se retirer.

C'est ce que fit le premier et j'avoue qu'une fois passée la premiere douleur je trouvais cela pas désagréable. Puis il se retira après les dix allers et retours autorisés et laissa sa place au suivant.

Avec les trois suivants les choses se passerent de même, et ainsi je commençait à prendre beaucoup de plaisirs. Dommage que nous étions que cinq à jouer!

Puis ce fut au deuxième garçon d'offrir son cul. Ce qu'il fit sans se faire prier. Ainsi, comme désigné par le sort, je fus le deuxième à le pénétrer, ce que je fis sans problème puisque celui qui etait mon prédécesseur etait le plus agé d'entre nous et qu'avec sa bite un peu plus grosse que la mienne, il avait bien ouvert le passage pour la série de quatre bites que nous devions tous recevoir l'un après l'autre.

Puis ce fut au tour du troisième, puis du quatrième et enfin du cinquième à recevoir sa dose de bites. Tout ce passat très bien à part qu'à mon quatrième cul à pénétrer je me sentis un peu fatigué. C'était normal quand on n'a pas non pas la bite rude, mais l'habitude d'un pareil exploi!

Une fois nos taches accomplis, nous remimes nos slips et nos shorts, nous netoyames les merveilleux petits batonets de bois rond et nous les remimes dans leur boites avant de retourner vers d'autres jeux plus de nos ages.

Au cours de ces vacances, nous refimes plusieurs fois cette expérience, mais j'avoue que c'est la première fois qui m'a laisser le meilleur souvenir et donné de plus de joie en tant que sodomisé. Côté sodomisateur, ce fut une premiere experience que plus tard dans ma vie de travesti je ne renouvela jamais. Aussi en tant que sodomisé, je ne pratiquais plus sans etre travesti en femme, et de même pour les fellations où je ne suçais jamais un homme sans être habillé en femme.

En conclusions de ces merveilleuses journées où j'offris mon cul à mes camarades, je peux avouer que bien que j'y ais trouvé beaucoup de plaisir ce fut rien en comparaison à ce que je connus quelques années plus tard, où travesti en femme,  ce ne sont plus des petits batonnets que je m'introduisais dans le cul mais des godemichés et des plugs anals beaucoups plus volumineux, de même que les sexes qui me sodomisérent.

Voici ce que furent mes premières approches à la sodomie, et c'est pour cela que je dis non pas une mais quatre premières sodomies pour mon dépucelage anal.