Partager l'article ! le jour où je me suis prostituée ( gwladys travesti 60 ans ): He Oui, çà m'est arrivé une fois, rien qu'une f ...
He Oui, çà
m'est arrivé une fois, rien qu'une fois.
C'etait il y a un peu moins de quarante ans, j'avais environ vingt-quatre ans.
Il y avait longtemps que je me travestissais et que je sortais ainsi.
Je n'allais jamais dans des lieux très fréquentés de peur de me faire ramasser comme un travelo.
Mais il m'arrivais souvent, à l'écart du monde, de me retrouver dans des lieux
dit de rencontres pour homosexuels. Là je trouvais facilement à faire une ou plusieurs fellation et à me faire sodomiser
de même.
Ainsi, l'acte sexuel attirant les voyeurs, il n'etait pas rare que ceux-ci veuillent participer. Aussi il m'arrivais d'en avoir un qui me sodomisait pendant qu'un ou deux autres simultanement se faisaient faire une fellation par mes soins. Et même des fois il est arrivé que je branle un sexe supplementaire dans chaque mains. Et parfois, les pseudo clients voyeurs étaient si nombreux que les opérations se reproduisaient jusqu'à ce que tout le monde soit servi!
Evidement, à cette époque, le sida n'existant pas tout ceci se passait sans l'usage de préservatif. De nos jours celà n'est plus possible.
Mais revenons à mon histoire. Bien que sexuelement j'étais comblée, une envie me titillait l'esprit: que ressent une prostituée lorsqu'elle doit multiplier les clients.
C'est pour celà, qu'un mardi gras je decidais de passer à l'action. Si j'ai choisis ce jour, c'est que je me suis dit qu'à moins de ce faire surprendre pendant l'acte sexuel celà passerait comme un simple déguisement.
Il ne restait qu'à trouver le lieu pour assouvir mon fantasme. De par mes nombreuses balades "en femme" il m'était souvent arriver de me promener dans les bois en laissant ma voiture sur un parking discret. Aussi je me souvenais d'un parking en Seine et Marne au bord d'une route nationale à fort trafic. C'est là que je me rendis.
Au dessus d'un string rouge et une guépière assortie retenant mes faux seins en silicone et mes bas noir à couture, je portais un tailleur blanc dont la jupe laissait voir une grande partie de mes jambes perchées sur des escarpins noir vernis aux talons de presque dix centimétres et la veste entrouverte laissait voir ma poitrine au travers d'un chemisier transparent en dentelles noires.
Sur ma tête, je mis une peruque blonde arrivant aux épaules. Le tout étant complété par un maquillage parfaitement adapté à la situation. J'avais une montre de femme et un bracelet ainsi que plusieurs bagues. Mes oreilles etaient ornées de pendants assortis à un collier et à une broche destinés à attirer les regard sur ma poitrine.
Le tout était completé d'un minuscule sac à mains assez grand tout de fois pour contenir mes papiers d'identité, un tube de rouge à lévres, un poudrier avec miroir et deux paquets de mouchoirs en papier, sans oublier un tube entamé de gel intime au cas où un client muni d'un sexe jugé trop gros veuille me sodomiser que je completais par six ou sept tampons périodiques.
Il me restait plus qu'à passer à l'action aussi d'un pas sûr je quitais le parking pour aller me poster au bord de la route nationale. Cela ne prit que quelques secondes pour parcourir la courte distance qui allait me metre à la vue de tous les clients potentiels. Il me restait plus qu'à avoir une allure sans aucun doute sur mes intentions, c'est à dire avoir l'air d'une prostituée atendant ses clients.
Aussi, je me mis à arpenter l'entrée du parking en balançant mon sac à main tenu par la bandoulliere.
L'effet devait être satisfaisant puisqu'au bout d'à peine cinq minutes un premier homme vint s'arreter à mes cotés et me dit: "c'est combien?".
Aussitôt je lui répondis: "la pipe cinquante francs, l'amour cent francs!".
A ces mots, sans que je sache pourquoi, il referma la vitre de sa voiture et repartit sans demander son reste. Sur ce fait, je me dis que çà commençait mal. Je me trompais, car à peine était-il hors de vue qu'un autre futur client s'arreta et me posa la même question: "c'est combien?".
Ma réponse fut la même, car il n'y avait aucune raison que je baisse les prix qui étaient, à ma connaissance, ceux pratiqués par la plupart des prostituées. Ainsi je lui repondis: "la pipe cinquantes francs, l'amour cent francs!".
Ma proposition lui parrut bonne puisqu'il me répondit: "alons-y pour la pipe!".
Aussitôt je lui tendis la main. Il mit une main dans sa poche et en ressortit un billet de cinquante francs qu'il me remit. Ainsi l'affaire etait conclut et je venais de faire un grand pas dans ma carrière de prostituée. Il ne me restait plus qu'à effectuer la fellation tant atendue. Aussi le prenant par la main, je lui fis traverser le parking pour aboutir, juste derrière, dans un petit bois à l'abris de tous regards indiscrets.
L'endroit lui convenuant autant qu'à moi, il defit sa ceinture et baissa son pantalon puis son slip pour m'offrir un sexe qui etait déjà en pleine érection.
Je me penchais vers lui et començais à le sucer, puis je commencais à prendre le gland en bouche lorsqu'il me mit une main derrière la tête et en pressant fortement sur celle-ci, me forçà à engloutir son sexe jusqu'au fond de ma gorge.
Alors je compris qu'Il voulait donc que je lui fasse ce qu'on appelle comunément une gorge profonde. Malgrès qu'on dise que le client est roi, je n'avais pas l'intention, malgrès les cinquante francs qui avait atérris dans mon sac à main de ceder à ce genre de désir. Je voulais être maitre de mes mouvements. Aussi, avec bien du mal, je réussis à me dégager et lui fis comprendre que je désirais procéder de manières plus douces.
Il s'excusa et ne fit aucunes objections. Ainsi je repris délicatement son gland en bouche et progréssivement mes lévres remonterent le long de son sexe. Cela ne devait pas lui déplaire car je sentis son sexe devenir de plus en plus dur. Je sentais que le moment étais proche de la conclusion aussi à la manière des prostituées je pris la base de son sexe dans une des mes mains et avec celle-ci j'accompagnais manuelement les mouvements de ma bouche afin de provoquer plus rapidement le moment de l'éjaculation.
Mon idée se revela bonne si bien qu'au bout de quelque instant je ressentis de puissants jets de sperme tapisser l'intérieur de ma bouche. A cet instant, j'aurais pu croire que cela était terminé, mais son érection n'en etait que moindre alors je decidais de le garder encore quelque moment en bouche en le pompant. Une fois que l'erection fut retombée totalement, je retirais ma bouche de son sexe et de mon sac à main je sortis un mouchoir en papier afin de bien terminer ma premiére prestation de prostituée.
Délicatement, à l'aide du mouchoir en papier, je me mis à faire disparaitre toutes les traces de rouge à lévre qui recouvrait son sexe. Une fois celà terminé, il me restait plus qu'à enlever la goute de sperme restante qui perlait à l'extrémité du méat. Ce qui fut fait pour terminer ma première prestation de prostituée.
Mon premier client remonta son slip et son pantalons, puis me dit "au revoir" et repatit vers sa voiture et quitta le parking.
Je restais seule avec cinquante francs de plus dans mon sac à main d'où je ressortis le mouchoir en papier ayant servis à netoyer le sexe que je venais de sucer abondament et je m'empressa d'y recracher le sperme que j'avais gardé en bouche pour ne pas l'avaler. Puis de mon sac à main, je sortis mon poudrier et je me regardis dans le miroir où je constatais que je n'avais presque plus de rouge à mes levres. En effet, au coeur de l'action celui-ci c'etait presque totalement déposé sur le sexe de mon client. Aussi, il ne me restais plus qu'à remédier à cela, ce qui fut fait pendant que je marchais quitant le parking pour aller me reposter au bord de la route en attendant l'arrivé d'un deuxième client.
Quelques véhicules passerent sans s'arreter. Certains ralentir afin de mater ma silouette de prostituée. Puis enfin, au bout d'à peine deux ou trois minutes, un clent potentiel s'arreta à mes côtés. Il baissa sa vitre droite puis me demandat: "salut pouffiasse, c'est combien pour te fourrer ma grosse bite dans ton putain de gros cul de putain de jeune salope?".
Au moins les choses étaient claires, je n'avais pas à énumerer mes tarifs! Aussi, en reflechissant à ce qu'une vraie femme lui aurait répondu, c'est à dire: "la pipe cinquante francs, l'amour par devant cent francs et l'amour par derrière deux cents francs!". Mais qui n'était qu'un travesti, j'avais moins de choix à offrir aussi je lui répondis: "d'accord pour mon cul si tu me donnes cent francs!".
Il me dit que c'était d'accord, referma sa vitre et alla se garrer à côté de ma voiture sur le parking qui était entre la route nationnale et le petit bois où j'avais conclus mon premier marché de prostituée. Il me restais qu'à en conclure un second. Aussi dès que l'homme sortit de sa voiture et me rejoignit à l'entrée du petit bois je lui tendis la main. Sa réaction fut la suivante: il me sera la main fermement comme pour me dire bonjours. Ce n'est pas à cela que je m'attendais aussi je lui dis: "tu n'oublie pas mon petit cadeau?".
Aussitôt, il mit la main dans sa poche et en ressortit un porte feuille duquel il retira un billet de cent francs qu'il me remit. L'affaire était conclue, aussi le billet tant attendu alla rejoindre dans mon sac à main son petit frére.
Nous entrames dans petit bois, juste à l'endroit où j'avais fait ma première fellation et nous nous aretames au même endroit. Ici çà me plaisait et celà ne deplaisait pas non plus à mon deuxième client qui ayant déjà baissé son pantalon se préparait à baisser son slip pour m'offrir, comme il disait, sa putain de grosse bite pour mon putain de cul de putain de jeune salope.
J'en fis de même en commençant par ma veste de tailleur, puis ce fut au tour de ma jupe d'etre délicatement déposée sur l'herbe. A ce momment je fis une pose dans mon deshabillage qui etait presque fini, puisqu'il me restais plus qu'à oter mon string dont j'avais eu la bonne idée de le passer au dessus des jarretelles de ma guèpière, ce qui m'évita d'avoir à degraffer mes bas.
Etant prete, je sortis de mon sac à main le tube de gel intime que je tendis à mon client pour qui s'en enduise le sexe. Sans s'en servir il me le rendis et me disant:"je prefere t'enculer à sec, par contre si tu veux que çà rentre plus facilement tu peux m'enduire ma grosse bite de ta salive en me suçant un peu!".
C'est ce que je fis, c'est à dire que je le pris en bouche une dizaine de seconde en salivant abondament. Puis je me degageais et me retournais en me metent face à un arbre sur lequel je pris appui de mes deux mains lorsque je me penchais en avant afin d'offrir ma croupe à mon sodomisateur.
Mon client me tripotait un peu les fesses quand il decouvrit une ficelle sortant de ces dernières. Il tira sur la ficelle et en ressortit le tampon périodique que j'avais recouvert de gel intime avant de me l'enfoncer, il y a plus de deux heures, loin dans les fesses. Je procedais souvent ainsi quand j'avais envie de me faire sodomiser car ainsi j'avais le cul enduit de gel intime lorsque je retirais le tampon périodique qui au passage lubrifiait légérement mon petit trou.
Puis il jeta le tampon périodique à terre avant de jouer avec son sexe tout au long de ma raie fessière. Puis il mit l'extremité de son sexe contre mon petit trou, et d'un coup de rein brutal me le fit pénétrer entierement jusqu'à la base de ses testicules. Ainsi je compris que je n'allait pas être sodomisée en douceur mais bien enculée avec force et détermination. Heureusement que j'etais rodée de ce côté là et que j'en était plus à premiere heure de viol!
Ses mains retenants mes hanches, il me pilonait de plus en plus profondement. Puis ses mains changérent de position pour s'occuper des mes seins qu'il malaxait avec autant de force que son sexe me ramonait l'intérieur de mon corps.
Pendant ce temps il n'arretait pas de parler et me posait des questions du genre: "comment tu la sents ma grosse queue?" ou "avoues ma salope que tu aimes çà!" ou
bien encore "attends un peu pouffiasse que je t'innondes de mon sperme!". A ces questions, en bonne professionelle qui devait faire plaisir à son client, je ne pouvais répondre: "oh oui, je
la sents bien ton énorme bite!" ou "oh oui, j'aime çà, encore, encore!" ou bien encore "vas y, jattends que celà d'être innondée par puissant jet de sperme!".
Je ne sais pas s'il s'est apperçu que mes paroles étaient aussi fausses que mes seins, mais il ne les lacha pas jusqu'à qu'il ejacule abondament en moi.Il resta ainsi jusqu'au moment où son erection retomba. Puis il se retira.
Comme pour mon premier client, il me restait une chose à faire pour clore ma prestation de prostituée. Je sortis de mon sac à main un mouchoir en papier et à l'aide de celui-ci j'entrepris soigneusement de lui netoyer le sexe.
Une fois celà terminé, il remontat son slip puis son pantalon et referma sa ceinture. Il me dit au-revoir puis disparu comme il était venu me laissant seule avec un afflut de sperme qui innondait le cul. Alors, pour y remedier, de mon sac à main, je sortis un autre mouchoir en papier pour essuyer mes fesses. Une fois celà effectué, je sortis aussi un tampon périodique que je m'introduis profondement dans l'anus afin d'absorber les exes de sperme injectés par mon deuxième client.
Il ne me restait plus qu'à ramasser mon string et le remettre au dessus de mes jarretelles de ma guépière. Puis je remis ma jupe et ma veste afin d'être plus presentable avant de ressortir du petit bois. C'est ce que je fis mais une fois au milieu du parking une pensée me vint à l'esprit: avant de me faire sauvagement enculer, j'avais un peu suçé alors j'ai du perdre en partie mon rouge à lèvre le long du sexe que j'ai suçé! La reflection était bonne et c'est ce que je m'apperçu quand dans me miroir de mon poudrier je constatais les dégas. Ce n'était pas au même point qu'après mon premier client mais çà necessitait tout de même une retouche. Ce que je fis rapidement avant de reprendre le chemin menant au bord de la route pour y attendre un troisième client. Mais avant celà, il me restais une chose très importante à faire: éffacer toutes traces laissées par mon activitée de prostituée. C'est ce que je fis en ramassant les deux mouchoirs en papier et le tampon périodique qui allerent rejoindre, dans une des corbeilles du parking, le mouchoir en papier dont je m'étais servis pour netoyer le sexe de mon premier client.
Une fois arrivée au bord de la route, je constatais que la circulation y avait beaucoup diminuée. Je regardais ma montre et en constatant qu'il était midi et demi je realisais que l'arrivée d'un troisième client se ferait plus problematique. Je n'étais pas du genre patiente, aussi je pris une sage décision: finis la prostitution pour aujourd'hui!
Je repris ma voiture et alla rejoindre, à une dizaine de kilométres de là, un lieu que je connaissais bien puisqu'étant un petit bois où se rencontraient, pour le sexe, les homosexuels de la région.
Là, je repris mes activitées préferées c'est à dire faire des fellations et me faire sodomiser mais à une nuance près, il n'était plus question d'argent.
Comme c'était le jours des premières fois, en plus de la première fois où je m'étais prostituée, une autre première fois m'attendait: c'était mon initiation à la double pénétration!
Voici comment celà a commencé. Deux hommes qui voulaient se taper de l'homo ou du travelo m'aborderent: "çà te dirais une doublette?". Croyant qu'ils me proposaient une bite dans la bouche et une dans l'anus simultanement. Je leurs répondit oui, car ce n'était pas la première fois que je pratiquais de la sorte. J'otais ma jupe et mon string, puis je me mis en position, c'est à dire à quatre pattes. En leurs disant que j'étais prette et qu'ils pouvaient y aller. Ils n'en firent rien, car ce n'était pas de çà dont il s'agisait.
Alors l'un d'entre eux, voyant mon ignorance sur ce qu'est pour eux une doublette, m'en donna des explications: "il y a trois façons pour une femme de satisfaire à une doublette. La première, la vaginale et l'anale simultanement, la plus courante, est que le premier homme se couche sur le dos, de face la femme secouche sur lui en intoduisant le sexe de l'homme dans son vagin, puis le second homme la pénetre par l'anus, Ainsi il peuvent s'activer simultanement dans deux trous différents. Pour la seconde, la double vaginale, les positions ne changent pas, mais c'est dans le vagin que les deux sexes s'activent. Pour la troisième, la double anal, c'est toujours les même positions, mais cette fois c'est l'anus que penetrent les deux sexes. Cette dernière position, la seule etant pratiquable par un travesti, est très appréciée par les amateurs de films pornographiques."
Maintenant que l'un d'eux m'avait expliqué de quoi il s'agissait et ce qu'ils attendaient de moi, ils me demanderent si j'avais du gel intime. Je sortis le tube de mon sac à mains et l'un d'eux commença les préparatifs à la double pénétration. Avec le gel intime il s'enduit le sexe abondament puis passa le tube à son partenaire qui en fit de même avant de s'ataquer à ma préparation.
L'un d"eux me mit abondament du gel intime sur le pourtour de mon anus, puis à l'aide d'un doigt agile, il en mit à l'interieur de mon rectum. Ainsi, comme mes deux partenaires, j'était prette pour expérimenter une double anale.
L'un des mes deux partenaires se coucha sur le dos. Il me restais plus qu'à le rejoindre en me couchant sur lui. C'est ce que je fis, face à lui, en me laissant introduire son sexe dans mon anus abondament lubrifié. C'était génial, il rentra comme dans du beurre. J'avais hatte de connaitre la suite. Celà ne se fit pas attendre. Mon deuxième partenaire vient nous rejoindre en se metant contre mes fesses. Dans un premier temps, il ne me pénétra pas comme je m'y attendais, mais il joua avec son sexe au bord de mon rectum déja bien occupé. Ainsi, il testait mon envie d'avoir un deuxième sexe au plus profond de moi.
Puis me sentant prette il introduisit, en se faisant une petite place, le bout de son sexe dans mon anus. Ainsi commençait la double pénétration! J'avais hate d'en connaitre la suite. Je n'eu pas longtemps à attendre. En effet, chose innatendue, le sexe de mon premier sodomisateur se retira presque de moitié. A ce momment le deuxième sexe me penetra totalement, puis à son tour il se retira lui aussi presque de moitié pendant que l'autre sexe s'enfonça profondement en moi. Celà se renouvela pendant quelques minutes, ce que j'appreciais totalement.
J'avais l'impression d'être le trophée d'un duel qui n'en finissait pas et qui n'aurait aucun vainqueur. En effet à chaque fois qu'un sexe se retirait, l'autre se precipitait pour occuper la place vacante jusqu'au moment, où parfaite synchronisation ou pur hazard, les deux sexes se vidérent simultanément en éjaculant abondament. Puis après un court instant d'immobilité commune, comme d'un même accord, ils se retirerent me laissant seule avec mon anus dilaté plus que de coutume et une double dose de sperme qu'il me faudrais éponger avec un tampon périodique.
A cette pensée, après avoir sortis un tampon périodique de mon sac à mains, une question vient se poser à moi: qu'ai-je fais du tampon que j'avais avant ma première double pénétration? A bien y réfléchir, à moins que l'un de mes sodomisateur me l'ait oté, il ne restait plus qu'une solution: les deux sexe avaient enfoncé le fameux tampon au fin fond de mon rectum. Comme ce n'était pas la première fois que pareille mésaventure m'arrivait je n'en fus pas inquiétte. Le fameux tampon périodique finirait bien par ressortir! Alors, il me restait plus qu'une chose à faire: m'en enfoncer un nouveaux.
Pendant que mes deux initiateurs sodomisateurs me dirent au-revoir, je remis mon string et ma jupe afin d'être prette pour de nouvelles aventures. Ainsi, comme il n'était plus question que j'offre mon cul, je fis encore deux fellations avant de rentrer chez moi après une journée et un cul bien remplis.
Ainsi se termina la journée où je fis deux grandes premières qui sont: la prostitution et la double pénétration. Pour cette dernière, c'est à dire la double pénétration, il y eut d'autres occasions de la pratiquer, après m'être assurée toutefois, que les deux sexes que l'on me proposait n'était pas trop épais. Côté longueur, je pouvais tout accepter. Pour la première, la prostitution, ce fut la première et dernière fois que je la pratiquais bien que çà m'avait enormément exitée et donné du plaisir de me sentir dans la peau d'une prostituée et de soutirer quelque argent à des hommes venants se soulager dans ma bouche et mon anus.
Bien sûr, il m'arriva toujours de satisfaire des amants en echange de petits cadeaux, mais jamais contre de l'argent. Ainsi je collectionnais les dessous sexys que je m'empressais de mettre afin d'exiter les heureux donnateurs. Les bijoux fantaisis firent aussi partie de mes colections ainsi que paires de bas, divers articles de maquillage (dont je faisais grande consomation: surtout les rouges à lèvres!), et aussi, plus rarement, robes, jupes, vestes et chemisiers. Il y eut même une fois où l'un d'eux m'offris une veste de fausse fourrure!
Il y eut aussi des bouquets de fleurs, des soupers ou des diners au restaurant et des nuits d'hotel.
Mais pour l'instant une seule question se posait à moi: qu'allais-je faire avec les cent cinquante francs facilements gagnés lors de ma courte carrière de prostituée?
Avec mes cent cinquante francs, je décidais de m'acheter des produits de consomations courantes et de premières nécéssités. D'abord j'investis dans une vingtaine de paires de bas noir à couture, puis aussi pour mes jambes, un tube de créme dépilatoire (que j'utilisais qu'une fois par mois). Puis en rapport avec les nombreuses féllations que je pratiquais, j'achetais trois tubes de rouge à levres ainsi que trois paquets de bonbon à la menthe forte (que je n'utilisais pas forcement à chaque fois). Enfin, en rapport avec les toutes aussi nombreuses sodomie que j'endurais, je me procurais cinq paquets de tampons périodiques taille maxi avec applicateur, que je completais par trois tubes de gel intime (que je n'utilisais pas à tous les coups).
Voilà ce que fut pour moi ma première et seule journée de prostituée.
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