Partager l'article ! Je me tue presque au turbin ( Gwladys travesti 60 ans ): Cela fait presque un an que je vous n'ai pas donné de mes nouvelles. Il y a une bonne r ...
Cela fait presque un an que je vous n'ai pas donné de mes nouvelles. Il y a une bonne raison à cela, c'est que depuis un peu plus de deux ans que j'ai décidé de servir gratuitement de vide-couilles public, toujours à la recherche de toujours plus de bites à sucer, ainsi que pour me faire enculer, j'y consacre la majorité de mon temps, c'est à dire plus de douze heures par jour, ce qui explique que je n'ai pas trouvé le temps de vous écrire.
En effet, depuis quelques temps, en plus de fréquenter les glory-holes et les clubs libertins ou échangistes, je me suis mises à offrir les services de ma bouche extremement gourmande et de mes fesses toujours aussi accueillantes dans des foyers de travailleurs émigrés (de préférence africains) où il m'arrive très souvent d'enchainer plus d'une centaine de "clients" lors d'une soirée et un début de nuit d'intenses prestations sexuelles, toujours effectuées en utilisant des préservatifs.
A ce propos, afin de me rendre compte de l'énorme quantité de sperme chaud qui aurait pu soit finir dans mon estomac afin de me faire oublier d'avoir faim et soif, ou bien encore ne servir en abondance de lavement, j'ai toujours avec moi une bouteille, au départ vide, dans laquelle je transfere le contenu de tous les preservatifs que je recueille aprés que les bites se soient vidées dedant aussi bien dans ma bouche que dans mon cul.
Le résultat est si impressionant, qu'il me faut une nouvelle bouteille chaque jours. Bien qu'au cours d'une seule journée, je n'ai pas encore réussie à remplir ma bouteille, j'espère toujours remporter ce chalenge en m'accordant, si nécéssaire, vingt quatre heures d'affilé à faire gratuitement la pute sans discontinuer.
Bien sûr, ce sont des journées très éreintantes que je vie, mais l'exitation que cela me provoque en vaut la peine, même si parfois après une telle journée de labeur, je me couche, les lèvres légérement écartées et le cul complétement dilaté à l'extrème, sans même prendre le temps de me restaurer en ayant qu'une seule idée en tête, c'est de suffisament bien dormir afin d'être en pleine forme pour recommencer le lendemain, ce qui à été mon quotidien sans intéruption depuis un peu plus de deux ans.
Bien sûr, pour arriver à accomplir de telles peformances sexuelles avec autant de rapidité, il faut qu'au point de vu maquillage, ainsi qu'à la façon d'être habillée, ou plus exactement à moitié déshabillée, je dois ressembler à une prostituée qui ne peut pas accorder plus de cinq minutes à chaque passe.
Lorsque je me fais enculer, les hommes éjaculent bien souvent à peine entrés dans mon cul tellement ils sont exités du fait qu'ils vont pouvoir se vider les couilles rapidement et surtout gracieusement. Par contre lorsque je taille des pipes, afin d'accélérer le moment de l'éjaculation, je me sert d'une main pour branler simultanément la partie de la bite qui n'est pas dans ma bouche.
Dans tous les cas, je préfere avoir ces activités sexuelles en public plutôt qu'en m'isolant avec le partenaire du moment, afin que les "clients" suivant se trouvant dans la position de voyeurs soient exités le plus possible et ainsi prendre moins de temps pour éjaculer aussi bien dans ma bouche que dans mon cul.
Ainsi, afin de satisfaire un maximum de "clients", il m'arrive très souvent d'en prendre simultanément un en bouche pendant qu'un autre me pilonne le cul. Quand celui-ci a suffisament été bien défoncé, je me permets des doubles pénétrations, voir même des triples lorsque je sents que j'ai les sphincters suffisament déformés donc prêt pour encaisser cela avec mon plus grand plaisir et surtout celui de mes sodomisateurs éphémères.
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